La critique est aisée mais l’art est difficile. Mamadou Koulibaly à en croire à ses turpitudes, aurait en pareille circonstance raison gardée. Etait-il nécessaire pour le président de l’Assemblée Nationale de se jeter en pâture intellectuelle en jetant l’opprobre à Désiré Tagro ? La suite on la connait. Mamadou Koulibaly en veut au régime présidentiel de tous les partis présidentiels de l’Afrique. Et en particulier le régime du président Laurent Gbagbo, le fils du peuple. L’élu de la commune de Koumassi puisque c’est de lui qu’il s’agit, loin de se l’imaginer est un poison pour le FPI. Comment comprendre que lui, Mamadou Koulibaly, propriétaire d’un patrimoine immobilier impressionnant (nous y reviendrons) soit lui aussi caractérisé par un discours discourtois et désobligeant. Lui qui, loin de rendre compte à la population de Koumassi, depuis son élection et sauver par le gong de la crise ivoirienne qui perdure s’obstine à présider les séances d’élaboration de lois à l’hémicycle, voire à l’Assemblée Nationale. Au point que certains députés le taxent de faire ‘’l’école buissonnière’’. Tirer à boulet rouge sur le chef de l’Etat via le ministre de l’intérieur Désiré Tagro, révèle de l’époque de l’arc et du grenier. Mamadou Koulibaly n’a-t-il rien à se reprocher ? Contrairement à lui qui n’a aucune base électorale, Désiré Tagro est incontournable dans son département natal. Au lieu qu’il se préoccupe des originaires de Digbam qui ont réussi au concours de police comme si ces derniers n’étaient pas Ivoiriens ou n’en avaient pas le droit, il ferait mieux, lui qui est tant soucieux des populations à qui il voudrait que les gouvernants rendent compte, de donner l’exemple à Koumassi sa circonscription électorale. Aussi, Mamadou Koulibaly qui donne l’impression qu’à part la police et la gendarmerie, aucun autre concours ne s’organise en Eburnie, devrait s’interroger sur le fait que la majeure partie des institutions ivoiriennes soient dirigées par des originaires du Nord. Nous pourrons par exemple citer la primature, le conseil économique et social, la commission électorale indépendante, l’Assemblée Nationale où il se rend au gré de ses humeurs. Les cadres des autres régions de la Côte d’Ivoire n’ont-ils pas la compétence nécessaire pour occuper ces postes ? Que mijote au juste la deuxième personnalité du pays ? A chacune de ses sorties, on a l’impression qu’il se plaise à indisposer les Ivoiriens qui ont déjà marre de cette situation de ni paix ni guerre qui perturbe leur quiétude. Si Mamadou Koulibaly veut créer un parti politique ou simplement rejoindre ses hôtes de la dernière fois dont les intentions sont bien connues, il serait sage qu’il prenne son courage et démissionne. C’est sûr que le ciel ne tombera pas sur le Front Populaire Ivoirien, encore moins sur la Côte d’Ivoire. Heureusement, le dos du nageur est de plus en plus visible…
Koné Siriki
Encaré 1
Il y a de cela quelques mois, une rumeur déconcertante enflait la Côte d’Ivoire. Jetant l’opprobre sur le chef de l’Etat. Tant le mutisme et le silence profond qu’affichait le président de l’Assemblement Nationale Mamadou Koulibaly entretenait l’opinion publique. Là, où lui, qui parle aujourd’hui de responsabilité politique, devrait prendre ses responsabilités pour mettre fin aux élucubrations de l’opinion publique. Car, l’image du chef de l’Etat, son souverain en dépendait. Une histoire dont nous nous réservons le droit d’en faire écho, par probité intellectuelle et morale, mettait en scène le président Mamadou Koulibaly himself. C’est pourquoi, les esprits avertis, capables de faire la différence entre l’ivraie et le vrai, s’abstiennent de tout commentaire. Car, comment comprendre les propos de Mamadou Koulibaly qui prône la liberté morale de la classe politique en se démarquant de leur intérêt personnel, égoïste et être propriétaire de plusieurs édifices et réalisations acquis depuis sa nomination au poste de ministre de l’économie et des finances du temps de feu le président Robert Guéi, jusqu’à son poste de président de l’Assemblée Nationale ? A-t-il lui, élu du peuple, député de la commune de Koumassi rendu compte à cette population. Qui ploie sous le joug d’une paupérisation galopante ? Une jeunesse sans repère livrée à elle-même, qui attend de pieds fermes les prochaines législatives pour mettre fin aux turpides et autres âneries du professeur Mamadou Koulibaly, l’autre mal du Front Populaire Ivoirien (FPI). C’est pourquoi, au sein de la refondation, tous les cadres qui tenaient le président de l’Assemblée Nationale en estime pour son franc parlé, passent en ce moment des nuits blanches. Tant l’homme, au regard de ses déclarations désobligeantes et gratuites lors de ses sorties après un long moment dans un coma diabolique, détruit tout sur son passage. A qui le prochain tour ? Violente question.
