La Coordination des communicateurs citoyens bénévoles pour le plébiscite du Président candidat Laurent Gbagbo au premier tour a reçu à sa table du petit déjeuner, Pascal Affi N’guessan, porte-parole du candidat de la majorité présidentielle. Il a traité et échangé avec les journalistes sur un thème évocateur : « Les enjeux de l’élection présidentielle du 31 octobre 2010 »
Pour les prochaines élections, l’alternative démocratique qu’il faut à la Côte d’Ivoire qui doit bâtir une nouvelle économie pour une nouvelle nation ayant pour socle la démocratie, c’est Laurent Gbagbo. Affirme Affi N’guessan. Il a donné les raisons du choix de Laurent Gbagbo comme alternative à Laurent Gbagbo à la tête de l’Etat de Côte d’Ivoire : « Gbagbo est un homme d’ouverture et le père de la démocratie, qui est le socle de l’unité nationale. » Il a poursuivi pour mettre le doigt sur d’autres qualités de son champion : « Laurent Gbagbo avec la majorité présidentielle où se trouve rassembler des ivoiriens de toutes origines ethniques et couches socio professionnelles, montre qu’il est un rassembleur. C’est un combattant pour la souveraineté et l’indépendance de la Côte d’Ivoire en particulier et de l’Afrique en général. Il a le sens de l’intérêt général. Il n’a pas engagé des actions de représailles contre tous ceux qui lui ont fait subir le martyre quand il était dans l’opposition et ont mal géré le pays avec des actes de détournement ». Affi N’guessan parlant des enjeux des futures élections a fait un tour du contexte international en faisant remonter la marche de nos pays à la période coloniale. Il a noté que le parti unique enfanté par le colonisateur français qui après l’échec du référendum sur la communauté franco –africaine, a inhibé la construction des nations africaines auxquels on a donné des indépendances factices assorties du pacte colonial. Il s’est alors fendu d’une constatation amère : «Le parti unique a été la pire erreur qui a été faite au moment de l’indépendance ».
Cet ordre ancien a des survivances jusqu’en 2010 et comme on ne peut construire du neuf avec du vieux, Affi N’guessan a indiqué qu’il y a nécessité de refonder car «on ne peut pas avancer sans changer de mentalité ».Dans les échanges avec les journalistes, Affi N’guessan a défendu le bilan de Laurent Gbagbo contre ceux du Président Bédié et du Premier ministre Alassane Ouattara : « Au plan macroéconomique la période de 1990 à 1993 qui couvre la gestion du Premier ministre Alassane Ouattara, a été la période de la plus grande contre-performance économique de la Côte d’Ivoire. Le PIB était de -1,2% en 1990 et de -0,6% en 1992 alors qu’il était de + 1% en 1988 et de2% en 1989. Sous le Président Henri Konan Bédié, le PIB de 1994 à 2000 était de 7% en 1995, de – 6% en 1999 et de -1% en 2000. Les denos (dépenses non ordonnancées) étaient de 350 milliards et les passifs de 17%. En revanche sous le Président Laurent Gbagbo le budget de l’Etat n’a fait que progresser. Il est passé de 1289 milliards en 2001 à 2529 milliards en 2009 soit 96,22% d’augmentation et un solde créditeur de 69 milliards en 2003. Le stock de la dette est passé de 64 00 milliards à 4000 milliards aujourd’hui. Le cadre macro économique est devenu dynamique et sain.Il attire les investisseurs et cela devrait suffire pour déterminer le choix des ivoiriens en faveur du Président Laurent Gbagbo. »
Kouadio Anatole, cadre des impôts et porte-parole de la Coordination des Communicateurs citoyens bénévoles a fait le bilan d’une année d’activités en commençant par donner la fiche de santé du site Internet qu’il a offert aux communicateurs depuis le 14 octobre 2009 et qui enregistre aujourd’hui 72.600 visiteurs. Il a exprimé la gratitude des communicateurs à la quarantaine des experts de la Majorité présidentielle qui ont accepté spontanément d’animer les thèmes qui leur ont proposés dans le cadre « des petits déjeuners de la majorité présidentielle ». Il a de façon particulièrement remercié le premier vice-président du Front populaire ivoirien, l’Inspecteur général Aboudramane Sangaré, qui avec la conférence inaugurale qu’il a eu à prononcer le 16 septembre 2009 sur le thème : « Les enjeux politiques et historiques des élections de sortie de crise : Quel chef d’Etat pour la Côte d’Ivoire ? », a permis aux communicateurs d’orienter leur travail et de mieux définir les thèmes de référence de leurs petits déjeuners.
