Madame le Ministre Amah Téhoua, Déléguée départementale du PDCI-RDA de Bongouanou,
Dr Koua Brou Paul, Président du Conseil général de Bongouanou,
Mesdames et Messieurs les élus,
Mme Denis Bra Kanon,
Honorables membres des instances du PDCI-RDA,
Vénérables Chefs traditionnels et coutumiers,
Vaillants Secrétaires généraux des sections du PDCI-RDA,
Intrépides Présidents des Comités de base du PDCI-RDA,
Madame la Présidente de l'Union des Femmes du PDCI-RDA,Coordination de Ouellé,
Monsieur le Président de la Jeunesse du PDCI-RDA, Coordination de Mbatto,
Chers frères et sœurs de Mbatto,
Vous imaginez le plaisir qui est le mien , ce matin, de retrouver la coquette ville de M'batto mais surtout de me retrouver en famille, auprès de mes frères et de mes sœurs de ce département.
Je veux d'abord vous remercier pour la chaleur de l'accueil que vous réservez à Madame Bédié, à la délégation de la direction du parti qui m'accompagne et à moi-même.
En prenant la décision de vous rendre visite ce jour, certains m'ont dit que la démarche était superflue, car de toutes les manières, les populations de M'batto ne voteraient que pour Henri Konan Bédié.
J'ai tenu néanmoins à venir, d'abord parce que cela faisait déjà longtemps que nous n'avions pas pu nous retrouver, ensuite parce que nous avons des choses à nous dire en famille, enfin parce que je voulais, de manière formelle, déposer entre vos mains, ma candidature au poste de président de la république de Côte d'Ivoire.
Depuis trois années déjà, je parcours le pays dans tous les sens pour expliquer le pourquoi de ma candidature. Je ne reviendrai pas, avec vous, sur les raisons. Vous les connaissez tous, tout comme vous constatez tous l'état de dégradation avancée de notre pays. Peut-on rester insensible à un tel état et se dire qu'advienne ce que pourra. Ce serait là un comportement indigne surtout lorsque l'on a, comme moi, acquis tant d'expériences dans tous les domaines et que Dieu, dans sa bonté, nous a donné une santé de fer. J'ai donc décidé, une fois de plus, de me sacrifier, surtout pour nos enfants et petits-enfants pour qui l'horizon, aujourd'hui, est bouché.
Mais, mes chers frères et sœurs de M'batto, ma volonté seule ne suffit pas. Vous devez également exprimer la vôtre et cela à travers le vote que vous allez effectuer le 31 octobre 2010. Dans une démocratie en effet, c'est le peuple qui est le détenteur réel du pouvoir. C'est lui qui peut déterminer qui doit occuper telle ou telle fonction.
Je suis venu, bien que convaincu de l'affection que vous avez pour moi, vous demander de manifester cette affection en la traduisant en bulletins de vote bien remplis. Je dis bien remplis, car la chose n'est pas toujours facile. Il y a, en effet, dans cette opération , de nombreuses possibilités d'erreurs qui rendent le bulletin nul, non valable. Je viens demander aux responsables politiques, à tous les niveaux, d'utiliser les jours de campagne qui nous restent pour apprendre à bien voter, sur le bulletin nul. Je sais qu'ils sont déjà à la tâche, mais comme disent les enseignants, la répétition est une vertu pédagogique. Nous ne devons absolument pas perdre cette élection du fait de bulletins nuls. Tout doit être mis en œuvre pour que chaque militant sache tracer la croix, où mettre l'empreinte du doigt, dans la case prévue au titre du candidat du PDCI-RDA, représenté par l'éléphant et par ma photo.
Il reste, bien entendu, que ceux qui n'ont pas pu le faire encore, devront aller retirer leur carte nationale d'identité et leur carte d'électeur. Ces documents devraient être bien conservés jusqu'au jour de l'élection, c'est-à-dire jusqu'au 31 octobre 2010. Je dis cela parce que dans leur recherche de moyens de conserver le pouvoir à tout prix, les refondateurs font arracher ces documents par des faux policiers, de sorte que le jour de vote, les citoyens auxquels on a arraché ces pièces, ne puissent pas voter. Si vous votez pour moi, comme vous avez promis de le faire, alors un jour nouveau se lèvera sur notre pays qui va renouer avec le développement.
Mes chers frères et sœurs de M'batto,
L'heure n'est plus aux discours. C'est pourquoi je n'en ferai pas. Il faut aujourd'hui passer à l'action. Et l'action, c'est la formation des militants pour qu'ils puissent exercer correctement leur devoir civique.
En votant pour moi, vous aidez à libérer la Côte d'Ivoire de la main des assassins et autres gestionnaires malhonnêtes et corrompus.
En votant pour moi, vous permettez à la Côte d'Ivoire de reprendre le train du développement.
Je vous remercie de votre accueil si fraternel et si chaleureux. Merci également de m'avoir écouté.
