En prélude aux élections présidentielles du 31 Octobre en Cote d’Ivoire, l’Ivoirienne Carine Gnahoré, Miss CEDEAO-Amérique, vient d’être couronnée avec une nouvelle mission. Ambassadrice De La Paix Pour La Mission De La Diaspora Africaine. Elle s’est donnée a cœur ouvert pour parler de sa vie et des élections présidentielles en Afrique de l’Ouest, notamment en Guinée et en Cote d’Ivoire.
Pourriez-vous vous présenter à nos lecteurs s’il vous plait ?
Je voudrais tout d’abord remercier votre équipe et tous les organes de presse pour cette opportunité, car grâce à votre travail, l’information est véhiculée. Je suis Carine Gnahoré, Ivoirienne d’origine. Je suis Miss CEDEAO-Amérique depuis 2008.Je vis a New York. Je suis étudiante en Médecine.
Quel est le prix de ce couronnement et quel est votre rôle en tant que Miss CEDEAO-Amérique ?
J’ai reçu une bourse d’études d’une valeur de $10 000 et autres prix. Je représente la beauté et la culture de seize pays Africains ici pour deux ans.
Maintenant Ambassadrice de la Paix pour la mission de la Diaspora, quel rôle comptez-vous jouer ?
L’objectif de cette Organisation Non-Gouvernementale c’est promouvoir la paix et la justice à travers des actions sociales dans l’intérêt des pays africains d’une part, et d’autre part promouvoir le rapprochement et le développement de la diaspora africaine, c’est sous cet angle que s’inscrit mon role.
Que pensez-vous des élections en cours en Guinée et des élections prévues le 31 Octobre prochain en Cote d’Ivoire, votre pays natal ?
Le peuple Ivoirien comme toute nation démocratique aspire à des élections au moment venu. Vous savez que la CI, notre pays, traverse depuis 10 ans une situation de conflits internes dont la solution passera sans nul doute par les élections du 31 Octobre. Donc vous comprenne que c’est une phase très importante en ce moment précis pour le peuple de Cote d’Ivoire.
J’avoue aussi que la Cote d’Ivoire va retrouver sa place de pays de paix et continuer son rôle des Etats-Unis d’Afrique dans la sous-région.
Quant à la Guinée, c’est un pays avec une population brave, une population dominée par une jeunesse qui aspire à prendre son destin en main. Nous sommes contents d’apprendre que les campagnes se sont déroulées paisiblement. C’est un moment historique pour le peuple Guinéen.
Avez-vous un mot pour les candidats et les peuples ?
Oui, que le meilleur l’emporte en CI, que le meilleur l’emporte en Guinée, mais les élus doivent faire de leur priorité l’investissement dans les infrastructures, l’éducation et la sante, facteurs primordiaux pour le développement de l’Afrique.
Aujourd’hui c’est votre anniversaire : vous êtes jeune, belle, étudiante en médecine et ambassadrice de la paix pour une Organisation Internationale, et vous travaillez aussi pour assurer vos études ? Est-ce difficile ?comment conciliez-vous tout cela ?
Je le fais avec passion car j’aime servir.
Et puis, je me suis imposée une discipline de travail que je suis, donc il n’y a pas de conflit. J’ai bénéficie d’une bourse d’études de $10 000 comme premier prix au concours de Miss CEDEAO, mais les études de médecine coutent chères, donc voila pourquoi je travaille partiellement. Merci aussi de me permettre de lancer un appel aux bonnes volontés de soutenir ma mission et mon combat de pouvoir offrir des bourses aux étudiants Africains.
Joyeux anniversaire et votre dernier mot ?
Merci. J’invite la jeunesse Africaine à se donner massivement et pleinement à l’éducation, car la liberté de l’Afrique passera par cette jeunesse, une jeunesse mieux éduquée et avertie.
Enfin, je soutiens la lutte de Mr. David R. Banni, président de la Diaspora Africaine pour sa lutte de l’institutionnalisation des débats télévisés, pour la confrontation des idées de ceux et celles qui veulent servir le peuple. Cela s’est passe tout prés de nous au GHANA dernièrement, et cela a été une agréable expérience. J’invite donc tous les candidats Ivoiriens à soutenir cette action, j’invite ceux qui ne se sont pas fait encore entendre, de se confirmer à www.diasporaci.us/DEBAT et le public aussi peut continuer à y envoyer ses questions.
