Le président des Ivoiriens de l`étranger, Sem. Zadi Richard, a procédé le mercredi 18 août 2010, au lancement officiel des activités de la diaspora.
En prélude aux premières journées internationales des diasporas (Jid), qui se tiennent depuis le 17 août 2010 et ce, jusqu’au 19 du même mois, à Grand-Bassam (Zone franche), l`Ambassadeur de Côte d`Ivoire en Inde, Sem Zadi Richard, a animé hier mardi 11 mai 2010, un point de presse pour le lancement officiel des activités de ladite structure, à l`hôtel communal de Cocody. Pour Sem Zadi Richard, la Côte d`ivoire qui amorce une sortie de crise, s`est retrouvée face aux enjeux de reconstruction post-conflit. A cet effet, a-t-il poursuivi, les ivoiriens de l`étranger ont décidé de jouer leur partition. Pour lui, l`apport de la diaspora ivoirienne en matière de progrès économique et social peut avoir une signification effective. Face donc à la rareté des investissements et surtout la baisse drastique des aides aux développements, le salut des pays africains et plus particulièrement de la Côte d`Ivoire, réside selon les propos de Sem. Zadi, en l`expérience acquise de leurs expatriés qui représentent une manne importante au plan économique, politique et social. Pour le réseau Côte d`Ivoire diaspora (Recid), la problématique essentielle demeure celle du retour au pays. Il y a donc lieu d`agir à travers un réseau mondial, susceptible de proposer à un grand nombre d`ivoiriens vivant à l`étranger qui souhaitent rentrer au bercail, de le faire sans crainte. Car, ils auront à mettre au profit des autres compatriotes, leurs expériences acquises au fil des années. En somme, la mission de la diaspora selon les explications du diplomate, est de susciter des accords de coopération décentralisée dans leurs différents pays hôtes, au profit des communes et autres collectivités territoriales de la Côte d`Ivoire. A l`instar donc des grandes nations telles que le Japon, les Etats-Unis d`Amérique et l`Afrique du Sud, où règnent la démocratie et l`ordre, les expatriés doivent travailler en réseau en associant tout le monde et en privilégiant la transparence. Dans la même veine, l`une des missions de la diaspora est de soutenir l`Etat de Côte d`Ivoire dans ses efforts d`organisation et de modernisation, de contribuer à la mise en place d`un cadre institutionnel et politique approprié au profit des Ivoiriens de l`étranger.
Jean-Baptiste Essis
Jejbessis8@gmail.com
En prélude aux premières journées internationales des diasporas (Jid), qui se tiennent depuis le 17 août 2010 et ce, jusqu’au 19 du même mois, à Grand-Bassam (Zone franche), l`Ambassadeur de Côte d`Ivoire en Inde, Sem Zadi Richard, a animé hier mardi 11 mai 2010, un point de presse pour le lancement officiel des activités de ladite structure, à l`hôtel communal de Cocody. Pour Sem Zadi Richard, la Côte d`ivoire qui amorce une sortie de crise, s`est retrouvée face aux enjeux de reconstruction post-conflit. A cet effet, a-t-il poursuivi, les ivoiriens de l`étranger ont décidé de jouer leur partition. Pour lui, l`apport de la diaspora ivoirienne en matière de progrès économique et social peut avoir une signification effective. Face donc à la rareté des investissements et surtout la baisse drastique des aides aux développements, le salut des pays africains et plus particulièrement de la Côte d`Ivoire, réside selon les propos de Sem. Zadi, en l`expérience acquise de leurs expatriés qui représentent une manne importante au plan économique, politique et social. Pour le réseau Côte d`Ivoire diaspora (Recid), la problématique essentielle demeure celle du retour au pays. Il y a donc lieu d`agir à travers un réseau mondial, susceptible de proposer à un grand nombre d`ivoiriens vivant à l`étranger qui souhaitent rentrer au bercail, de le faire sans crainte. Car, ils auront à mettre au profit des autres compatriotes, leurs expériences acquises au fil des années. En somme, la mission de la diaspora selon les explications du diplomate, est de susciter des accords de coopération décentralisée dans leurs différents pays hôtes, au profit des communes et autres collectivités territoriales de la Côte d`Ivoire. A l`instar donc des grandes nations telles que le Japon, les Etats-Unis d`Amérique et l`Afrique du Sud, où règnent la démocratie et l`ordre, les expatriés doivent travailler en réseau en associant tout le monde et en privilégiant la transparence. Dans la même veine, l`une des missions de la diaspora est de soutenir l`Etat de Côte d`Ivoire dans ses efforts d`organisation et de modernisation, de contribuer à la mise en place d`un cadre institutionnel et politique approprié au profit des Ivoiriens de l`étranger.
Jean-Baptiste Essis
Jejbessis8@gmail.com
