Le candidat de la majorité présidentielle, Laurent Gbagbo, a visité, mardi, la région du Bas-Sassandra où il a animé deux meetings, à San-Pedro et à Sassandra. Il a conseillé un vote sanction contre les houphouétistes.
De Sassandra à San-Pedro où il a animé des meetings, hier, dans le cadre de la campagne électorale, Laurent Gbagbo a invité les populations à un exercice. « Il faut décourager ceux qui disent qu’ils sont les héritiers d’Houphouet-Boigny et qui n’ont pas pu balayer la maison de « leur » père. Ils disent qu’ils sont héritiers mais ils ont fait quoi (…) Ce sont ceux-là qui se sont alliés aux rebelles. Il faut les amener au Gôpô (l’épreuve de vérité) quand ils vont se retrouver face à vous, en campagne. Et, leur poser cette seule question : Tu étais où quand je pleurais », leur a-t-il recommandé. Le candidat de la majorité présidentielle (Lmp) a notamment décrié le fait qu’un successeur du président Houphouet ait délaissé la capitale politique, Yamoussoukro, au profit d’une autre localité. Laurent Gbagbo se félicite d’avoir sorti cette capitale, ville natale de Félix Houphouet-Boigny, de la « forêt » et d’y avoir entrepris des travaux dans le cadre du transfert de la capitale d’Abidjan à Yamoussoukro. « Je suis devenu président de la République par le travail. Je ne suis l’héritier de personne, sauf de Koudou Paul, un pauvre policier», a-t-il rappelé à ceux de ses adversaires qui revendiquent le titre d’ «héritier d’Houphouet ». Après avoir développé ses arguments, le candidat a sollicité le suffrage des électeurs des deux cités balnéaires.
Bidi Ignace
(Avec www.gbagbo.ci)
De Sassandra à San-Pedro où il a animé des meetings, hier, dans le cadre de la campagne électorale, Laurent Gbagbo a invité les populations à un exercice. « Il faut décourager ceux qui disent qu’ils sont les héritiers d’Houphouet-Boigny et qui n’ont pas pu balayer la maison de « leur » père. Ils disent qu’ils sont héritiers mais ils ont fait quoi (…) Ce sont ceux-là qui se sont alliés aux rebelles. Il faut les amener au Gôpô (l’épreuve de vérité) quand ils vont se retrouver face à vous, en campagne. Et, leur poser cette seule question : Tu étais où quand je pleurais », leur a-t-il recommandé. Le candidat de la majorité présidentielle (Lmp) a notamment décrié le fait qu’un successeur du président Houphouet ait délaissé la capitale politique, Yamoussoukro, au profit d’une autre localité. Laurent Gbagbo se félicite d’avoir sorti cette capitale, ville natale de Félix Houphouet-Boigny, de la « forêt » et d’y avoir entrepris des travaux dans le cadre du transfert de la capitale d’Abidjan à Yamoussoukro. « Je suis devenu président de la République par le travail. Je ne suis l’héritier de personne, sauf de Koudou Paul, un pauvre policier», a-t-il rappelé à ceux de ses adversaires qui revendiquent le titre d’ «héritier d’Houphouet ». Après avoir développé ses arguments, le candidat a sollicité le suffrage des électeurs des deux cités balnéaires.
Bidi Ignace
(Avec www.gbagbo.ci)