Depuis quelques mois, un torchon en ligne, lebanco.net, d’une ligne éditoriale aussi lugubre que son initiateur s’est donné pour mission de s’attaquer, gratuitement et sans preuves, aux personnalités diplomatiques et religieuses ivoiriennes de Washington, DC. Résidant aux Etats-Unis comme Pouamon et autant citoyen ivoirien que lui, je voudrais adresser ces quelques lignes à ce donneur de leçon qui ignore sa propre vie de souillure.
Malgré le silence observé par ces éminentes personnalités face aux incessantes attaques de lebanco, ce site a tristement poursuivi sa descente dans la poubelle. Le mercredi 11 août dernier, au moment même où tout Washington, DC, félicitait les Ivoiriens et en premier lieu leur Ambassadeur, SEM Charles Yao Koffi, pour l’eclat particulier célébration du Cinquantenaire, le même torchon, sous la pitoyable plume de Soukalo de Kibouo qui n’est autre que Lucien Pouamon, a publié un entrefilet pamphlétaire et dépourvu de toute déontologie journalistique. Ce papier accusant l’éminent Ambassadeur Charles Koffi d’avoir gardé par devers lui, trente mille dollars que lui aurait remis le Président de la République S.E.M Laurent Gbagbo lors de son dernier passage à l’ONU.
Dans la norme élémentaire de l’éthique journalistique, la lucidité humaine et le professionnalisme du métier imposent la recherche de l’équilibre de l’information, mieux sa vérification objective avant sa publication ; sinon, elle devient un conte de fée. Notre journaleux de Washington DC, quant à lui, ne se gave que de rumeurs et s’enrichit de haine. Comment cela peut il en être autrement quand, cet individu appelé homme, miné par son échec criard, considère les autres comme les responsables de sa poisse et se bombe la poitrine d’avoir fait rapatrier, en signe de revanche, plusieurs de ses compatriotes. Les dénonçant auprès des services américains de l’immigration. Quel mérite y a-t-il à créer un journal dont l’unique objectif est de dénigrer et de calomnier ses compatriotes ? SEM Charles Koffi constitue, comme il le dit en privé, l’homme à « acculer jusqu'à ce qu’il parte de Washington, DC » ou jusqu'à ce que celui-ci, de guerre lasse, lui octroie « un poste de chargé de tourisme au sein de l’ambassade » ? Voila donc les motivations réelles du sieur Lucien Poison, pardon, Pouamon. Dont certains journaux ivoiriens, malheureusement en mal de notoriété et d’articles servent de relai sans prendre la peine de s’interroger sur sa bonne foi, son honnêteté et le sérieux même de ce fieffé menteur connu de tous.
En clair donc, les attaques incessantes contre l’Ambassadeur Koffi constituent pour l’enfant de Kibouo, autre nom de cet égaré, une voie de sortie du trou et de l’anonymat. Mieux, une tactique ouverte pour se faire une place au soleil à ce sexagénaire appauvri par l’inefficacité. Voilà dévoilé le mystère hardi qui fait courir cet employé de McDo. On comprend alors pourquoi lorsqu’il est acculé, il rétorque à tout vent, « traduisez-moi en justice si vous pensez que l’article relève de mon imagination». Et vu l’état de putréfaction morale voire mentale dans lequel il baigne, personne n’a osé le traduire devant les juridictions américaines. Que peut-on obtenir de ce souffreteux à qui la nature elle-même a déjà porté le glaive?
D’ailleurs, une analyse psychanalytique de cet individu qui pollue la vie de ses frères et sœurs dans la région de Washington, DC permet de comprendre son complexe : Lucien POUAMON SERY (sur)vit aux Etats-Unis depuis bientôt une trentaine d’années. Certains lui donnent 35 ans d’aventure. Avant de fouler le sol américain, l’homme aurait vécu 5 ans à Paris. Là-bas, il aurait piqué une crise de psychique qui l’aurait fait interner pendant 6 mois à l’hôpital psychiatrique Ste Anne de Paris. A sa sortie d’hôpital et pour éviter l’humiliation, l’homme, poussé par ses parents, aurait immigré, en 1982, aux USA. Reprenant goût à la vie, il serait marie même. Mais tout s’effondre pour notre poisseux lorsque sa chère épouse lui est arrachée par un ami. L’impuissance aurait eu raison de l’homme ! Depuis, il végète entre les petits boulots d’agents de sécurité à l’aéroport, serveur dans un McDo (à plus de 55 ans d’âge) et chauffeur de bus d’école. N’ayant obtenu aucun diplôme universitaire, l’homme qui se fait passer pour un journaliste, se contente de dénigrer ceux de ses compatriotes qui s’en sortent mieux, les accusant d’avoir bénéficié de la bourse d’Etat.
