ABIDJAN - Un appui financier d'un montant de 98,37 millions de dollar, soit environ 50 milliards de FCFA, vient d'être accordé à la société ivoirienne de raffinage (SIR) par un holding financier afin de l'aider à poursuivre ses activités.
Cet appui financier obtenu grâce à une convention de prêt signé avec la Banque Atlantique vise à permettre à la plus importante raffinerie de pétrole au sud du Sahara de maintenir ses achats de brut au niveau international et de lui éviter une rupture dans la chaîne d'approvisionnement, selon un communiqué de la Banque Atlantique transmis lundi.
Le groupe de la Banque Atlantique comprend sept pays de l'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), un pays de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC) et un bureau à Paris.
La SIR a connu des moments de turbulence marquée par un compte d'exploitation déficitaire de 50 milliards de FCFA en 2009 et un déficit de trésorerie de 30 milliards de FCFA causés par la crise énergétique mondiale cumulée avec le renchérissement des cours du pétrole.
Un consortium de banques privées avait, à l'occasion, accepté d'injecter un peu plus de 36 milliards de FCFA dans la trésorerie de la SIR. Fin
Cet appui financier obtenu grâce à une convention de prêt signé avec la Banque Atlantique vise à permettre à la plus importante raffinerie de pétrole au sud du Sahara de maintenir ses achats de brut au niveau international et de lui éviter une rupture dans la chaîne d'approvisionnement, selon un communiqué de la Banque Atlantique transmis lundi.
Le groupe de la Banque Atlantique comprend sept pays de l'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), un pays de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC) et un bureau à Paris.
La SIR a connu des moments de turbulence marquée par un compte d'exploitation déficitaire de 50 milliards de FCFA en 2009 et un déficit de trésorerie de 30 milliards de FCFA causés par la crise énergétique mondiale cumulée avec le renchérissement des cours du pétrole.
Un consortium de banques privées avait, à l'occasion, accepté d'injecter un peu plus de 36 milliards de FCFA dans la trésorerie de la SIR. Fin