L.B.A
Encaré 2 : Mamadou Koulibaly se trompede combat
Le président de l’Assemblée Nationale, Mamadou Koulibaly est passé maître dans l’art de vilipender le pouvoir FPI. Ce pouvoir qui lui a pourtant tout donné et révélé au peuple ivoirien, est devenu sa cible. Il ne se prive pas de le ‘’torturer’’ quand ça lui prend. Plusieurs fois, il s’en est pris à ses camarades du parti. Même le chef de l’Etat a été victime de ses sorties hasardeuses. Lui qui devait s’abstenir de révéler les ‘’affaires sales’’ de la République, les met à nu. Dans les autres formations politiques, quand le pot aux roses est découvert, tous soutiennent le mis en cause. Le cas de Beugré Mambé est encore vivace dans les esprits. Une marche avait même été organisée pour le soutenir malgré la lourde faute dont il s’est rendu coupable. Au FPI, Mamadou Koulibaly entretient le doute sur sa sincérité à être un proche parmi les proches de Laurent Gbagbo. Désiré Tagro, en signant l’accord politique de Ouaga a bien fait. Il l’a fait pour le retour de la paix en Côte d’Ivoire. Qu’a-t-il fait lui Mamadou Koulibaly depuis que la guerre a éclaté pour sortir le pays du bourbier ? N’est-ce pas lui qui a été le premier à claquer la porte lors de la réunion des accords de Marcoussis ? L’élu de la commune de Koumassi devrait plutôt s’en prendre aux rebelles qui refusent de désarmer et qui continuent de faire la pluie et le beau temps dans les zones sous leur contrôle. Que dit-il lorsque la délégation conduite par le porte-parole du chef de l’Etat Gervais Coulibaly est refoulée ? Ou quand le fédéral Traoré Bêh est bastonné par les hors-la-loi ? Le mieux serait que Mamadou Koulibaly dise aux Ivoiriens dans quel camp il joue actuellement. Parce qu’à vouloir trop taper sur la queue de l’âne, il y a une limite. Le jeu trouble auquel il s’adonne, sera dévoilé un jour si ce ne l’est déjà.
Paul Kougrô
Encadré 3 : Tagro victime de sa loyauté
Le ministre Désiré Tagro Assignini, ex-directeur de cabinet de Boga Doudou, patriote convaincu, a réussi en si peu de temps à faire l’unanimité autour de sa personne. Tant sa disponibilité, son opiniâtreté à fini par convaincre le Président Laurent Gbagbo. Au point que ce souverain, soucieux de l’indépendance économique de son pays, ce bâtisseur d’une Côte d’Ivoire nouvelle, le Président Laurent Gbagbo lui a fait confiance. Cet homme, à défaut d’avoir le don d’ubiquité, c’est-à-dire être partout à la fois a fait montre de ses qualités d’homme de loi. En témoigne sa dévotion au service de la Côte d’Ivoire. Du problème des déchets toxiques où à la demande du Président de la République, Désiré Tagro, a réussi à travers des négociations âpres à faire entendre raison quant aux payements des dommages et intérêts des victimes du Probo Koala, appelé bateau de la mort. Homme de conviction et soucieux du bien être de son pays, la Côte d’Ivoire, Désiré Tagro est au four et au moulin. Que dire des sacrifices consentis pour son pays ! Lui, qui, en faveur de son patriotisme fait de son intimité familiale, une priorité secondaire. Parce que serviable, disponible à être au service de son souverain, le Président de la République, Son Excellence Laurent Gbagbo, mieux de la Côte d’Ivoire. Comment comprendre, qu’un ministre de la trempe de Désiré Tagro, serviable à tous les niveaux soit l’objet d’attaques tous azimuts. C’aurait été du côté de la rébellion, l’on n’aurait aucun mot à dire. Mais de là à observer les démangeaisons cérébrales d’un allié de haute lutte pour la conquête du pouvoir, il y a de quoi à tomber des nus. Mamadou Koulibaly, puisque c’est de lui qu’il s’agit se trombe de combat et de cible.
L.B.A
Koné Siriki
Encaré 1
Il y a de cela quelques mois, une rumeur déconcertante enflait la Côte d’Ivoire. Jetant l’opprobre sur le chef de l’Etat. Tant le mutisme et le silence profond qu’affichait le président de l’Assemblement Nationale Mamadou Koulibaly entretenait l’opinion publique. Là, où lui, qui parle aujourd’hui de responsabilité politique, devrait prendre ses responsabilités pour mettre fin aux élucubrations de l’opinion publique. Car, l’image du chef de l’Etat, son souverain en dépendait. Une histoire dont nous nous réservons le droit d’en faire écho, par probité intellectuelle et morale, mettait en scène le président Mamadou Koulibaly himself. C’est pourquoi, les esprits avertis, capables de faire la différence entre l’ivraie et le vrai, s’abstiennent de tout commentaire. Car, comment comprendre les propos de Mamadou Koulibaly qui prône la liberté morale de la classe politique en se démarquant de leur intérêt personnel, égoïste et être propriétaire de plusieurs édifices et réalisations acquis depuis sa nomination au poste de ministre de l’économie et des finances du temps de feu le président Robert Guéi, jusqu’à son poste de président de l’Assemblée Nationale ? A-t-il lui, élu du peuple, député de la commune de Koumassi rendu compte à cette population. Qui ploie sous le joug d’une paupérisation galopante ? Une jeunesse sans repère livrée à elle-même, qui attend de pieds fermes les prochaines législatives pour mettre fin aux turpides et autres âneries du professeur Mamadou Koulibaly, l’autre mal du Front Populaire Ivoirien (FPI). C’est pourquoi, au sein de la refondation, tous les cadres qui tenaient le président de l’Assemblée Nationale en estime pour son franc parlé, passent en ce moment des nuits blanches. Tant l’homme, au regard de ses déclarations désobligeantes et gratuites lors de ses sorties après un long moment dans un coma diabolique, détruit tout sur son passage. A qui le prochain tour ? Violente question.
