Fin de périple, hier, du candidat de la majorité présidentielle dans la région du Zanzan. Sa tournée s’est achevée à Bondoukou par un plaidoyer en vue de bénéficier d’un second mandat. Pendant près de 40 minutes, le président-candidat à sa propre succession a tenté de convaincre les participants par un message plein d’ironie et d’humour. D’entrée de jeu, Laurent Gbagbo a salué la
résistance des populations du Zanzan durant la guerre. Pour lui, « il faut gagner les élections à venir pour prolonger l’action de résistance et de progrès. Je suis venu vous dire que nous avons commencé un travail, on ne l’a pas encore achevé. J’ai besoin de vous». En clair, il a invité les populations du Zanzan à voter pour lui. « Le développement de ce pays dépend du choix que
vous allez faire le 31 octobre. Regardez bien. Nous sommes 14. Chacun de nous va passer vous voir pour dire que c’est lui le plus fort. Vous connaissez chacun de nous. Il n’y a pas de nouveau parmi nous. Faites le bon choix », a-t-il conseillé. Pour obtenir les faveurs des populations du Zanzan, il a fait plusieurs promesses dont la création d’une banque de l’emploi pour octroyer des prêts aux femmes, aux jeunes gens et aux retraités. Révolté par le phénomène
croissant des bonnes originaires du Zanzan, Laurent Gbagbo a promis de construire à Bondoukou un lycée de jeunes comprenant un internat et de rendre ‘’obligatoire l’école gratuite’’. A plusieurs reprises, il a exhorté les populations à lutter pour leur indépendance économique. « N’attendez pas que l’argent vienne d’ailleurs pour vous développer. Celui qui vous le promet, ment.
C’est nous qui devons travailler avec nos ressources afin de nous enrichir. Ce sont nos richesses que nous devons exploiter » a-t-il ajouté. A juste raison, il a rappelé ses actions sur le terrain à travers la décentralisation : « Nous avons créé les conseils généraux pour faire le développement à la base. J’ai créé plus de départements dans le Zanzan que dans aucune autre région. 6 nouveaux départements ont vu le jour dans le Zanzan depuis mon élection. De 3
départements, nous sommes passés à 9 ». Le candidat Laurent Gbabgo a, en outre, annoncé la signature du décret d’exploitation du manganèse par la société Taurian
Jean Michel Ouattara à Bondoukou
résistance des populations du Zanzan durant la guerre. Pour lui, « il faut gagner les élections à venir pour prolonger l’action de résistance et de progrès. Je suis venu vous dire que nous avons commencé un travail, on ne l’a pas encore achevé. J’ai besoin de vous». En clair, il a invité les populations du Zanzan à voter pour lui. « Le développement de ce pays dépend du choix que
vous allez faire le 31 octobre. Regardez bien. Nous sommes 14. Chacun de nous va passer vous voir pour dire que c’est lui le plus fort. Vous connaissez chacun de nous. Il n’y a pas de nouveau parmi nous. Faites le bon choix », a-t-il conseillé. Pour obtenir les faveurs des populations du Zanzan, il a fait plusieurs promesses dont la création d’une banque de l’emploi pour octroyer des prêts aux femmes, aux jeunes gens et aux retraités. Révolté par le phénomène
croissant des bonnes originaires du Zanzan, Laurent Gbagbo a promis de construire à Bondoukou un lycée de jeunes comprenant un internat et de rendre ‘’obligatoire l’école gratuite’’. A plusieurs reprises, il a exhorté les populations à lutter pour leur indépendance économique. « N’attendez pas que l’argent vienne d’ailleurs pour vous développer. Celui qui vous le promet, ment.
C’est nous qui devons travailler avec nos ressources afin de nous enrichir. Ce sont nos richesses que nous devons exploiter » a-t-il ajouté. A juste raison, il a rappelé ses actions sur le terrain à travers la décentralisation : « Nous avons créé les conseils généraux pour faire le développement à la base. J’ai créé plus de départements dans le Zanzan que dans aucune autre région. 6 nouveaux départements ont vu le jour dans le Zanzan depuis mon élection. De 3
départements, nous sommes passés à 9 ». Le candidat Laurent Gbabgo a, en outre, annoncé la signature du décret d’exploitation du manganèse par la société Taurian
Jean Michel Ouattara à Bondoukou