Les récents troubles survenus lors du contentieux judiciaire sur la liste électorale auront-ils raison de la date de l’élection présidentielle ? Sébastien Zahiri Ziki, le conseiller spécial du chef de l’Etat, chargé des questions religieuses et d’identification ne le croit pas. Invité, hier, à la tribune des petits-déjeuners de la majorité présidentielle, il a fait cette révélation qui, selon lui, s’inscrit dans le plan établi par Dieu pour sortir la Côte d’Ivoire de la crise :
« Nous irons au 31 octobre 2010 après quelques bouleversements d’ordre institutionnel au sein du gouvernement et de la Commission électorale indépendante (Cei), avec une autre liste électorale et dans les conditions prévues par notre constitution qui aura retrouvé toute sa vigueur ». Mais de quels bouleversements, parle-t-il, quand on sait que, courant février 2010, le président de la République avait déjà dissous le gouvernement et la Cei ? A l’en croire, ces évènements n’étaient qu’une fausse alerte, même s’ils peuvent être considérés comme des signes avant-coureurs à l’accomplissement de la révélation divine. Laquelle révélation consacrera la réélection de Laurent Gbagbo à la tête de l’Etat pour cinq autres années, selon lui. « Ces bouleversements vont sonner l’échec de ceux qui ont envoyé la guerre, pour qu’on aille aux élections en paix. Selon la révélation, ils vont conduire à abandonner la liste électorale pour aboutir à une nouvelle liste que l’Institut national des statistiques (Ins) va produire pour aller aux élections conformément à la Constitution qui sera rétablie.», a-t-il soutenu. Aux dires de Zahiri Ziki, « aller aux élections conformément à la constitution » sous-entendrait que le pays soit totalement réunifié. « Soro n’est plus un rebelle. Nous ne sommes plus dans la rébellion, même si son existence juridique est encore réelle », a-t-il précisé. L’exposé de l’ancien directeur de l’état-civil à l’Office national de l’identification (Oni) s’est articulé autour des « enjeux du contentieux judiciaire de la liste électorale, dans le processus de sortie de crise en Côte d’Ivoire ».
Pour lui, il y a que ces enjeux peuvent s’énoncer, d’une part, selon le plan de Dieu. « Avec le contentieux judiciaire de la liste électorale, de nombreux signes sont apparus pour confirmer le plan divin qui m’a été révélé », a-t-il dit. Au nombre de ces signes, il compte justement le blocage du processus dû à la crise de février ayant conduit à la double dissolution de la Cei et du gouvernement.
D’autre part, le conseiller spécial du chef de l’Etat a ébauché ces enjeux selon le plan de l’homme qui se résume essentiellement à l’établissement d’une liste électorale fiable et au retour de la paix par les élections.
MAE
« Nous irons au 31 octobre 2010 après quelques bouleversements d’ordre institutionnel au sein du gouvernement et de la Commission électorale indépendante (Cei), avec une autre liste électorale et dans les conditions prévues par notre constitution qui aura retrouvé toute sa vigueur ». Mais de quels bouleversements, parle-t-il, quand on sait que, courant février 2010, le président de la République avait déjà dissous le gouvernement et la Cei ? A l’en croire, ces évènements n’étaient qu’une fausse alerte, même s’ils peuvent être considérés comme des signes avant-coureurs à l’accomplissement de la révélation divine. Laquelle révélation consacrera la réélection de Laurent Gbagbo à la tête de l’Etat pour cinq autres années, selon lui. « Ces bouleversements vont sonner l’échec de ceux qui ont envoyé la guerre, pour qu’on aille aux élections en paix. Selon la révélation, ils vont conduire à abandonner la liste électorale pour aboutir à une nouvelle liste que l’Institut national des statistiques (Ins) va produire pour aller aux élections conformément à la Constitution qui sera rétablie.», a-t-il soutenu. Aux dires de Zahiri Ziki, « aller aux élections conformément à la constitution » sous-entendrait que le pays soit totalement réunifié. « Soro n’est plus un rebelle. Nous ne sommes plus dans la rébellion, même si son existence juridique est encore réelle », a-t-il précisé. L’exposé de l’ancien directeur de l’état-civil à l’Office national de l’identification (Oni) s’est articulé autour des « enjeux du contentieux judiciaire de la liste électorale, dans le processus de sortie de crise en Côte d’Ivoire ».
Pour lui, il y a que ces enjeux peuvent s’énoncer, d’une part, selon le plan de Dieu. « Avec le contentieux judiciaire de la liste électorale, de nombreux signes sont apparus pour confirmer le plan divin qui m’a été révélé », a-t-il dit. Au nombre de ces signes, il compte justement le blocage du processus dû à la crise de février ayant conduit à la double dissolution de la Cei et du gouvernement.
D’autre part, le conseiller spécial du chef de l’Etat a ébauché ces enjeux selon le plan de l’homme qui se résume essentiellement à l’établissement d’une liste électorale fiable et au retour de la paix par les élections.
MAE