Franck A. zagbayou
zagbayou@fratmat.info Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
Pour les prochaines élections, l’alternative démocratique qu’il faut à la Côte d’Ivoire qui doit bâtir une nouvelle économie pour une nouvelle nation ayant pour socle la démocratie, c’est Laurent Gbagbo. Affirme Affi N’guessan. Il a donné les raisons du choix de Laurent Gbagbo comme alternative à Laurent Gbagbo à la tête de l’Etat de Côte d’Ivoire : « Gbagbo est un homme d’ouverture et le père de la démocratie, qui est le socle de l’unité nationale. » Il a poursuivi pour mettre le doigt sur d’autres qualités de son champion : « Laurent Gbagbo avec la majorité présidentielle où se trouve rassembler des ivoiriens de toutes origines ethniques et couches socio professionnelles, montre qu’il est un rassembleur. C’est un combattant pour la souveraineté et l’indépendance de la Côte d’Ivoire en particulier et de l’Afrique en général. Il a le sens de l’intérêt général. Il n’a pas engagé des actions de représailles contre tous ceux qui lui ont fait subir le martyre quand il était dans l’opposition et ont mal géré le pays avec des actes de détournement ». Affi N’guessan parlant des enjeux des futures élections a fait un tour du contexte international en faisant remonter la marche de nos pays à la période coloniale. Il a noté que le parti unique enfanté par le colonisateur français qui après l’échec du référendum sur la communauté franco –africaine, a inhibé la construction des nations africaines auxquels on a donné des indépendances factices assorties du pacte colonial. Il s’est alors fendu d’une constatation amère : «Le parti unique a été la pire erreur qui a été faite au moment de l’indépendance ».
Cet ordre ancien a des survivances jusqu’en 2010 et comme on ne peut construire du neuf avec du vieux, Affi N’guessan a indiqué qu’il y a nécessité de refonder car «on ne peut pas avancer sans changer de mentalité ».Dans les échanges avec les journalistes, Affi N’guessan a défendu le bilan de Laurent Gbagbo contre ceux du Président Bédié et du Premier ministre Alassane Ouattara : « Au plan macroéconomique la période de 1990 à 1993 qui couvre la gestion du Premier ministre Alassane Ouattara, a été la période de la plus grande contre-performance économique de la Côte d’Ivoire. Le PIB était de -1,2% en 1990 et de -0,6% en 1992 alors qu’il était de + 1% en 1988 et de2% en 1989. Sous le Président Henri Konan Bédié, le PIB de 1994 à 2000 était de 7% en 1995, de – 6% en 1999 et de -1% en 2000. Les denos (dépenses non ordonnancées) étaient de 350 milliards et les passifs de 17%. En revanche sous le Président Laurent Gbagbo le budget de l’Etat n’a fait que progresser. Il est passé de 1289 milliards en 2001 à 2529 milliards en 2009 soit 96,22% d’augmentation et un solde créditeur de 69 milliards en 2003. Le stock de la dette est passé de 64 00 milliards à 4000 milliards aujourd’hui. Le cadre macro économique est devenu dynamique et sain.Il attire les investisseurs et cela devrait suffire pour déterminer le choix des ivoiriens en faveur du Président Laurent Gbagbo. »
Kouadio Anatole, cadre des impôts et porte-parole de la Coordination des Communicateurs citoyens bénévoles a fait le bilan d’une année d’activités en commençant par donner la fiche de santé du site Internet qu’il a offert aux communicateurs depuis le 14 octobre 2009 et qui enregistre aujourd’hui 72.600 visiteurs. Il a exprimé la gratitude des communicateurs à la quarantaine des experts de la Majorité présidentielle qui ont accepté spontanément d’animer les thèmes qui leur ont proposés dans le cadre « des petits déjeuners de la majorité présidentielle ». Il a de façon particulièrement remercié le premier vice-président du Front populaire ivoirien, l’Inspecteur général Aboudramane Sangaré, qui avec la conférence inaugurale qu’il a eu à prononcer le 16 septembre 2009 sur le thème : « Les enjeux politiques et historiques des élections de sortie de crise : Quel chef d’Etat pour la Côte d’Ivoire ? », a permis aux communicateurs d’orienter leur travail et de mieux définir les thèmes de référence de leurs petits déjeuners.
Franck A. zagbayou
zagbayou@fratmat.info Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
