Les auteurs des
casses des agences de la Banque
centrale des États de l’Afrique de l’Ouest à Bouaké et à Man, seront-ils un jour inquiétés ? Lancinante question, peut- être, mais cela fait sept ans
maintenant qu’ils sont dans la nature, alors que ceux des soldats français qui ont participé à ces casses sont déjà
passés à la trappe
de la justice
de leur pays.
Tout comme les agences de la BCEAO de Bouaké, de Man et de Korhogo, plusieurs établissements financiers et administrations de la deuxième ville de Côte d’Ivoire, la Caisse autonome d’amortissement et la Trésorerie publique notamment, ont été attaqués durant les moments forts de la crise ivoirienne. Idem pour la succursale de la Biao, à Ferkessédougou, plus au nord. Pour ce qui est de la Bceao de Bouaké, les mystérieux braqueurs, qui ont opéré courant fin du mois de septembre 2003, se sont évanouis dans la nature avec un joli pactole estimé, selon plusieurs sources, entre 16 et 20 milliards de F CFA.
Par Sanogo Zoumanan
Zoumanan.sanogo@jde-ci.com
casses des agences de la Banque
centrale des États de l’Afrique de l’Ouest à Bouaké et à Man, seront-ils un jour inquiétés ? Lancinante question, peut- être, mais cela fait sept ans
maintenant qu’ils sont dans la nature, alors que ceux des soldats français qui ont participé à ces casses sont déjà
passés à la trappe
de la justice
de leur pays.
Tout comme les agences de la BCEAO de Bouaké, de Man et de Korhogo, plusieurs établissements financiers et administrations de la deuxième ville de Côte d’Ivoire, la Caisse autonome d’amortissement et la Trésorerie publique notamment, ont été attaqués durant les moments forts de la crise ivoirienne. Idem pour la succursale de la Biao, à Ferkessédougou, plus au nord. Pour ce qui est de la Bceao de Bouaké, les mystérieux braqueurs, qui ont opéré courant fin du mois de septembre 2003, se sont évanouis dans la nature avec un joli pactole estimé, selon plusieurs sources, entre 16 et 20 milliards de F CFA.
Par Sanogo Zoumanan
Zoumanan.sanogo@jde-ci.com