150 élus sur les 174 que compte le Fonds de prévoyance de la police nationale (Fppn) ont adopté le projet d’amendement de ses textes de base, hier, à huis clos, après une cérémonie d’ouverture à laquelle était conviée la presse. L’événement a eu lieu à l’Ecole de police de Cocody. La qualité de membre et la perte de cette qualité, les pouvoirs du conseil d’administration et de la direction générale sont passés au crible. Le mandat des élus depuis les délégués jusqu’au premier responsable, tant au niveau de la durée que de la vacance, n’est pas resté en marge des réflexions. Les délégués, sous-officiers, officiers et commissaires s’imposent une charte de l’élu appropriée. L’objectif est de permettre au fonds de fonctionner correctement. Le commissaire divisionnaire Krouma Mamadou, directeur général du fonds, a rappelé que les premiers textes de l’organisation sont déjà approuvés par un arrêté du ministre de l’Intérieur. Il s’agit maintenant de les peaufiner en tenant compte des réalités actuelles et de continuer la procédure d’adoption.
N.D
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