La grande pluie qui s’est abattue sur Abidjan dans la nuit du vendredi 09 au samedi 10 juillet 2010 dernier, a fait d’énormes dégâts. Il a été enregistré des pertes matérielles et en vies humaines. Anyama, ville située à quelque 3 km d’Abidjan, par Abobo, a été victime des affres de cette pluie. Un bébé de 07 mois y a trouvé la mort.
En effet, durant toute la nuit du 09 au 10 juillet 2010 dernier, de 1 h 27mn du matin jusqu’au lever du jour, il est tombé une forte pluie sur la ville d’Anyama et environs. Surprises dans leur sommeil, certaines personnes mal logées, ont eu la vie sauve de par le courage de veilleurs de nuits en pareilles circonstances. Par contre les moins chanceuses, ont presque tout perdu. Matelas, appareils électro-ménagers et autres ont été emportés par les eaux. La famille Traoré, du quartier Cissé, a été particulièrement touchée par les dégâts de cette calamité naturelle. Le petit Traoré, âgé de 07 mois, a été arraché à l’affection de ses parents, qui cette nuit-là, surpris n’ont pu sauver leur dernier né. Selon Issa, neveu de Monsieur Traoré, aux environs de 02 h 30mn, un mur de la maison a cédé à la pression de l’eau. Tous, surpris, chacun cherchait à sauver ce qui pouvait l’être. Malheureusement, la mère ne pouvant rien, n’a eu autre alternative que de regarder son enfant mourir. Elle a pu sauver les deux autres qui se trouvaient à ce moment-là sur le lit. Eux aussi, ont failli être emportés par la forte pression de l’eau a ajouté Issa. Informées du drame, les autorités locales (le sous préfet, le maire et le responsable de l’antenne de la Construction et de l’Urbanisme d’Anyama) se sont dépêchées sur les lieux pour apporter réconfort aux sinistrés. Madame le sous préfet a saisi cette occasion pour demander aux personnes habitant les zones à risques, d’évacuer les lieux. Elle n’a pas manqué de leur demander de chercher dès maintenant, à mettre leurs affaires à l’abri, soit dans les lieux de culte ou chez des parents, hors des zones à risque. Pour elle, la solidarité doit être de mise dans ces moments. Il faut souligner que plusieurs quartiers de la ville ont été victimes de la fureur de cette pluie qui, dans son déferlement, a également fait perdre des centaines de millier de francs à des familles qui, malheureusement ont choisi de garder à demeure, des billets de banque et qui, ne peuvent rien contre un phénomène de la nature.
Jean Tigane KOUIKA
(Correspondance Particulière)
En effet, durant toute la nuit du 09 au 10 juillet 2010 dernier, de 1 h 27mn du matin jusqu’au lever du jour, il est tombé une forte pluie sur la ville d’Anyama et environs. Surprises dans leur sommeil, certaines personnes mal logées, ont eu la vie sauve de par le courage de veilleurs de nuits en pareilles circonstances. Par contre les moins chanceuses, ont presque tout perdu. Matelas, appareils électro-ménagers et autres ont été emportés par les eaux. La famille Traoré, du quartier Cissé, a été particulièrement touchée par les dégâts de cette calamité naturelle. Le petit Traoré, âgé de 07 mois, a été arraché à l’affection de ses parents, qui cette nuit-là, surpris n’ont pu sauver leur dernier né. Selon Issa, neveu de Monsieur Traoré, aux environs de 02 h 30mn, un mur de la maison a cédé à la pression de l’eau. Tous, surpris, chacun cherchait à sauver ce qui pouvait l’être. Malheureusement, la mère ne pouvant rien, n’a eu autre alternative que de regarder son enfant mourir. Elle a pu sauver les deux autres qui se trouvaient à ce moment-là sur le lit. Eux aussi, ont failli être emportés par la forte pression de l’eau a ajouté Issa. Informées du drame, les autorités locales (le sous préfet, le maire et le responsable de l’antenne de la Construction et de l’Urbanisme d’Anyama) se sont dépêchées sur les lieux pour apporter réconfort aux sinistrés. Madame le sous préfet a saisi cette occasion pour demander aux personnes habitant les zones à risques, d’évacuer les lieux. Elle n’a pas manqué de leur demander de chercher dès maintenant, à mettre leurs affaires à l’abri, soit dans les lieux de culte ou chez des parents, hors des zones à risque. Pour elle, la solidarité doit être de mise dans ces moments. Il faut souligner que plusieurs quartiers de la ville ont été victimes de la fureur de cette pluie qui, dans son déferlement, a également fait perdre des centaines de millier de francs à des familles qui, malheureusement ont choisi de garder à demeure, des billets de banque et qui, ne peuvent rien contre un phénomène de la nature.
Jean Tigane KOUIKA
(Correspondance Particulière)