Service Communication
Diaspora Ivoirienne, Washington, DC.
Le 20 Juillet, 2010
Pourriez-vous vous présenter à nos lecteurs s’il vous plait ?
Je voudrais tout d’abord remercier votre équipe et tous les organes de presse pour cette opportunité, car grâce à votre travail, l’information est véhiculée. Je suis Carine Gnahoré, Ivoirienne d’origine. Je suis Miss CEDEAO-Amérique depuis 2008.Je vis a New York. Je suis étudiante en Médecine.
Quel est le prix de ce couronnement et quel est votre rôle en tant que Miss CEDEAO-Amérique ?
J’ai reçu une bourse d’études d’une valeur de $10 000 et autres prix. Je représente la beauté et la culture de seize pays Africains ici pour deux ans.
Maintenant Ambassadrice de la Paix pour la mission de la Diaspora, quel rôle comptez-vous jouer ?
L’objectif de cette Organisation Non-Gouvernementale c’est promouvoir la paix et la justice à travers des actions sociales dans l’intérêt des pays africains d’une part, et d’autre part promouvoir le rapprochement et le développement de la diaspora africaine, c’est sous cet angle que s’inscrit mon role.
Que pensez-vous des élections en cours en Guinée et des élections prévues le 31 Octobre prochain en Cote d’Ivoire, votre pays natal ?
Le peuple Ivoirien comme toute nation démocratique aspire à des élections au moment venu. Vous savez que la CI, notre pays, traverse depuis 10 ans une situation de conflits internes dont la solution passera sans nul doute par les élections du 31 Octobre. Donc vous comprenne que c’est une phase très importante en ce moment précis pour le peuple de Cote d’Ivoire.
J’avoue aussi que la Cote d’Ivoire va retrouver sa place de pays de paix et continuer son rôle des Etats-Unis d’Afrique dans la sous-région.
Quant à la Guinée, c’est un pays avec une population brave, une population dominée par une jeunesse qui aspire à prendre son destin en main. Nous sommes contents d’apprendre que les campagnes se sont déroulées paisiblement. C’est un moment historique pour le peuple Guinéen.
Avez-vous un mot pour les candidats et les peuples ?
Oui, que le meilleur l’emporte en CI, que le meilleur l’emporte en Guinée, mais les élus doivent faire de leur priorité l’investissement dans les infrastructures, l’éducation et la sante, facteurs primordiaux pour le développement de l’Afrique.
Aujourd’hui c’est votre anniversaire : vous êtes jeune, belle, étudiante en médecine et ambassadrice de la paix pour une Organisation Internationale, et vous travaillez aussi pour assurer vos études ? Est-ce difficile ?comment conciliez-vous tout cela ?
Je le fais avec passion car j’aime servir.
Et puis, je me suis imposée une discipline de travail que je suis, donc il n’y a pas de conflit. J’ai bénéficie d’une bourse d’études de $10 000 comme premier prix au concours de Miss CEDEAO, mais les études de médecine coutent chères, donc voila pourquoi je travaille partiellement. Merci aussi de me permettre de lancer un appel aux bonnes volontés de soutenir ma mission et mon combat de pouvoir offrir des bourses aux étudiants Africains.
Joyeux anniversaire et votre dernier mot ?
Merci. J’invite la jeunesse Africaine à se donner massivement et pleinement à l’éducation, car la liberté de l’Afrique passera par cette jeunesse, une jeunesse mieux éduquée et avertie.
Enfin, je soutiens la lutte de Mr. David R. Banni, président de la Diaspora Africaine pour sa lutte de l’institutionnalisation des débats télévisés, pour la confrontation des idées de ceux et celles qui veulent servir le peuple. Cela s’est passe tout prés de nous au GHANA dernièrement, et cela a été une agréable expérience. J’invite donc tous les candidats Ivoiriens à soutenir cette action, j’invite ceux qui ne se sont pas fait encore entendre, de se confirmer à www.diasporaci.us/DEBAT et le public aussi peut continuer à y envoyer ses questions.
Service Communication
Diaspora Ivoirienne, Washington, DC.
Le 20 Juillet, 2010
