Les culturales 2010 ferment ses portes aujourd’hui à Abidjan. Au cours de la cérémonie d’ouverture, le mardi dernier, le président du conseil National des sages de la filière café-cacao a exhorté les uns et les autres au travail de la terre.
Georges Bléhoué Aka a tenu à remercier Pierre Dagbo Godé, commissaire général du salon international des nouvelles technologies agricoles, qui selon lui, fait partie de ceux qui pensent à maintenir l’agriculture dans le processus de développement de la Côte d’Ivoire. « Les gens parlent trop et travaillent peu en Côte d’Ivoire » a fait remarquer l’agriculteur de Adaou. Pour Bléhoué Aka, chaque ivoirien doit faire valoir valablement ses compétences dans son domaine d’activité afin de participer activement au développement de la Côte d’Ivoire. « Avant d’être un grand agriculteur aujourd’hui, je vous apprends que j’ai travaillé dur en apprenant auprès des autres. Il faut de plus en plus opter pour le travail de la terre. Ce travail nourrit son homme », a-t-il exhorté. Enfin, il est revenu à Gabriel Lohouri Guigui, représentant le président de la république à cette cérémonie de reconnaître qu’il y a en Côte d’Ivoire des planteurs qui font la fierté de ce pays à l’extérieur. Bléhoué Aka, a fait savoir le conseiller spécial du président Laurent Gbagbo chargé de la recherche scientifique, fait partie de ses agriculteurs. Pour Gabriel L. Guigui, ce salon qui consiste à penser l’agriculture de demain, mérite d’être encouragé. Parce que, poursuivra-t-il, ‘’notre devoir aujourd’hui nous engage à nourrir une démographie galopante’’. « L’Afrique a pris conscience de la nécessité de s’assurer une production agricole au service des populations », a constaté le représentant du chef de l’Etat
Huberson Digbeu
Georges Bléhoué Aka a tenu à remercier Pierre Dagbo Godé, commissaire général du salon international des nouvelles technologies agricoles, qui selon lui, fait partie de ceux qui pensent à maintenir l’agriculture dans le processus de développement de la Côte d’Ivoire. « Les gens parlent trop et travaillent peu en Côte d’Ivoire » a fait remarquer l’agriculteur de Adaou. Pour Bléhoué Aka, chaque ivoirien doit faire valoir valablement ses compétences dans son domaine d’activité afin de participer activement au développement de la Côte d’Ivoire. « Avant d’être un grand agriculteur aujourd’hui, je vous apprends que j’ai travaillé dur en apprenant auprès des autres. Il faut de plus en plus opter pour le travail de la terre. Ce travail nourrit son homme », a-t-il exhorté. Enfin, il est revenu à Gabriel Lohouri Guigui, représentant le président de la république à cette cérémonie de reconnaître qu’il y a en Côte d’Ivoire des planteurs qui font la fierté de ce pays à l’extérieur. Bléhoué Aka, a fait savoir le conseiller spécial du président Laurent Gbagbo chargé de la recherche scientifique, fait partie de ses agriculteurs. Pour Gabriel L. Guigui, ce salon qui consiste à penser l’agriculture de demain, mérite d’être encouragé. Parce que, poursuivra-t-il, ‘’notre devoir aujourd’hui nous engage à nourrir une démographie galopante’’. « L’Afrique a pris conscience de la nécessité de s’assurer une production agricole au service des populations », a constaté le représentant du chef de l’Etat
Huberson Digbeu