Tout baigne pour Guié Guié Abraham. Actuel meilleur buteur de la Ligue 2 française avec Tours FC, il a disputé, samedi, contre le Rwanda, son premier match sous le maillot des Eléphants.
Etes-vous satisfait de votre première sélection chez les Eléphants A ?
Cela faisait une année que je n’avais plus porté les couleurs nationales (en Espoirs). Je suis content de revenir, cette fois, chez les A. Retrouver le Stade Houphouet-Boigny contre le Rwanda était un moment fort. Même si je n’ai joué qu’une vingtaine de minutes, je suis satisfait.
Guié Guié, c’est le tube du moment !
(Sourire) C’est vrai. C’est le travail qui paie. A présent, je me dois de persévérer.
Surpris par votre ascension fulgurante ?
Comme je l’ai dit, c’est le travail qui paie !
Le fait d’avoir signé dans un club français va booster votre carrière. Vrai ou faux ?
Vrai. Le championnat français est très médiatisé contrairement à celui de Hongrie où j’ai joué durant deux ans. En France, quand tu travailles bien, tu récoltes les fruits de ton labeur.
Comment vous êtes-vous retrouvé à Tours en France cette saison ?
Ce club français me courtisait depuis deux ans. Il y a eu un petit problème avec mon président hongrois qui refusait de me libérer car j’étais son joueur-clé. Finalement, il a accepté de me laisser partir et je me suis retrouvé en France.
Quel est votre objectif personnel cette saison ?
Faire monter Tours FC en Ligue 1 et intégrer une grosse écurie, la saison prochaine.
Huit buts déjà. Vous êtes-vous donné une limite ?
Non. Pas pour le moment en tout cas. Je verrai…
Avez-vous un modèle ?
Didier Drogba est un exemple à suivre.
Une chose est d’entrer dans le groupe Eléphants A. Une autre y est de rester. Pensez-vous pouvoir le faire longtemps ?
C’est ma première sélection chez les A. Comme je l’ai dit, avec le travail, tout reste possible. Tout dépendra aussi de l’entraîneur. J’ai commencé avec la sélection depuis la catégorie cadette. J’ai joué en juniors. Puis en Espoir. Là, c’est le couronnement.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Etes-vous satisfait de votre première sélection chez les Eléphants A ?
Cela faisait une année que je n’avais plus porté les couleurs nationales (en Espoirs). Je suis content de revenir, cette fois, chez les A. Retrouver le Stade Houphouet-Boigny contre le Rwanda était un moment fort. Même si je n’ai joué qu’une vingtaine de minutes, je suis satisfait.
Guié Guié, c’est le tube du moment !
(Sourire) C’est vrai. C’est le travail qui paie. A présent, je me dois de persévérer.
Surpris par votre ascension fulgurante ?
Comme je l’ai dit, c’est le travail qui paie !
Le fait d’avoir signé dans un club français va booster votre carrière. Vrai ou faux ?
Vrai. Le championnat français est très médiatisé contrairement à celui de Hongrie où j’ai joué durant deux ans. En France, quand tu travailles bien, tu récoltes les fruits de ton labeur.
Comment vous êtes-vous retrouvé à Tours en France cette saison ?
Ce club français me courtisait depuis deux ans. Il y a eu un petit problème avec mon président hongrois qui refusait de me libérer car j’étais son joueur-clé. Finalement, il a accepté de me laisser partir et je me suis retrouvé en France.
Quel est votre objectif personnel cette saison ?
Faire monter Tours FC en Ligue 1 et intégrer une grosse écurie, la saison prochaine.
Huit buts déjà. Vous êtes-vous donné une limite ?
Non. Pas pour le moment en tout cas. Je verrai…
Avez-vous un modèle ?
Didier Drogba est un exemple à suivre.
Une chose est d’entrer dans le groupe Eléphants A. Une autre y est de rester. Pensez-vous pouvoir le faire longtemps ?
C’est ma première sélection chez les A. Comme je l’ai dit, avec le travail, tout reste possible. Tout dépendra aussi de l’entraîneur. J’ai commencé avec la sélection depuis la catégorie cadette. J’ai joué en juniors. Puis en Espoir. Là, c’est le couronnement.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo