Une équipe de Journalistes engagés dans la lutte contre le Vih/Sida, venus de différents organes de la presse écrite, de l’audio-visuel (télé et radios de proximité) sont en formation avec le réseau des professionnels des média des arts et des sports engagés dans la lutte contre le Sida (REPMASCI). Cet atelier qui va durer quatre (4) jours a pour thème : « La formation des journalistes et animateurs radio sur la santé de la reproduction et les condoms masculins et féminins. » Son objectif, selon Bamba Youssouf, président du Conseil d’administration du REPMASCI, est de renforcer les capacités des professionnels des média. Ce séminaire fait suite à un atelier d’élaboration et validation de messages dont les conclusions sont disponibles, à en croire Bamba Youssouf, en attendant leur production en vue d’une large diffusion. Pendant quatre jours, le ministère de la santé et celui de la lutte contre la sida font situer le cadre de cette formation. D’abord, à commencer par l’aspect politique, la santé de la reproduction, les valeurs et la culture. Mais surtout, à apprendre aux participants, comment utiliser les préservatifs. Pour Dr Yao Konan, de l’UNFPA, les femmes et les jeunes demeurent les populations les plus vulnérables.
Et le niveau de connaissances exactes des jeunes sur le Vih et l’utilisation des préservatifs reste relativement faible. Car, 39,4% seulement pour l’usage des préservatifs lors des derniers rapports à hauts risques. Seule une femme sur 10 a recours à une méthode contraceptive moderne. Dr Yao a, au nom de Mme Konaté Suzanne Maïga, patronne de l’UNFPA, a dit, plus qu’un thème récurrent, l’intégration de la santé de la reproduction, notamment la planification familiale, les CNP, les accouchements médicalement assistés, aux interventions de lutte contre le VIH, demeurent une stratégie pour booster les programmes de préventions, les soins et traitements du VIH pour améliorer de manière substantielle la santé de la mère et de l’enfant.
Avant de remercier le REPMASCI de son engagement à conduire les professionnels des médias dans lutte contre ce fléau.
Le secrétaire général de la préfecture, Traoré Youssouf, pour sa part, a encouragé les participants à s’engager effectivement dans la lutte afin de vaincre ce mal. Car pour lui, la guérison du Sida n’est pas le fait d’être riche, sinon les populations des pays les plus nantis n’en seraient pas mortes. Il s’agit simplement de « changement de comportement.
Jacquelin Mintoh
Et le niveau de connaissances exactes des jeunes sur le Vih et l’utilisation des préservatifs reste relativement faible. Car, 39,4% seulement pour l’usage des préservatifs lors des derniers rapports à hauts risques. Seule une femme sur 10 a recours à une méthode contraceptive moderne. Dr Yao a, au nom de Mme Konaté Suzanne Maïga, patronne de l’UNFPA, a dit, plus qu’un thème récurrent, l’intégration de la santé de la reproduction, notamment la planification familiale, les CNP, les accouchements médicalement assistés, aux interventions de lutte contre le VIH, demeurent une stratégie pour booster les programmes de préventions, les soins et traitements du VIH pour améliorer de manière substantielle la santé de la mère et de l’enfant.
Avant de remercier le REPMASCI de son engagement à conduire les professionnels des médias dans lutte contre ce fléau.
Le secrétaire général de la préfecture, Traoré Youssouf, pour sa part, a encouragé les participants à s’engager effectivement dans la lutte afin de vaincre ce mal. Car pour lui, la guérison du Sida n’est pas le fait d’être riche, sinon les populations des pays les plus nantis n’en seraient pas mortes. Il s’agit simplement de « changement de comportement.
Jacquelin Mintoh