ABIDJAN - Le Front populaire ivoirien (FPI), parti du président Laurent Gbagbo, a jugé vendredi qu`il fallait que la présidentielle se tienne bien le 31 octobre même si les conditions de sécurité ne sont pas
"idéales".
"Il faut reconnaître que cette élection ne va pas se passer dans les conditions idéales, en terme de sécurisation", a affirmé le président du FPI, Pascal Affi N`Guessan, lors d`une conférence de presse.
"Mais nous devons aller aux élections parce que nous ne pouvons attendre plus longtemps pour des conditions idéales", a-t-il poursuivi, saluant le climat de paix régnant dans le nord, contrôlé par l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) depuis le putsch manqué de 2002.
"Les acteurs politiques circulent et battent campagne librement dans cette zone. On ne nous a pas signalé de menaces et de tracasseries", s`est-il félicité, en "espérant que cela va continuer".
La sécurisation du scrutin reste entourée d`interrogations à environ trois semaines du vote dont 8.000 policiers et gendarmes sont censés en assurer le bon déroulement au sein d`unités mixtes loyalistes et ex-rebelles.
Le cantonnement des éléments FN promis à terme à l`armée reste par ailleurs limité. Le camp Gbagbo a exigé pendant des années que le "désarmement" de l`ex-rébellion soit réalisé avant l`élection.
"idéales".
"Il faut reconnaître que cette élection ne va pas se passer dans les conditions idéales, en terme de sécurisation", a affirmé le président du FPI, Pascal Affi N`Guessan, lors d`une conférence de presse.
"Mais nous devons aller aux élections parce que nous ne pouvons attendre plus longtemps pour des conditions idéales", a-t-il poursuivi, saluant le climat de paix régnant dans le nord, contrôlé par l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) depuis le putsch manqué de 2002.
"Les acteurs politiques circulent et battent campagne librement dans cette zone. On ne nous a pas signalé de menaces et de tracasseries", s`est-il félicité, en "espérant que cela va continuer".
La sécurisation du scrutin reste entourée d`interrogations à environ trois semaines du vote dont 8.000 policiers et gendarmes sont censés en assurer le bon déroulement au sein d`unités mixtes loyalistes et ex-rebelles.
Le cantonnement des éléments FN promis à terme à l`armée reste par ailleurs limité. Le camp Gbagbo a exigé pendant des années que le "désarmement" de l`ex-rébellion soit réalisé avant l`élection.