Ainsi, pour arrondir ses fins de mois, l’homme s’est inventé un « «stratagème anango ». Il s’est spécialisé dans l’organisation de levées de fonds aux fins de soutenir les familles endeuillées. Et, tenez-vous bien, à la fin de la cérémonie, le bienfaiteur occasionnel prenait, sans aucune honte, la poudre d’escampette laissant la famille éplorée dans le désarroi total. A ce jour, il harcelé de toutes parts dans Washington parce que l’homme doit des dizaines de milliers de dollars. Mieux, en 2004, il s’est battu bec et ongle pour organiser l’élection du Président de l’UFI. A cette occasion, il impose la somme de 30 dollars à tout votant. Il s’en sort avec plus de 12 mille dollars. Et disparait le lendemain de la ville de Washington, DC. L’UFI, dirigée alors par Mlle. Rachelle Moudou, faillit le faire écrouer n’eut été l’intervention des doyens de la communauté ivoirienne et de l’ambassadeur Daouda Diabaté. Aujourd’hui, l’homme se contente de dormir dans le salon de l’appartement qu’il loue. Les deux chambres ayant été sous-louées à deux Camerounais.
Faut rappeler que l’infortuné Pouamon n’est pas à sa première tentative de souiller la réputation de l’Ambassadeur Koffi. Sans succès, heureusement. On se souvient que lors de la dernière visite de la première Dame de Côte d’Ivoire aux USA, le sieur Pouamon n’a cessé d’abreuver ses lecteurs de grossiers mensonges, déversant à chaque fois sa bile haineuse sur l’illustre diplomate qu’est l’ambassadeur Koffi. On est désormais convaincu que c’était lui la source de la fameuse rumeur tendant à faire croire que le chèque remis à l’ambassadeur d’Haïti représentant le don de l’Etat de Côte d’Ivoire à la suite du séisme survenu dans ce pays frère serait revenu impayé. Quel crédit faut-il encore accordé a ce mythomane ?
Yves Roland Groguhet
New Port, New Hamphsire
Malgré le silence observé par ces éminentes personnalités face aux incessantes attaques de lebanco, ce site a tristement poursuivi sa descente dans la poubelle. Le mercredi 11 août dernier, au moment même où tout Washington, DC, félicitait les Ivoiriens et en premier lieu leur Ambassadeur, SEM Charles Yao Koffi, pour l’eclat particulier célébration du Cinquantenaire, le même torchon, sous la pitoyable plume de Soukalo de Kibouo qui n’est autre que Lucien Pouamon, a publié un entrefilet pamphlétaire et dépourvu de toute déontologie journalistique. Ce papier accusant l’éminent Ambassadeur Charles Koffi d’avoir gardé par devers lui, trente mille dollars que lui aurait remis le Président de la République S.E.M Laurent Gbagbo lors de son dernier passage à l’ONU.
Dans la norme élémentaire de l’éthique journalistique, la lucidité humaine et le professionnalisme du métier imposent la recherche de l’équilibre de l’information, mieux sa vérification objective avant sa publication ; sinon, elle devient un conte de fée. Notre journaleux de Washington DC, quant à lui, ne se gave que de rumeurs et s’enrichit de haine. Comment cela peut il en être autrement quand, cet individu appelé homme, miné par son échec criard, considère les autres comme les responsables de sa poisse et se bombe la poitrine d’avoir fait rapatrier, en signe de revanche, plusieurs de ses compatriotes. Les dénonçant auprès des services américains de l’immigration. Quel mérite y a-t-il à créer un journal dont l’unique objectif est de dénigrer et de calomnier ses compatriotes ? SEM Charles Koffi constitue, comme il le dit en privé, l’homme à « acculer jusqu'à ce qu’il parte de Washington, DC » ou jusqu'à ce que celui-ci, de guerre lasse, lui octroie « un poste de chargé de tourisme au sein de l’ambassade » ? Voila donc les motivations réelles du sieur Lucien Poison, pardon, Pouamon. Dont certains journaux ivoiriens, malheureusement en mal de notoriété et d’articles servent de relai sans prendre la peine de s’interroger sur sa bonne foi, son honnêteté et le sérieux même de ce fieffé menteur connu de tous.
