Les responsables du Fonds de Prévoyance de la Police Nationale (FPPN) étaient le jeudi 30 septembre 2010 en Assemblée générale extraordinaire à l’Ecole de Police. Avec pour point à l’ordre du jour : l’amendement et l’adoption du projet de textes constitutifs dudit fonds.
C’est le commissaire divisionnaire major, Krouma Mamadou, directeur du FPPN qui a situé les enjeux de ces assises. Il a rappelé que depuis sa création, ladite structure ne s’est pas dotée de textes consensuels pour son bon fonctionnement. C’est pourquoi, il y a quelques mois de cela, un séminaire qui s’est déroulé à Grand-Bassam, a planché sur l’amendement des principaux textes du fonds. L’Assemblée du jour devra donc travailler pour leur adoption. Le patron du fonds a exhorté les délégués à faire preuve de sagesse afin qu’un consensus se dégage pour rapidement optimiser les capacités de leur mutuelle. Les amendements en question, vont porter entre autres sur : les pouvoirs du DG, ceux du PCA, du mandat, des conditions éligibilité, etc. Lorsque ces textes seront adoptés, ils seront soumis à l’approbation du ministre de l’Intérieur afin qu’ils soient entérinés. « Ma prière, c’est que les travaux se déroulent dans la sérénité et confraternité pour aller à l’essentiel », a souhaité M. Krouma. Quant au Contrôleur général de Police Yao Kouassi, PCA du FPPN, il a rappelé qu’à sa création, le fonds avait à sa charge environ 60.000 personnes. Aujourd’hui, ce son plus de 200.000 personnes qui bénéficient de l’assistance du FPPN. D’où, la nécessité de réexaminer les textes et de les adapter aux réalités du moment. C’est le Contrôleur général de Police Ouattara Gaoussou, Inspecteur des Services de Police et représentant le ministre Désiré Tagro qui a clos la série d’allocutions. Il a souligné que si le fonds à sa création a démarré avec des anomalies, car le besoin se faisait sentir, le temps était venu de renforcer son efficacité. Et cela passe par des textes lui permettant de jouer son rôle. C’est pourquoi, il a, à son tour appelé à la parfaite collaboration afin de mettre le FPPN au service des policiers et de leurs familles.
Olivier Guédé
C’est le commissaire divisionnaire major, Krouma Mamadou, directeur du FPPN qui a situé les enjeux de ces assises. Il a rappelé que depuis sa création, ladite structure ne s’est pas dotée de textes consensuels pour son bon fonctionnement. C’est pourquoi, il y a quelques mois de cela, un séminaire qui s’est déroulé à Grand-Bassam, a planché sur l’amendement des principaux textes du fonds. L’Assemblée du jour devra donc travailler pour leur adoption. Le patron du fonds a exhorté les délégués à faire preuve de sagesse afin qu’un consensus se dégage pour rapidement optimiser les capacités de leur mutuelle. Les amendements en question, vont porter entre autres sur : les pouvoirs du DG, ceux du PCA, du mandat, des conditions éligibilité, etc. Lorsque ces textes seront adoptés, ils seront soumis à l’approbation du ministre de l’Intérieur afin qu’ils soient entérinés. « Ma prière, c’est que les travaux se déroulent dans la sérénité et confraternité pour aller à l’essentiel », a souhaité M. Krouma. Quant au Contrôleur général de Police Yao Kouassi, PCA du FPPN, il a rappelé qu’à sa création, le fonds avait à sa charge environ 60.000 personnes. Aujourd’hui, ce son plus de 200.000 personnes qui bénéficient de l’assistance du FPPN. D’où, la nécessité de réexaminer les textes et de les adapter aux réalités du moment. C’est le Contrôleur général de Police Ouattara Gaoussou, Inspecteur des Services de Police et représentant le ministre Désiré Tagro qui a clos la série d’allocutions. Il a souligné que si le fonds à sa création a démarré avec des anomalies, car le besoin se faisait sentir, le temps était venu de renforcer son efficacité. Et cela passe par des textes lui permettant de jouer son rôle. C’est pourquoi, il a, à son tour appelé à la parfaite collaboration afin de mettre le FPPN au service des policiers et de leurs familles.
Olivier Guédé