C’est le temps de la suspicion. Malgré son retrait de la scène politique, Dakoury-Tabley est visé par les officines secrètes de la République comme l’un des comploteurs du ramadan.
Anaky Kobena n’est pas la seule personnalité visée par « l’affaire d’Etat » du ministre de la Défense, Amani N’Guessan Michel. Des sources bien introduites indiquent que l’ancien ministre des Victimes de guerre et de la Solidarité, Louis André Dakoury, est parmi les personnes soupçonnées de vouloir renverser les institutions républicaines dans le mois du ramadan. Selon des personnes proches de l’ancien numéro II des Forces nouvelles, jusqu’à ce jour, il n’a pas encore été invité par le ministre de la Défense à se rendre à ses bureaux pour explication. Mais, son nom figure bel et bien sur la liste des « personnes malintentionnées » dressée par les grandes oreilles de la République.
Tout a commencé le 14 juillet lors du séjour du ministre Amani N’Guessan sur les bords de la Seine à l’occasion du défilé du 14 juillet où il est allé représenter le chef de l’Etat, Laurent Gbagbo. Le ministre de la Défense a rencontré à Paris de nombreuses personnes parmi lesquelles des diseurs de vérité et bien entendu de nombreux menteurs et vendeurs d’illusion, qui lui ont lui demandé de faire attention aux mouvements d’Anaky Kobena et de Dakoury-Tabley. Que ces deux anciens ministres seraient favorables au renversement de l’ordre républicain. Depuis lors, leurs faits et gestes étaient suivis.
A la différence d’Anaky Kobena qui ne manque aucune occasion de prendre fermement position dans le débat politique, Dakoury-Tabley, depuis son départ du gouvernement en février, s’est effacé de la scène politique. Ses rapports avec ses anciens compagnons des Forces nouvelles sont dégradés. Depuis plusieurs mois, il n’a pas remis les pieds à Bouaké, fief de l’ex-rébellion. Avec ses parents, de Gagnoa il y a eu beaucoup de tentatives de réconciliation après les problèmes liés à l’inhumation de son frère médecin assassiné par les escadrons de la mort au début de la guerre. Sans plus !
Euloge Atsain
Anaky Kobena n’est pas la seule personnalité visée par « l’affaire d’Etat » du ministre de la Défense, Amani N’Guessan Michel. Des sources bien introduites indiquent que l’ancien ministre des Victimes de guerre et de la Solidarité, Louis André Dakoury, est parmi les personnes soupçonnées de vouloir renverser les institutions républicaines dans le mois du ramadan. Selon des personnes proches de l’ancien numéro II des Forces nouvelles, jusqu’à ce jour, il n’a pas encore été invité par le ministre de la Défense à se rendre à ses bureaux pour explication. Mais, son nom figure bel et bien sur la liste des « personnes malintentionnées » dressée par les grandes oreilles de la République.
Tout a commencé le 14 juillet lors du séjour du ministre Amani N’Guessan sur les bords de la Seine à l’occasion du défilé du 14 juillet où il est allé représenter le chef de l’Etat, Laurent Gbagbo. Le ministre de la Défense a rencontré à Paris de nombreuses personnes parmi lesquelles des diseurs de vérité et bien entendu de nombreux menteurs et vendeurs d’illusion, qui lui ont lui demandé de faire attention aux mouvements d’Anaky Kobena et de Dakoury-Tabley. Que ces deux anciens ministres seraient favorables au renversement de l’ordre républicain. Depuis lors, leurs faits et gestes étaient suivis.
A la différence d’Anaky Kobena qui ne manque aucune occasion de prendre fermement position dans le débat politique, Dakoury-Tabley, depuis son départ du gouvernement en février, s’est effacé de la scène politique. Ses rapports avec ses anciens compagnons des Forces nouvelles sont dégradés. Depuis plusieurs mois, il n’a pas remis les pieds à Bouaké, fief de l’ex-rébellion. Avec ses parents, de Gagnoa il y a eu beaucoup de tentatives de réconciliation après les problèmes liés à l’inhumation de son frère médecin assassiné par les escadrons de la mort au début de la guerre. Sans plus !
Euloge Atsain