En clair donc, les attaques incessantes contre l’Ambassadeur Koffi constituent pour l’enfant de Kibouo, autre nom de cet égaré, une voie de sortie du trou et de l’anonymat. Mieux, une tactique ouverte pour se faire une place au soleil à ce sexagénaire appauvri par l’inefficacité. Voilà dévoilé le mystère hardi qui fait courir cet employé de McDo. On comprend alors pourquoi lorsqu’il est acculé, il rétorque à tout vent, « traduisez-moi en justice si vous pensez que l’article relève de mon imagination». Et vu l’état de putréfaction morale voire mentale dans lequel il baigne, personne n’a osé le traduire devant les juridictions américaines. Que peut-on obtenir de ce souffreteux à qui la nature elle-même a déjà porté le glaive?
D’ailleurs, une analyse psychanalytique de cet individu qui pollue la vie de ses frères et sœurs dans la région de Washington, DC permet de comprendre son complexe : Lucien POUAMON SERY (sur)vit aux Etats-Unis depuis bientôt une trentaine d’années. Certains lui donnent 35 ans d’aventure. Avant de fouler le sol américain, l’homme aurait vécu 5 ans à Paris. Là-bas, il aurait piqué une crise de psychique qui l’aurait fait interner pendant 6 mois à l’hôpital psychiatrique Ste Anne de Paris. A sa sortie d’hôpital et pour éviter l’humiliation, l’homme, poussé par ses parents, aurait immigré, en 1982, aux USA. Reprenant goût à la vie, il serait marie même. Mais tout s’effondre pour notre poisseux lorsque sa chère épouse lui est arrachée par un ami. L’impuissance aurait eu raison de l’homme ! Depuis, il végète entre les petits boulots d’agents de sécurité à l’aéroport, serveur dans un McDo (à plus de 55 ans d’âge) et chauffeur de bus d’école. N’ayant obtenu aucun diplôme universitaire, l’homme qui se fait passer pour un journaliste, se contente de dénigrer ceux de ses compatriotes qui s’en sortent mieux, les accusant d’avoir bénéficié de la bourse d’Etat.
Ainsi, pour arrondir ses fins de mois, l’homme s’est inventé un « «stratagème anango ». Il s’est spécialisé dans l’organisation de levées de fonds aux fins de soutenir les familles endeuillées. Et, tenez-vous bien, à la fin de la cérémonie, le bienfaiteur occasionnel prenait, sans aucune honte, la poudre d’escampette laissant la famille éplorée dans le désarroi total. A ce jour, il harcelé de toutes parts dans Washington parce que l’homme doit des dizaines de milliers de dollars. Mieux, en 2004, il s’est battu bec et ongle pour organiser l’élection du Président de l’UFI. A cette occasion, il impose la somme de 30 dollars à tout votant. Il s’en sort avec plus de 12 mille dollars. Et disparait le lendemain de la ville de Washington, DC. L’UFI, dirigée alors par Mlle. Rachelle Moudou, faillit le faire écrouer n’eut été l’intervention des doyens de la communauté ivoirienne et de l’ambassadeur Daouda Diabaté. Aujourd’hui, l’homme se contente de dormir dans le salon de l’appartement qu’il loue. Les deux chambres ayant été sous-louées à deux Camerounais.
Faut rappeler que l’infortuné Pouamon n’est pas à sa première tentative de souiller la réputation de l’Ambassadeur Koffi. Sans succès, heureusement. On se souvient que lors de la dernière visite de la première Dame de Côte d’Ivoire aux USA, le sieur Pouamon n’a cessé d’abreuver ses lecteurs de grossiers mensonges, déversant à chaque fois sa bile haineuse sur l’illustre diplomate qu’est l’ambassadeur Koffi. On est désormais convaincu que c’était lui la source de la fameuse rumeur tendant à faire croire que le chèque remis à l’ambassadeur d’Haïti représentant le don de l’Etat de Côte d’Ivoire à la suite du séisme survenu dans ce pays frère serait revenu impayé. Quel crédit faut-il encore accordé a ce mythomane ?
Yves Roland Groguhet
New Port, New Hamphsire