Les lampions se sont éteints sur la première édition du salon de la qualité Iso 2010. Trois jours intenses de rencontres, d’échanges dans le but de promouvoir une économie performante aux standards internationaux.
Ce sont, trois jours durant lesquels la qualité et la certification ont été au cœur des débats et conférences qui ont eu lieu lors de ce salon. Trois jours dont le principal souci était la relance de l’économie par la qualité et la certification. En effet, face aux défis du développement, la Côte d’Ivoire se doit dans cette période post-crise et après avoir subit les contres coups de la conjecture internationale d’asseoir, sa relance économique sur les fondements capables de hisser sa production tant tertiaire qu’industrielle. Et ces fondements ne sont rien d’autre que la qualité et la certification des entreprises des services et surtout des produits capables de favoriser la conquête des marchés extérieurs et rivaliser avec la puissance étrangère. C’est pourquoi, ce salon en plus d’avoir été une incitation des entreprises qelles qu’elles soient à s’engager sur le chemin des normes internationales a été également une sensibilisation et un appel des opérateurs économiques et des consommateurs à s’inscrire dans la logique de la qualité et de la certification qui sont devenues une exigence pour toutes les économies. En clair, il faut dire que durant 3 jours, il a été la question de qualité qui devrait permettre à la Côte d’Ivoire, principal artisan de la marche de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) avec 40% de son tissu économique, de rebondir et de se moderniser davantage. Mais ce bond, doit nécessairement passer par la qualité et la certification. Pour faire de l’économie ivoirienne, une économie performante capable d’embarquer dans le wagon des pays émergents.
B.K.
Ce sont, trois jours durant lesquels la qualité et la certification ont été au cœur des débats et conférences qui ont eu lieu lors de ce salon. Trois jours dont le principal souci était la relance de l’économie par la qualité et la certification. En effet, face aux défis du développement, la Côte d’Ivoire se doit dans cette période post-crise et après avoir subit les contres coups de la conjecture internationale d’asseoir, sa relance économique sur les fondements capables de hisser sa production tant tertiaire qu’industrielle. Et ces fondements ne sont rien d’autre que la qualité et la certification des entreprises des services et surtout des produits capables de favoriser la conquête des marchés extérieurs et rivaliser avec la puissance étrangère. C’est pourquoi, ce salon en plus d’avoir été une incitation des entreprises qelles qu’elles soient à s’engager sur le chemin des normes internationales a été également une sensibilisation et un appel des opérateurs économiques et des consommateurs à s’inscrire dans la logique de la qualité et de la certification qui sont devenues une exigence pour toutes les économies. En clair, il faut dire que durant 3 jours, il a été la question de qualité qui devrait permettre à la Côte d’Ivoire, principal artisan de la marche de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) avec 40% de son tissu économique, de rebondir et de se moderniser davantage. Mais ce bond, doit nécessairement passer par la qualité et la certification. Pour faire de l’économie ivoirienne, une économie performante capable d’embarquer dans le wagon des pays émergents.
B.K.