Vive le PDCI-RDA,
Vive M'batto,
Vive la Côte d'Ivoire
Henri Konan Bédié
Dr Koua Brou Paul, Président du Conseil général de Bongouanou,
Mesdames et Messieurs les élus,
Mme Denis Bra Kanon,
Honorables membres des instances du PDCI-RDA,
Vénérables Chefs traditionnels et coutumiers,
Vaillants Secrétaires généraux des sections du PDCI-RDA,
Intrépides Présidents des Comités de base du PDCI-RDA,
Madame la Présidente de l'Union des Femmes du PDCI-RDA,Coordination de Ouellé,
Monsieur le Président de la Jeunesse du PDCI-RDA, Coordination de Mbatto,
Chers frères et sœurs de Mbatto,
Vous imaginez le plaisir qui est le mien , ce matin, de retrouver la coquette ville de M'batto mais surtout de me retrouver en famille, auprès de mes frères et de mes sœurs de ce département.
Je veux d'abord vous remercier pour la chaleur de l'accueil que vous réservez à Madame Bédié, à la délégation de la direction du parti qui m'accompagne et à moi-même.
En prenant la décision de vous rendre visite ce jour, certains m'ont dit que la démarche était superflue, car de toutes les manières, les populations de M'batto ne voteraient que pour Henri Konan Bédié.
J'ai tenu néanmoins à venir, d'abord parce que cela faisait déjà longtemps que nous n'avions pas pu nous retrouver, ensuite parce que nous avons des choses à nous dire en famille, enfin parce que je voulais, de manière formelle, déposer entre vos mains, ma candidature au poste de président de la république de Côte d'Ivoire.
Depuis trois années déjà, je parcours le pays dans tous les sens pour expliquer le pourquoi de ma candidature. Je ne reviendrai pas, avec vous, sur les raisons. Vous les connaissez tous, tout comme vous constatez tous l'état de dégradation avancée de notre pays. Peut-on rester insensible à un tel état et se dire qu'advienne ce que pourra. Ce serait là un comportement indigne surtout lorsque l'on a, comme moi, acquis tant d'expériences dans tous les domaines et que Dieu, dans sa bonté, nous a donné une santé de fer. J'ai donc décidé, une fois de plus, de me sacrifier, surtout pour nos enfants et petits-enfants pour qui l'horizon, aujourd'hui, est bouché.
Mais, mes chers frères et sœurs de M'batto, ma volonté seule ne suffit pas. Vous devez également exprimer la vôtre et cela à travers le vote que vous allez effectuer le 31 octobre 2010. Dans une démocratie en effet, c'est le peuple qui est le détenteur réel du pouvoir. C'est lui qui peut déterminer qui doit occuper telle ou telle fonction.
Je suis venu, bien que convaincu de l'affection que vous avez pour moi, vous demander de manifester cette affection en la traduisant en bulletins de vote bien remplis. Je dis bien remplis, car la chose n'est pas toujours facile. Il y a, en effet, dans cette opération , de nombreuses possibilités d'erreurs qui rendent le bulletin nul, non valable. Je viens demander aux responsables politiques, à tous les niveaux, d'utiliser les jours de campagne qui nous restent pour apprendre à bien voter, sur le bulletin nul. Je sais qu'ils sont déjà à la tâche, mais comme disent les enseignants, la répétition est une vertu pédagogique. Nous ne devons absolument pas perdre cette élection du fait de bulletins nuls. Tout doit être mis en œuvre pour que chaque militant sache tracer la croix, où mettre l'empreinte du doigt, dans la case prévue au titre du candidat du PDCI-RDA, représenté par l'éléphant et par ma photo.
Il reste, bien entendu, que ceux qui n'ont pas pu le faire encore, devront aller retirer leur carte nationale d'identité et leur carte d'électeur. Ces documents devraient être bien conservés jusqu'au jour de l'élection, c'est-à-dire jusqu'au 31 octobre 2010. Je dis cela parce que dans leur recherche de moyens de conserver le pouvoir à tout prix, les refondateurs font arracher ces documents par des faux policiers, de sorte que le jour de vote, les citoyens auxquels on a arraché ces pièces, ne puissent pas voter. Si vous votez pour moi, comme vous avez promis de le faire, alors un jour nouveau se lèvera sur notre pays qui va renouer avec le développement.
Mes chers frères et sœurs de M'batto,
L'heure n'est plus aux discours. C'est pourquoi je n'en ferai pas. Il faut aujourd'hui passer à l'action. Et l'action, c'est la formation des militants pour qu'ils puissent exercer correctement leur devoir civique.
En votant pour moi, vous aidez à libérer la Côte d'Ivoire de la main des assassins et autres gestionnaires malhonnêtes et corrompus.
En votant pour moi, vous permettez à la Côte d'Ivoire de reprendre le train du développement.
Je vous remercie de votre accueil si fraternel et si chaleureux. Merci également de m'avoir écouté.
Vive le PDCI-RDA,
Vive M'batto,
Vive la Côte d'Ivoire
Henri Konan Bédié