La commission nationale ivoirienne pour l'Unesco a organisé hier, dans ses locaux un panel sur la liberté de la presse.
La commission nationale pour l'Unesco a prolongé hier, la célébration de la journée de la presse dans ses locaux, à Cocody Mermoz. En organisant un panel sur le thème central "L'information : le droit de savoir". Dans son intervention de bienvenu, le professeur Lou Bamba, secrétaire général de cette commission a expliqué que l'organisation de ces activités est un simple prolongement de la journée mondiale de la presse du 3 mai. Parce que selon lui, elle revêt une grande importance car l'objectif est de sensibiliser au maximum la population. Pour le secrétaire général de la commission nationale de l'Unesco, la question de la liberté de la presse est inépuisable, car elle relève de la grande problématique de la liberté qui, elle-même , définit l'homme dans la modernité. " Par la liberté, l'homme donne sens, à la fois comme signification et direction, à sa vie, à son existence. Or l'homme est un être en mouvement, il est dynamique par essence. La lutte pour la liberté de la presse s'impose comme une quête ", a-t-il expliqué. Selon le message de la directrice générale de l'Unesco, le droit de savoir est la clé d'autres droits fondamentaux, et le gage de plus de transparence, de justice et de développement. Avec la liberté d'expression, qui lui est complémentaire, il est l'assise même de la démocratie. Pour elle, les obstacles au droit de savoir prennent des formes diverses qui peuvent aller du manque de ressources et des infrastructures adaptées à l'obstruction délibérée. Elle a par ailleurs invité les gouvernements, la société civile, les médias et chacun à se mobiliser aux côtés de l'Unesco pour promouvoir la liberté d'information dans le monde entier. "Journalisme et droit de savoir à l'ère du numérique" , "La liberté de l'information comme instrument d'émancipation citoyenne : défense et exercice des autres droits ", "La liberté de l'information : la situation actuelle en Côte d'Ivoire , défis à relever et leur implication pour les médias" sont les sous-thèmes animés respectivement par Alfred Dan Moussa , Boga Sako Gervais et Ouohi André représentant Zio Moussa. Le ministre de la communication a été représentée par Ida Alloh .
Renaud Djatchi
La commission nationale pour l'Unesco a prolongé hier, la célébration de la journée de la presse dans ses locaux, à Cocody Mermoz. En organisant un panel sur le thème central "L'information : le droit de savoir". Dans son intervention de bienvenu, le professeur Lou Bamba, secrétaire général de cette commission a expliqué que l'organisation de ces activités est un simple prolongement de la journée mondiale de la presse du 3 mai. Parce que selon lui, elle revêt une grande importance car l'objectif est de sensibiliser au maximum la population. Pour le secrétaire général de la commission nationale de l'Unesco, la question de la liberté de la presse est inépuisable, car elle relève de la grande problématique de la liberté qui, elle-même , définit l'homme dans la modernité. " Par la liberté, l'homme donne sens, à la fois comme signification et direction, à sa vie, à son existence. Or l'homme est un être en mouvement, il est dynamique par essence. La lutte pour la liberté de la presse s'impose comme une quête ", a-t-il expliqué. Selon le message de la directrice générale de l'Unesco, le droit de savoir est la clé d'autres droits fondamentaux, et le gage de plus de transparence, de justice et de développement. Avec la liberté d'expression, qui lui est complémentaire, il est l'assise même de la démocratie. Pour elle, les obstacles au droit de savoir prennent des formes diverses qui peuvent aller du manque de ressources et des infrastructures adaptées à l'obstruction délibérée. Elle a par ailleurs invité les gouvernements, la société civile, les médias et chacun à se mobiliser aux côtés de l'Unesco pour promouvoir la liberté d'information dans le monde entier. "Journalisme et droit de savoir à l'ère du numérique" , "La liberté de l'information comme instrument d'émancipation citoyenne : défense et exercice des autres droits ", "La liberté de l'information : la situation actuelle en Côte d'Ivoire , défis à relever et leur implication pour les médias" sont les sous-thèmes animés respectivement par Alfred Dan Moussa , Boga Sako Gervais et Ouohi André représentant Zio Moussa. Le ministre de la communication a été représentée par Ida Alloh .
Renaud Djatchi