L.B.A
Encaré 2 : Mamadou Koulibaly se trompede combat
Le président de l’Assemblée Nationale, Mamadou Koulibaly est passé maître dans l’art de vilipender le pouvoir FPI. Ce pouvoir qui lui a pourtant tout donné et révélé au peuple ivoirien, est devenu sa cible. Il ne se prive pas de le ‘’torturer’’ quand ça lui prend. Plusieurs fois, il s’en est pris à ses camarades du parti. Même le chef de l’Etat a été victime de ses sorties hasardeuses. Lui qui devait s’abstenir de révéler les ‘’affaires sales’’ de la République, les met à nu. Dans les autres formations politiques, quand le pot aux roses est découvert, tous soutiennent le mis en cause. Le cas de Beugré Mambé est encore vivace dans les esprits. Une marche avait même été organisée pour le soutenir malgré la lourde faute dont il s’est rendu coupable. Au FPI, Mamadou Koulibaly entretient le doute sur sa sincérité à être un proche parmi les proches de Laurent Gbagbo. Désiré Tagro, en signant l’accord politique de Ouaga a bien fait. Il l’a fait pour le retour de la paix en Côte d’Ivoire. Qu’a-t-il fait lui Mamadou Koulibaly depuis que la guerre a éclaté pour sortir le pays du bourbier ? N’est-ce pas lui qui a été le premier à claquer la porte lors de la réunion des accords de Marcoussis ? L’élu de la commune de Koumassi devrait plutôt s’en prendre aux rebelles qui refusent de désarmer et qui continuent de faire la pluie et le beau temps dans les zones sous leur contrôle. Que dit-il lorsque la délégation conduite par le porte-parole du chef de l’Etat Gervais Coulibaly est refoulée ? Ou quand le fédéral Traoré Bêh est bastonné par les hors-la-loi ? Le mieux serait que Mamadou Koulibaly dise aux Ivoiriens dans quel camp il joue actuellement. Parce qu’à vouloir trop taper sur la queue de l’âne, il y a une limite. Le jeu trouble auquel il s’adonne, sera dévoilé un jour si ce ne l’est déjà.
Paul Kougrô
Encadré 3 : Tagro victime de sa loyauté
Le ministre Désiré Tagro Assignini, ex-directeur de cabinet de Boga Doudou, patriote convaincu, a réussi en si peu de temps à faire l’unanimité autour de sa personne. Tant sa disponibilité, son opiniâtreté à fini par convaincre le Président Laurent Gbagbo. Au point que ce souverain, soucieux de l’indépendance économique de son pays, ce bâtisseur d’une Côte d’Ivoire nouvelle, le Président Laurent Gbagbo lui a fait confiance. Cet homme, à défaut d’avoir le don d’ubiquité, c’est-à-dire être partout à la fois a fait montre de ses qualités d’homme de loi. En témoigne sa dévotion au service de la Côte d’Ivoire. Du problème des déchets toxiques où à la demande du Président de la République, Désiré Tagro, a réussi à travers des négociations âpres à faire entendre raison quant aux payements des dommages et intérêts des victimes du Probo Koala, appelé bateau de la mort. Homme de conviction et soucieux du bien être de son pays, la Côte d’Ivoire, Désiré Tagro est au four et au moulin. Que dire des sacrifices consentis pour son pays ! Lui, qui, en faveur de son patriotisme fait de son intimité familiale, une priorité secondaire. Parce que serviable, disponible à être au service de son souverain, le Président de la République, Son Excellence Laurent Gbagbo, mieux de la Côte d’Ivoire. Comment comprendre, qu’un ministre de la trempe de Désiré Tagro, serviable à tous les niveaux soit l’objet d’attaques tous azimuts. C’aurait été du côté de la rébellion, l’on n’aurait aucun mot à dire. Mais de là à observer les démangeaisons cérébrales d’un allié de haute lutte pour la conquête du pouvoir, il y a de quoi à tomber des nus. Mamadou Koulibaly, puisque c’est de lui qu’il s’agit se trombe de combat et de cible.
L.B.A
