Pour témoigner son attachement à tout ce qui se fait en matière de gouvernance et en même temps encourager les acteurs, le Fonds monétaire international (FMI) a approuvé le 9 juillet 2010, la deuxième revue du programme économique et financier triennal de la Côte d’Ivoire, appuyé par la Facilité Elargie de Crédit (FEC) du FMI.
Cette deuxième évaluation positive du programme permet ainsi à la Côte d’Ivoire de bénéficier d’un appui budgétaire de 35,77 millions de DTS, soit environ 53,5 millions de dollars USD, c'est-à-dire près de 28 milliards de F CFA. La mise en œuvre satisfaisante du programme traduit les efforts déployés par le Gouvernement en matière d’assainissement du cadre macroéconomique, de gestion des finances publiques, de renforcement de la transparence et surtout de mise en œuvre de réformes sectorielles, en vue d’amorcer une dynamique de croissance à même de soutenir la politique de lutte contre la pauvreté. L’pprobation de de la deuxième revue du programme économique et financier triennal de la Côte d’Ivoire par le FMI, marque la reconnaissance d’efforts inlassables réalisés par le ministère de l’Economie et des Finances, sous la supervision du chef de l’Etat, S.E.M Laurent Gbagbo et chef du Gouvernement, Guillaume Soro. Malgré l’environnement économique difficile en 2009, marqué par une récession de l’économie mondiale, la Côte d’Ivoire a pu maintenir son élan de reprise de la croissance avec un taux de 3,8% du PIB. Le niveau général des prix a été contenu, en témoigne le taux d’inflation annuel moyen qui est ressorti à 1%. Les indicateurs quantitatifs du programme ont été globalement en ligne avec les objectifs fixés. Par ailleurs, cette évaluation positive permet à la Côte d’Ivoire d’envisager avec optimisme le point d’achèvement de l’initiative d’annulation de la dette des pays pauvres Très Endettés, que nous espérons à la fin du premier trimestre 2011. Il s’agit d’une source de motivation supplémentaire, dans la conduite des réformes engagées et en matière de rigueur dans la gestion des finances publiques. Ce résultat a été possible grâce à l’adhésion de l’ensemble des composantes de la population, notamment l’Administration publique, le secteur privé, la société civile et les organisations socioprofessionnelles. (Source MEF)
Honoré Kouassi
Cette deuxième évaluation positive du programme permet ainsi à la Côte d’Ivoire de bénéficier d’un appui budgétaire de 35,77 millions de DTS, soit environ 53,5 millions de dollars USD, c'est-à-dire près de 28 milliards de F CFA. La mise en œuvre satisfaisante du programme traduit les efforts déployés par le Gouvernement en matière d’assainissement du cadre macroéconomique, de gestion des finances publiques, de renforcement de la transparence et surtout de mise en œuvre de réformes sectorielles, en vue d’amorcer une dynamique de croissance à même de soutenir la politique de lutte contre la pauvreté. L’pprobation de de la deuxième revue du programme économique et financier triennal de la Côte d’Ivoire par le FMI, marque la reconnaissance d’efforts inlassables réalisés par le ministère de l’Economie et des Finances, sous la supervision du chef de l’Etat, S.E.M Laurent Gbagbo et chef du Gouvernement, Guillaume Soro. Malgré l’environnement économique difficile en 2009, marqué par une récession de l’économie mondiale, la Côte d’Ivoire a pu maintenir son élan de reprise de la croissance avec un taux de 3,8% du PIB. Le niveau général des prix a été contenu, en témoigne le taux d’inflation annuel moyen qui est ressorti à 1%. Les indicateurs quantitatifs du programme ont été globalement en ligne avec les objectifs fixés. Par ailleurs, cette évaluation positive permet à la Côte d’Ivoire d’envisager avec optimisme le point d’achèvement de l’initiative d’annulation de la dette des pays pauvres Très Endettés, que nous espérons à la fin du premier trimestre 2011. Il s’agit d’une source de motivation supplémentaire, dans la conduite des réformes engagées et en matière de rigueur dans la gestion des finances publiques. Ce résultat a été possible grâce à l’adhésion de l’ensemble des composantes de la population, notamment l’Administration publique, le secteur privé, la société civile et les organisations socioprofessionnelles. (Source MEF)
Honoré Kouassi