On m’a envoûtée!». Telle est ainsi résumée l’histoire de cette Ivoirienne. Elle vivait aux Etats-Unis d’Amérique. Curney Georgette, née le 05 avril 1961 à Grand-Bassam, est originaire de Jacqueville. Mère d’une fille, cette assistante sociale, a évolué constamment dans les milieux juifs au pays de l’oncle Sam. Elle a exercé dans une entreprise dénommée Decare. Une sorte de holding spécialisée, entre autres activités, dans la téléphonie mobile, la santé. On lui donnerait plus de 49 ans parce que méconnaissable du fait d’un mal énigmatique qui la ronge.
D’aucuns penseraient à un début de démence. Mais apparemment, cette dame est en pleine possession de ses facultés mentales. D’où lui vient-il l’idée qu’elle a pu être envoûtée ? Elle raconte son calvaire: «Je suis envoûtée aujourd’hui, je ne peux accuser personne d’autre que ceux avec qui j’ai travaillé. Parce que cet envoûtement est très bien organisé. Je suppose que cela vient de mon travail et de mon entourage. Les manifestations de cet envoûtement montrent bien qu’il s’agit d’un travail de professionnels. Ils ont bien placé des appareils sur moi à partir d’une colle, dont je suis couverte (…). Au départ, je ne savais pas exactement ce que c’était. Maintenant, c’est clair. Cela se déroule comme dans un film. J’ai vu la maquette d’un avion qu’ils construisent à partir de mon corps. Ils le montent soigneusement pièce par pièce. Des narines à l’œsophage, en passant par la langue pour atteindre le sexe. Ils utilisent le corps tous azimuts. Si vous me voyez spirituellement, vous verrez bien l’image d’un avion parce que le côté droit de mon visage est très élevé par rapport au côté gauche. A l’intérieur, du côté gauche de mon visage, ce sont des pointes. C’est à l’aide de ces pointes qu’ils découpent mon corps conformément à leur maquette. C’est à partir de là qu’ils font le travail. Et depuis 5 années, je souffre énormément ». Curney est donc rentrée selon elle en Côte d’Ivoire en vue de trouver un remède au mal pernicieux qui la ronge.
Elle déclare ne plus vouloir se taire, pour que le monde entier sache ce qui se passe dans son corps. Malgré les prières qu’elle a eu à faire dans des groupes et confessions religieuses, elle est dans l’impasse. Impuissante, elle implore le Seigneur. Pour paraphraser la chanson de Alpha Blondy: «Heal me. Who can heal me?» (Soigne moi. Qui peut me soigner?). Ne pouvant rester indifférents à ce cri du cœur d’une personne en détresse, nous portons simplement l’information à la connaissance du public. Sans aucun parti pris. Surtout que nous ne pouvons entrer en contact avec les mis en cause dont nous taisons volontairement la nationalité.
Cissé Mamadou
D’aucuns penseraient à un début de démence. Mais apparemment, cette dame est en pleine possession de ses facultés mentales. D’où lui vient-il l’idée qu’elle a pu être envoûtée ? Elle raconte son calvaire: «Je suis envoûtée aujourd’hui, je ne peux accuser personne d’autre que ceux avec qui j’ai travaillé. Parce que cet envoûtement est très bien organisé. Je suppose que cela vient de mon travail et de mon entourage. Les manifestations de cet envoûtement montrent bien qu’il s’agit d’un travail de professionnels. Ils ont bien placé des appareils sur moi à partir d’une colle, dont je suis couverte (…). Au départ, je ne savais pas exactement ce que c’était. Maintenant, c’est clair. Cela se déroule comme dans un film. J’ai vu la maquette d’un avion qu’ils construisent à partir de mon corps. Ils le montent soigneusement pièce par pièce. Des narines à l’œsophage, en passant par la langue pour atteindre le sexe. Ils utilisent le corps tous azimuts. Si vous me voyez spirituellement, vous verrez bien l’image d’un avion parce que le côté droit de mon visage est très élevé par rapport au côté gauche. A l’intérieur, du côté gauche de mon visage, ce sont des pointes. C’est à l’aide de ces pointes qu’ils découpent mon corps conformément à leur maquette. C’est à partir de là qu’ils font le travail. Et depuis 5 années, je souffre énormément ». Curney est donc rentrée selon elle en Côte d’Ivoire en vue de trouver un remède au mal pernicieux qui la ronge.
Elle déclare ne plus vouloir se taire, pour que le monde entier sache ce qui se passe dans son corps. Malgré les prières qu’elle a eu à faire dans des groupes et confessions religieuses, elle est dans l’impasse. Impuissante, elle implore le Seigneur. Pour paraphraser la chanson de Alpha Blondy: «Heal me. Who can heal me?» (Soigne moi. Qui peut me soigner?). Ne pouvant rester indifférents à ce cri du cœur d’une personne en détresse, nous portons simplement l’information à la connaissance du public. Sans aucun parti pris. Surtout que nous ne pouvons entrer en contact avec les mis en cause dont nous taisons volontairement la nationalité.
Cissé Mamadou