Une plume s’est brisée, une voix s’est éteinte, une image s’efface, celles du journaliste camerounais Pius N’jawé, premier lauréat du Prix de la libre expression de l’Union internationale de la presse francophone (UPF), grand défenseur de la presse indépendante.
C’est avec une très grande peine que l’UPF apprend le décès du fondateur du plus ancien des titres de la presse privée camerounaise, le quotidien Le Messager.
Avec la mort de ce professionnel de l’information, disparaît une grande figure de la liberté de la presse, du devoir d’informer et du droit du public à l’information. Pius N’jawé a consacré toute sa vie aux médias et à la défense de la liberté d’expression. Il aurait voulu mourir le stylo à la main, sur le terrain de la protection et de la promotion de cette liberté.
Au moment où il quitte ce monde, à la suite d’un stupide accident de la circulation survenu le mardi 13 juillet 2010 aux Etats-Unis, l’Union internationale de la presse tient à saluer sa mémoire, à rappeler son combat pour la défense de tous les droits. Le meilleur hommage que les journalistes puissent rendre à ce professionnel qui s’en est allé, c’est de poursuivre son combat, dans la cohésion, dans la solidarité, et avec conviction.
Au journal Le Messager, à la presse camerounaise et à tout le Cameroun, ainsi qu’à sa famille, l’UPF apporte l’expression de son soutien et de son réconfort. A toutes et à tous, l’UPF adresse ses sincères condoléances.
Fait, le 13 juillet 2010
Pour l’UPF
Alfred Dan Moussa, Président international
C’est avec une très grande peine que l’UPF apprend le décès du fondateur du plus ancien des titres de la presse privée camerounaise, le quotidien Le Messager.
Avec la mort de ce professionnel de l’information, disparaît une grande figure de la liberté de la presse, du devoir d’informer et du droit du public à l’information. Pius N’jawé a consacré toute sa vie aux médias et à la défense de la liberté d’expression. Il aurait voulu mourir le stylo à la main, sur le terrain de la protection et de la promotion de cette liberté.
Au moment où il quitte ce monde, à la suite d’un stupide accident de la circulation survenu le mardi 13 juillet 2010 aux Etats-Unis, l’Union internationale de la presse tient à saluer sa mémoire, à rappeler son combat pour la défense de tous les droits. Le meilleur hommage que les journalistes puissent rendre à ce professionnel qui s’en est allé, c’est de poursuivre son combat, dans la cohésion, dans la solidarité, et avec conviction.
Au journal Le Messager, à la presse camerounaise et à tout le Cameroun, ainsi qu’à sa famille, l’UPF apporte l’expression de son soutien et de son réconfort. A toutes et à tous, l’UPF adresse ses sincères condoléances.
Fait, le 13 juillet 2010
Pour l’UPF
Alfred Dan Moussa, Président international