Le couple Hawkins Coolout Chris et Amina Norman Hawkins et Angela «Ang 13», tous les trois du groupe «The Chicago hip hop initiative», ont gratifié le public de deux heures de spectacle. On s’attendait à les voir en grosses culottes ou jeans laissant entrevoir leurs sous-vêtements. Que non. Ils arboraient des tenues classiques : un tee-shirt et un jean bleu pour Chris Hawkins, un body noir et un jean bleu nuit pour son épouse, quand «Ang 13» se contentait d’un ensemble pantacourt. A 21h45, ils montent sur le podium. Pour une ballade musicale dans les rues de Chicago avec des titres très enlevés de leur répertoire. Le public, bien que ne comprenant pas grand-chose aux textes égrenés en anglais, ne demandait qu’à danser.
Ang 13 vole la vedette au couple Hawkins. Quand elle commence à râper, elle est accompagnée par des salves d’applaudissements. Pas étonnant, elle est une rappeuse accomplie, présentatrice et productrice. Elle a été désignée, apprend-on, «Reine actuelle du hip hop. Ses albums «Phat as Yo Mama», « Oh No», «Power in Numbers» se comportent bien sur le marché. Le premier cité s’est vendu à 7 000 exemplaires.
Le couple Hawkins n’est pas non plus anonyme à Chicago. L’homme est animateur, Dj et producteur. Son épouse est chanteuse et enseignante. Ils dirigent respectivement «Urbanized Music affiliated collectives» et «The Chicago hip-hop initiative». Sous leur impulsion, la ville de Chicago a décrété le mois de juillet mois du hip-hop.
Ang 13 et Mme Hawkins ont affirment qu’elles ont acquis leur notoriété grâce au hip-hop. Ce, depuis 2006, où elles se sont investies dans la défense de l’image de la femme.
Le public n’a pas résisté à ce phénomène, reprenant en cœur «Oyé... », y compris Mme Sita Liane Chakrawarti, directrice du Centre culturel américain.
Elle a même esquissé des pas de danse quand Rageman exécutait «He gaou», Prisca, Face to face et le Groupe Sotheca aussiétaient de la partie. Ce dernier a permis aux Américains de découvrir les danses du terroir. La présence du groupe «Chicago hip hop» s’inscrit dans le cadre du programme de l’Ambassade des Etats-Unis. Il s’agit en fait d’une tournée de sensibilisation dans 8 villes de la Côte d’Ivoire, notamment Aboisso, Gagnoa, Daloa Ferkessédougou, et Korhogo pour une série de concerts et d’ateliers avec les jeunes.
Objectif : véhiculer des messages de paix, de tolérance par le canal de cette musique et exhorter la jeunesse à être plus responsable.L’aboutissement de ce programme est ce concert au Palais de la culture qui, malheureusement, n’a pas drainé de monde.
Marie Chantal Obindé
Auteur de cet article: Marie Chantal Obindé
Ang 13 vole la vedette au couple Hawkins. Quand elle commence à râper, elle est accompagnée par des salves d’applaudissements. Pas étonnant, elle est une rappeuse accomplie, présentatrice et productrice. Elle a été désignée, apprend-on, «Reine actuelle du hip hop. Ses albums «Phat as Yo Mama», « Oh No», «Power in Numbers» se comportent bien sur le marché. Le premier cité s’est vendu à 7 000 exemplaires.
Le couple Hawkins n’est pas non plus anonyme à Chicago. L’homme est animateur, Dj et producteur. Son épouse est chanteuse et enseignante. Ils dirigent respectivement «Urbanized Music affiliated collectives» et «The Chicago hip-hop initiative». Sous leur impulsion, la ville de Chicago a décrété le mois de juillet mois du hip-hop.
Ang 13 et Mme Hawkins ont affirment qu’elles ont acquis leur notoriété grâce au hip-hop. Ce, depuis 2006, où elles se sont investies dans la défense de l’image de la femme.
Le public n’a pas résisté à ce phénomène, reprenant en cœur «Oyé... », y compris Mme Sita Liane Chakrawarti, directrice du Centre culturel américain.
Elle a même esquissé des pas de danse quand Rageman exécutait «He gaou», Prisca, Face to face et le Groupe Sotheca aussiétaient de la partie. Ce dernier a permis aux Américains de découvrir les danses du terroir. La présence du groupe «Chicago hip hop» s’inscrit dans le cadre du programme de l’Ambassade des Etats-Unis. Il s’agit en fait d’une tournée de sensibilisation dans 8 villes de la Côte d’Ivoire, notamment Aboisso, Gagnoa, Daloa Ferkessédougou, et Korhogo pour une série de concerts et d’ateliers avec les jeunes.
Objectif : véhiculer des messages de paix, de tolérance par le canal de cette musique et exhorter la jeunesse à être plus responsable.L’aboutissement de ce programme est ce concert au Palais de la culture qui, malheureusement, n’a pas drainé de monde.
Marie Chantal Obindé
Auteur de cet article: Marie Chantal Obindé
