La candidate indépendante, Jacqueline Oble, a animé, mardi, à Daloa, un meeting au cours duquel elle a salué la décision de Guillaume Soro, relativement au comptage des voix de la présidentielle.
Jacqueline Oble, candidate indépendante à la présidentielle du 31 octobre prochain a animé un meeting, mardi, à Daloa. Elle s’est prononcée sur la décision du Premier ministre, Guillaume Soro, relative à la centralisation des résultats du scrutin. Elle dit ne voir aucun inconvénient avec le choix fait par le chef du gouvernement : « Nous sommes dans un système moderne qui a beaucoup d’avantages. Le choix de la centralisation électronique va accélérer le comptage, contrairement au comptage manuel ». Pour l’ancienne Garde des sceaux, ministre de la Justice, ce qui importe, c’est que chaque candidat aura les résultats à partir des procès-verbaux de ses représentants dans les bureaux de vote. « Quand on fait les décomptes, dans les bureaux de vote, les résultats sont retransmis aux candidats par leurs représentants. Ce sont ces résultats qui seront introduits dans les ordinateurs pour faciliter le comptage global », a-t-elle relevé. Et de poursuivre en précisant qu’à partir des Pv de ses représentants, elle sera en mesure de faire éventuellement des réclamations auprès du conseil constitutionnel, s’il n’y a pas concordance entre les deux résultats. Jacqueline Oble qui s’est par ailleurs réjouie de l’atmosphère bon enfant au stade Harouna de Daloa, a dit qu’elle s’est présentée à ces élections pour faire revenir la paix, perdue depuis que les trois ténors de la scène politique ‘’se battent dans notre pays’’. Se disant le choix de la réconciliation, la candidate a donné les motivations de sa candidature : « Moi, je suis venue les séparer. Et, mon parti vient mettre fin à 50 ans de gestion du pays par des hommes et réconcilier toutes les victimes du pays qu’ils ont divisées ». Aussi, a-t-elle invité les Ivoiriens à imiter le Libéria qui, après 15 ans de guerre, a élu une femme pour réconcilier ce pays. Elle compte urgemment mettre fin au copinage dans l’administration et faire de la compétence, le critère de sélection des cadres de l’administration.
Bayo Fatim à Daloa
Jacqueline Oble, candidate indépendante à la présidentielle du 31 octobre prochain a animé un meeting, mardi, à Daloa. Elle s’est prononcée sur la décision du Premier ministre, Guillaume Soro, relative à la centralisation des résultats du scrutin. Elle dit ne voir aucun inconvénient avec le choix fait par le chef du gouvernement : « Nous sommes dans un système moderne qui a beaucoup d’avantages. Le choix de la centralisation électronique va accélérer le comptage, contrairement au comptage manuel ». Pour l’ancienne Garde des sceaux, ministre de la Justice, ce qui importe, c’est que chaque candidat aura les résultats à partir des procès-verbaux de ses représentants dans les bureaux de vote. « Quand on fait les décomptes, dans les bureaux de vote, les résultats sont retransmis aux candidats par leurs représentants. Ce sont ces résultats qui seront introduits dans les ordinateurs pour faciliter le comptage global », a-t-elle relevé. Et de poursuivre en précisant qu’à partir des Pv de ses représentants, elle sera en mesure de faire éventuellement des réclamations auprès du conseil constitutionnel, s’il n’y a pas concordance entre les deux résultats. Jacqueline Oble qui s’est par ailleurs réjouie de l’atmosphère bon enfant au stade Harouna de Daloa, a dit qu’elle s’est présentée à ces élections pour faire revenir la paix, perdue depuis que les trois ténors de la scène politique ‘’se battent dans notre pays’’. Se disant le choix de la réconciliation, la candidate a donné les motivations de sa candidature : « Moi, je suis venue les séparer. Et, mon parti vient mettre fin à 50 ans de gestion du pays par des hommes et réconcilier toutes les victimes du pays qu’ils ont divisées ». Aussi, a-t-elle invité les Ivoiriens à imiter le Libéria qui, après 15 ans de guerre, a élu une femme pour réconcilier ce pays. Elle compte urgemment mettre fin au copinage dans l’administration et faire de la compétence, le critère de sélection des cadres de l’administration.
Bayo Fatim à Daloa