Kassembré Marie-Joseph, chargée de communication de la candidate indépendante, Jacqueline Oble, pense que l’heure des femmes a sonné.
Il revient que les femmes rurales ne sont pas toujours enclines au vote. Comment les motiver ?
C’est vrai que, dans le monde rural, il y a d’autres réalités. Le mari peut même empêcher son épouse d’aller chercher sa carte d’électrice. C’est pourquoi nous expliquons à la population que cette élection est très importante. Elle arrive après une grande crise. Tout Ivoirien enrôlé et en possession de sa pièce doit décider du président qu’il veut à la tête du pays. Les femmes, en tant que mères et épouses, ont une lourde responsabilité dans l’éducation de la famille. Elles connaissent les réalités des foyers. Par exemple, les denrées alimentaires sont coûteuses. Il faut que les femmes récupèrent cette élection et votent massivement pour changer les choses.
Croyez-vous au vote massif des femmes ?
Les femmes sont plus actives. Elles appartiennent pour la plupart à des partis politiques. Ce sont elles qui mobilisent le plus. Le fait qu’une femme soit candidate, cette fois-ci, motive les autres à s’intéresser au vote. Elles vont voter pour porter cette femme au pouvoir.
Est-ce à dire que la candidate Jacqueline Oble mise gros sur les femmes pour la conquête du pouvoir ?
Nous comptons sur les Ivoiriens en général et en particulier les femmes. Le fait que ce soit la première femme qui se porte candidate à la magistrature suprême dans notre pays touche le cœur des femmes. Nous ne faisons pas forcément l’unanimité dans ces cœurs, mais les bonnes dames vont massivement voter pour nous. Notre candidature galvanise les femmes. La Côte d’Ivoire traverse une étape importante de son histoire. Après de longues attentes d’une élection présidentielle, c’est le moment pour les femmes de prendre leur destin en main. Refuser de participer au vote, c’est laisser passer une opportunité d’user du droit de vote.
Faut-il voter pour la candidate parce qu’elle est une femme ?
En tant que femme politique ayant exercé à de hauts postes de responsabilités, la candidate Jacqueline Oble est consciente de la situation économique du pays. Elle a donc décidé de jouer sa partition à travers sa candidature. 50% de pauvres en 50 ans n’est pas un résultat reluisant pour les hommes. Les femmes vont pleinement jouer leur rôle.
Entretien réalisé par N.D.
Il revient que les femmes rurales ne sont pas toujours enclines au vote. Comment les motiver ?
C’est vrai que, dans le monde rural, il y a d’autres réalités. Le mari peut même empêcher son épouse d’aller chercher sa carte d’électrice. C’est pourquoi nous expliquons à la population que cette élection est très importante. Elle arrive après une grande crise. Tout Ivoirien enrôlé et en possession de sa pièce doit décider du président qu’il veut à la tête du pays. Les femmes, en tant que mères et épouses, ont une lourde responsabilité dans l’éducation de la famille. Elles connaissent les réalités des foyers. Par exemple, les denrées alimentaires sont coûteuses. Il faut que les femmes récupèrent cette élection et votent massivement pour changer les choses.
Croyez-vous au vote massif des femmes ?
Les femmes sont plus actives. Elles appartiennent pour la plupart à des partis politiques. Ce sont elles qui mobilisent le plus. Le fait qu’une femme soit candidate, cette fois-ci, motive les autres à s’intéresser au vote. Elles vont voter pour porter cette femme au pouvoir.
Est-ce à dire que la candidate Jacqueline Oble mise gros sur les femmes pour la conquête du pouvoir ?
Nous comptons sur les Ivoiriens en général et en particulier les femmes. Le fait que ce soit la première femme qui se porte candidate à la magistrature suprême dans notre pays touche le cœur des femmes. Nous ne faisons pas forcément l’unanimité dans ces cœurs, mais les bonnes dames vont massivement voter pour nous. Notre candidature galvanise les femmes. La Côte d’Ivoire traverse une étape importante de son histoire. Après de longues attentes d’une élection présidentielle, c’est le moment pour les femmes de prendre leur destin en main. Refuser de participer au vote, c’est laisser passer une opportunité d’user du droit de vote.
Faut-il voter pour la candidate parce qu’elle est une femme ?
En tant que femme politique ayant exercé à de hauts postes de responsabilités, la candidate Jacqueline Oble est consciente de la situation économique du pays. Elle a donc décidé de jouer sa partition à travers sa candidature. 50% de pauvres en 50 ans n’est pas un résultat reluisant pour les hommes. Les femmes vont pleinement jouer leur rôle.
Entretien réalisé par N.D.