Adama Bictogo dont le domicile à Agboville a reçu, la semaine dernière, la visite de malfrats, s'est prononcé pour la deuxième fois sur l'affaire Tagro. Tout en reconnaissant que le ministre de l'Intérieur est son ''frère et ami'', M. Bictogo a jugé inopportun la mise sur pied d'une commission d'enquête parlementaire. «Comme tous les Ivoiriens, je voudrais m'en tenir à l'information judiciaire. C'est vrai qu'en écoutant les députés du Pdci, ils évoquent les problèmes de l'école de police, des concours professionnels. Mais, je pense que notre pays a connu une parenthèse», soutient-il.
Coulisses Publié le mardi 20 juillet 2010 | Nord-Sud