ABIDJAN - La liste définitive des électeurs pour l`élection présidentielle en Côte d`Ivoire fixée au 31 octobre, sera publiée à partir du 10 octobre, a annoncé mercredi la Commission électorale indépendante (CEI) ivoirienne.
La publication de la liste électorale définitive va se faire "du 10 au 12
octobre 2010", a déclaré Yacouba Bamba, le porte-parole de la CEI au cours
d`une conférence de presse, précisant qu`"il n`y a ni blocage ni entrave" du
processus électoral.
La CEI a également prévu la distribution des cartes d`électeurs du 9 au 15
octobre.
"Le succès du processus électoral dépend du climat de paix et de sérénité",
a rappelé M. Bamba, alors que le traitement des contentieux judiciaires sur la
liste provisoire, censé s`achever le 26 août, a été perturbé dans certaines
villes.
La CEI a reçu 68.751 réclamations dont 30.293 en radiations concernant la
liste électorale provisoire de 5.776.784 personnes.
Le scrutin est censé clore la crise née du putsch manqué de 2002, qui a
coupé le pays en un sud loyaliste et un nord tenu par l`ex-rébellion
ivoirienne des Forces nouvelles (FN).
Le respect du 31 octobre exige que soient relevés rapidement de lourds
défis liés aux opérations électorales et au désarmement des FN.
La publication de la liste électorale définitive va se faire "du 10 au 12
octobre 2010", a déclaré Yacouba Bamba, le porte-parole de la CEI au cours
d`une conférence de presse, précisant qu`"il n`y a ni blocage ni entrave" du
processus électoral.
La CEI a également prévu la distribution des cartes d`électeurs du 9 au 15
octobre.
"Le succès du processus électoral dépend du climat de paix et de sérénité",
a rappelé M. Bamba, alors que le traitement des contentieux judiciaires sur la
liste provisoire, censé s`achever le 26 août, a été perturbé dans certaines
villes.
La CEI a reçu 68.751 réclamations dont 30.293 en radiations concernant la
liste électorale provisoire de 5.776.784 personnes.
Le scrutin est censé clore la crise née du putsch manqué de 2002, qui a
coupé le pays en un sud loyaliste et un nord tenu par l`ex-rébellion
ivoirienne des Forces nouvelles (FN).
Le respect du 31 octobre exige que soient relevés rapidement de lourds
défis liés aux opérations électorales et au désarmement des FN.