Tom Ozzy est un artiste-chanteur connu pour être un adepte du Zézé Pop. Il se nomme Dago Hervé à l’état civil, marié et père de deux enfants. Ainsi, depuis sa présence en Europe, il dit valoriser un autre rythme du terroir qu’il trouve plus original au Zézé Pop. Venu faire un tour au pays, il a bien voulu se prêter à nos questions. Entretien.
Tom, cela fait un bon moment qu’on ne vous entend plus. Pourquoi ?
Il n’y a pas de problème. Juste parce que je travaille en ce moment. J’ai découvert une autre voie sûre. Et mes amis et moi, c’est-à-dire mon groupe, nous sommes en train de réfléchir et travailler. Parce que pour mieux sauter, il faut reculer.
Peut-on savoir de quelle voie il s’agit ?
Depuis que je suis en Europe, je me suis rendu compte que nous passons à côté de nos rythmes, nos cultures. Nous faisions la Pop Music dans le style des Européens, et cela nous cause un peu de blocage. Donc ce que j’ai découvert, c’est qu’il faut présenter sa vraie culture comme le font les Maliens, les Sénégalais à qui, d’ailleurs, cela réussit très bien. Le rythme que je suis en train de faire, c’est le ‘’Yigbagnoua’’ qui vient de Gagnoa.
Peut-on savoir depuis quand vous êtes en Europe et ce que vous y faites concrètement ?
Je fais la musique et j’ai une famille. Je suis marié à une italienne et nous avons deux enfants. Ça va, j’exerce mon métier qui est la musique et ça va très bien. J’y suis depuis 5 ans.
Tom, vous êtes passé du Zézé Pop à la musique chrétienne. Est-ce que vous demeurez dans ce sens ?
Je fais la musique de Dieu qui est la musique chrétienne. Je suis toujours dans la musique chrétienne.
Avec quel style ?
Je suis en train de valoriser, de travailler un autre style Bété qu’on appelle le ‘’Yigbagnoua’’. C’est un rythme qui est très original.
Vous dites que vous chantez Dieu. Peut-on dire que vous êtes un chantre ?
Je ne sais pas. Au fait, je chante Dieu, les paroles de Dieu. Je chante l’amour puisque Dieu est amour. Donc on peut dire que je suis chantre. Dans tous les cas, c’est aux gens de juger.
Pourquoi êtes-vous au pays en ce moment ?
J’y suis pour les affaires, c’est-à-dire, réaliser, investir, participer au développement de mon pays.
Quel bilan Tom peut-il dresser de sa carrière musicale ?
Depuis que j’ai commencé jusqu’à maintenant, je crois que les choses se passent bien. Actuellement, je n’ai pas mal de contacts et de relations dans le milieu européen. De ce point de vue, je crois que j’ai sauté d’un pas. Parce qu’aujourd’hui, ma musique est appréciée par des professionnels qui font jouer Elton John sur de grandes scènes. Ceux-là m’invitent, mon groupe et moi, à jouer sur ces mêmes scènes et je pense qu’il y a eu un plus.
A quand le prochain album de Tom ?
Nous sommes en train d’y travailler. Tout est dans les mains de Dieu, c’est lui le décideur. Actuellement, je ne puis dire une date exacte.
.
Un mot à l’endroit de vos fans.
Je les aime beaucoup. Qu’ils ne se découragent pas à l’idée que j’ai laissé tomber la musique. Non ! La musique, c’est mon métier. Donc, ils peuvent espérer. Que Dieu les bénisse.
Réalisée par Nathalie Kassi
Tom, cela fait un bon moment qu’on ne vous entend plus. Pourquoi ?
Il n’y a pas de problème. Juste parce que je travaille en ce moment. J’ai découvert une autre voie sûre. Et mes amis et moi, c’est-à-dire mon groupe, nous sommes en train de réfléchir et travailler. Parce que pour mieux sauter, il faut reculer.
Peut-on savoir de quelle voie il s’agit ?
Depuis que je suis en Europe, je me suis rendu compte que nous passons à côté de nos rythmes, nos cultures. Nous faisions la Pop Music dans le style des Européens, et cela nous cause un peu de blocage. Donc ce que j’ai découvert, c’est qu’il faut présenter sa vraie culture comme le font les Maliens, les Sénégalais à qui, d’ailleurs, cela réussit très bien. Le rythme que je suis en train de faire, c’est le ‘’Yigbagnoua’’ qui vient de Gagnoa.
Peut-on savoir depuis quand vous êtes en Europe et ce que vous y faites concrètement ?
Je fais la musique et j’ai une famille. Je suis marié à une italienne et nous avons deux enfants. Ça va, j’exerce mon métier qui est la musique et ça va très bien. J’y suis depuis 5 ans.
Tom, vous êtes passé du Zézé Pop à la musique chrétienne. Est-ce que vous demeurez dans ce sens ?
Je fais la musique de Dieu qui est la musique chrétienne. Je suis toujours dans la musique chrétienne.
Avec quel style ?
Je suis en train de valoriser, de travailler un autre style Bété qu’on appelle le ‘’Yigbagnoua’’. C’est un rythme qui est très original.
Vous dites que vous chantez Dieu. Peut-on dire que vous êtes un chantre ?
Je ne sais pas. Au fait, je chante Dieu, les paroles de Dieu. Je chante l’amour puisque Dieu est amour. Donc on peut dire que je suis chantre. Dans tous les cas, c’est aux gens de juger.
Pourquoi êtes-vous au pays en ce moment ?
J’y suis pour les affaires, c’est-à-dire, réaliser, investir, participer au développement de mon pays.
Quel bilan Tom peut-il dresser de sa carrière musicale ?
Depuis que j’ai commencé jusqu’à maintenant, je crois que les choses se passent bien. Actuellement, je n’ai pas mal de contacts et de relations dans le milieu européen. De ce point de vue, je crois que j’ai sauté d’un pas. Parce qu’aujourd’hui, ma musique est appréciée par des professionnels qui font jouer Elton John sur de grandes scènes. Ceux-là m’invitent, mon groupe et moi, à jouer sur ces mêmes scènes et je pense qu’il y a eu un plus.
A quand le prochain album de Tom ?
Nous sommes en train d’y travailler. Tout est dans les mains de Dieu, c’est lui le décideur. Actuellement, je ne puis dire une date exacte.
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Un mot à l’endroit de vos fans.
Je les aime beaucoup. Qu’ils ne se découragent pas à l’idée que j’ai laissé tomber la musique. Non ! La musique, c’est mon métier. Donc, ils peuvent espérer. Que Dieu les bénisse.
Réalisée par Nathalie Kassi
