C`est ce jour que le Président du PDCI-RDA, le Président Henri Konan Bédié, foule le sol du département de Toulépleu. Venant de Duékoué, il passera par Bloléquin pour une brève escale chez la députée Madeleine Oulaï avant d`entrer dans le département de Toulépleu. L`accueil se fera à Péhé, où les chefs, leurs notabilités et toutes les populations lui réservent un véritable triomphe. Depuis hier, c`est l`affluence à Toulépleu. Venant des villages environnants et des contrées les plus éloignées, les populations ont commencé, par centaines, à prendre d`assaut le chef-lieu du département pour communier, dès aujourd`hui, avec le Président du PDCI-RDA. Pour canaliser le flux des populations, le Comité d`organisation piloté par le délégué départemental, Sonhon Robert et ses deux vice-présidents Denis KAH Zion et Bohi Bernadin, a défini dix points de convergence qui sont animés en vue de tenir en haleine ces hommes, femmes et jeunes accourus. Dans le département de Toulépleu, il est prévu trois points de communion entre le président Bédié et les populations : La ville de Péhé où il sera accueilli dès son arrivée, la ville de Toulépleu où le président animera un meeting après, bien entendu, avoir pris un bain de foule, et le village de Dénan où il dira au revoir aux populations avant de quitter le département de Toulépleu pour celui de Bloléquin. A Péhé, il s`agira d`une escale d`échange et de salutations, et à Dénan, le Président et ses hôtes échangeront des mots d`au revoir. A ces différents points, les populations, militants et sympathisants du PDCI-RDA ont pris rendez-vous depuis hier. Les quelque 30 bâches prévues pour le meeting de Toulépleu risquent de ne pas suffire. Car, selon le comité d`organisation, pas moins de 5000 à 8000 personnes sont attendues. Ce meeting est attendu par les nombreux militants pour exprimer au Président du PDCI-RDA et au monde entier que contrairement aux colportages des aigris, le PDCI-RDA a le vent en poupe dans cette région de Toulépleu, puisque selon les statistiques du permanent Djimarie Barthélemy, le PDCI détient près de 70% des électeurs enrôlés à ce jour.
La tentative de sabotage du Fpi
Devant la réussite annoncée de la mobilisation des populations de Toulépleu qu`on disait naguère acquis à la seule cause de Gbagbo et du FPI, des cadres et fanatiques de la refondation ont entrepris d`organiser, depuis avant-hier, une opération de sape. Ils ont envoyé des émissaires à moto sillonner les cantons et les villages pour dire aux chefs de villages et aux leaders d`opinion des cantons que la visite du président du PDCI-RDA est annulée et que ceux qui avaient l`intention de se rendre à son accueil devraient rester chez eux. Manque de pot pour eux, ce sont les villageois eux-mêmes qui ont envoyé des jeunes auprès du délégué Sonhon Robert et du Comité d`organisation pour leur signaler le tour de sape des refondateurs. Non seulement la radio Mont Seité de Toulépleu a apporté un démenti avec des communiqués répétés sur l`arrivée effective de Aimé Henri Konan Bédié, et des interviewes des membres du comité d`organisation. Mieux, ces mêmes populations, pour ne pas être surprises par d`autres tours malhonnêtes des réfondateurs se sont mises en route dès hier nuit pour veiller à Toulépleu.
Sécurité totalement garantie
Pour ce qui est de la sécurité, elle est totale. La folle rumeur répandue à Abidjan par un quotidien de la place n`est qu`illusion. Car, les ex-combattants à qui l`on fait allusion se sont rencontrés à plusieurs reprises avec le comité d`organisation et se sont mis d`accord. Hier encore, ils se sont vus et c`est ensemble que les deux groupes ont arrêté les modalités de collaboration pour garantir la réussite de cette visite historique du PDCI-RDA. " Nous sommes certes des ex-combattants, mais chacun de nous a son parti politique. Si nous avons combattu pour libérer Toulépleu, ce n`est pas pour le prendre en otage. Nous sommes là pour vous appuyer à garantir la sécurité.
Car le Président Bédié qui arrive n`est pas pour un seul groupe, encore moins un seul individu, c`est un homme d`Etat qu`il faut protéger… " a dit un des chefs des ex-combattants, hier soir.
Eddy PEHE
La tentative de sabotage du Fpi
Devant la réussite annoncée de la mobilisation des populations de Toulépleu qu`on disait naguère acquis à la seule cause de Gbagbo et du FPI, des cadres et fanatiques de la refondation ont entrepris d`organiser, depuis avant-hier, une opération de sape. Ils ont envoyé des émissaires à moto sillonner les cantons et les villages pour dire aux chefs de villages et aux leaders d`opinion des cantons que la visite du président du PDCI-RDA est annulée et que ceux qui avaient l`intention de se rendre à son accueil devraient rester chez eux. Manque de pot pour eux, ce sont les villageois eux-mêmes qui ont envoyé des jeunes auprès du délégué Sonhon Robert et du Comité d`organisation pour leur signaler le tour de sape des refondateurs. Non seulement la radio Mont Seité de Toulépleu a apporté un démenti avec des communiqués répétés sur l`arrivée effective de Aimé Henri Konan Bédié, et des interviewes des membres du comité d`organisation. Mieux, ces mêmes populations, pour ne pas être surprises par d`autres tours malhonnêtes des réfondateurs se sont mises en route dès hier nuit pour veiller à Toulépleu.
Sécurité totalement garantie
Pour ce qui est de la sécurité, elle est totale. La folle rumeur répandue à Abidjan par un quotidien de la place n`est qu`illusion. Car, les ex-combattants à qui l`on fait allusion se sont rencontrés à plusieurs reprises avec le comité d`organisation et se sont mis d`accord. Hier encore, ils se sont vus et c`est ensemble que les deux groupes ont arrêté les modalités de collaboration pour garantir la réussite de cette visite historique du PDCI-RDA. " Nous sommes certes des ex-combattants, mais chacun de nous a son parti politique. Si nous avons combattu pour libérer Toulépleu, ce n`est pas pour le prendre en otage. Nous sommes là pour vous appuyer à garantir la sécurité.
Car le Président Bédié qui arrive n`est pas pour un seul groupe, encore moins un seul individu, c`est un homme d`Etat qu`il faut protéger… " a dit un des chefs des ex-combattants, hier soir.
Eddy PEHE