L’élection présidentielle n’aura pas lieu à la date du 31 octobre 2010. Du moins, à en croire les révélations de Dieu faites à Zahiri Ziki, ce magistrat connu pour la justesse de ses prophéties.
«Il y a un an, précisément le 16 novembre 2009, Dieu me révélait la date du 31 octobre comme celle qu’Il a choisie pour l’élection présidentielle. Par la même occasion le Seigneur m’annonçait aussi des bouleversements d’ordre institutionnel qui doivent avoir lieu. J’en ai informé l’opinion et j’ai même écrit des livres. Le 4 octobre 2010», Dieu me dit : «Je change les choses car les conditions ne sont pas encore réunies. Les bouleversements institutionnels ne sont pas encore intervenus, la rébellion n’a pas encore disparu». «Dieu m’a révélé qu’il ne permettra plus la tenue de l’élection présidentielle, le 31 octobre 2010. Mais son choix demeure sur celui qu’Il a choisi pour rebâtir ce pays pour une nouvelle Nation. C’est Laurent Gbagbo». Telles sont les prémices des révélations de Dieu faites à son serviteur Zahiri Ziki, magistrat ancien Directeur général de l’Office national de l’identification (Oni) aujourd’hui conseiller spécial du chef de l’Etat chargé de la religion, de la tradition et de l’identification. Zahiri Ziki était entouré de plusieurs dignitaires religieux dont des imams et des pasteurs évangélistes, il a fait ces déclarations, hier, à la salle Emmanuel Dioulo de l’hôtel du District d’Abidjan, à l’invitation du Mouvement des croyants pour la réélection du Président Gbagbo et sous l’égide de la coordination des communicateurs citoyens bénévoles pour le plébiscite du Président Laurent Gbagbo. Déclarations que Zahiri Ziki a intitulées : «Appels aux croyants ». Ainsi donc, à l’entendre, Dieu ne serait plus prêt à ce que l’élection présidentielle se tienne à la date que Lui Dieu avait initialement arrêtée. Pour trois raisons, à savoir : la repentance de la rébellion, le regret de ses actes et le dépôt des armes sans condition. «Elle (ndlr, rébellion) doit d’abord reconnaître son mal contre la Côte d’Ivoire, ensuite elle doit regretter son acte et enfin elle doit déposer les armes sans rien demander en contrepartie.» Le bouleversement annoncé se fera-t-il à travers des troubles et quel sera le sort réservé au Président Laurent Gbagbo ? A ces deux préoccupations Zahiri Ziki a d’emblé rassuré son auditoire. «Il n’y a pas de risque de guerre civile. Le choix de Dieu demeure sur Laurent Gbagbo qui fera 20 ans au pouvoir au lieu de 15 ans s’il remportait la présidentielle du 31 octobre. Il en a déjà fait 10 et il en reste 10 autres. Dieu m’a encore révélé que la mission de Laurent Gbagbo est de construire une nouvelle Côte d’Ivoire, la refonder pour la rendre souveraine vis-à-vis de la France. C’est pourquoi Dieu a commencé par détruire l’ancienne Côte d’Ivoire en lui envoyant une rébellion ». A insisté le magistrat Zahiri Ziki qui affirme que l’erreur sur la nouvelle Carte nationale d’identité version Cei (elle ne porte aucune signature de l’autorité), est la preuve que les Ivoiriens n’iront pas vraiment à ces élections du 31 octobre 2010. Pour lui, la seule chose qui reste à faire est d’intercéder auprès de Dieu. C’est ce qui explique son «appel aux croyants» à la bonne contribution du processus électoral. Ce magistrat s’est singularisé par la pertinence et la justesse de ses révélations depuis le 19 septembre 2002.
S.A.
«Il y a un an, précisément le 16 novembre 2009, Dieu me révélait la date du 31 octobre comme celle qu’Il a choisie pour l’élection présidentielle. Par la même occasion le Seigneur m’annonçait aussi des bouleversements d’ordre institutionnel qui doivent avoir lieu. J’en ai informé l’opinion et j’ai même écrit des livres. Le 4 octobre 2010», Dieu me dit : «Je change les choses car les conditions ne sont pas encore réunies. Les bouleversements institutionnels ne sont pas encore intervenus, la rébellion n’a pas encore disparu». «Dieu m’a révélé qu’il ne permettra plus la tenue de l’élection présidentielle, le 31 octobre 2010. Mais son choix demeure sur celui qu’Il a choisi pour rebâtir ce pays pour une nouvelle Nation. C’est Laurent Gbagbo». Telles sont les prémices des révélations de Dieu faites à son serviteur Zahiri Ziki, magistrat ancien Directeur général de l’Office national de l’identification (Oni) aujourd’hui conseiller spécial du chef de l’Etat chargé de la religion, de la tradition et de l’identification. Zahiri Ziki était entouré de plusieurs dignitaires religieux dont des imams et des pasteurs évangélistes, il a fait ces déclarations, hier, à la salle Emmanuel Dioulo de l’hôtel du District d’Abidjan, à l’invitation du Mouvement des croyants pour la réélection du Président Gbagbo et sous l’égide de la coordination des communicateurs citoyens bénévoles pour le plébiscite du Président Laurent Gbagbo. Déclarations que Zahiri Ziki a intitulées : «Appels aux croyants ». Ainsi donc, à l’entendre, Dieu ne serait plus prêt à ce que l’élection présidentielle se tienne à la date que Lui Dieu avait initialement arrêtée. Pour trois raisons, à savoir : la repentance de la rébellion, le regret de ses actes et le dépôt des armes sans condition. «Elle (ndlr, rébellion) doit d’abord reconnaître son mal contre la Côte d’Ivoire, ensuite elle doit regretter son acte et enfin elle doit déposer les armes sans rien demander en contrepartie.» Le bouleversement annoncé se fera-t-il à travers des troubles et quel sera le sort réservé au Président Laurent Gbagbo ? A ces deux préoccupations Zahiri Ziki a d’emblé rassuré son auditoire. «Il n’y a pas de risque de guerre civile. Le choix de Dieu demeure sur Laurent Gbagbo qui fera 20 ans au pouvoir au lieu de 15 ans s’il remportait la présidentielle du 31 octobre. Il en a déjà fait 10 et il en reste 10 autres. Dieu m’a encore révélé que la mission de Laurent Gbagbo est de construire une nouvelle Côte d’Ivoire, la refonder pour la rendre souveraine vis-à-vis de la France. C’est pourquoi Dieu a commencé par détruire l’ancienne Côte d’Ivoire en lui envoyant une rébellion ». A insisté le magistrat Zahiri Ziki qui affirme que l’erreur sur la nouvelle Carte nationale d’identité version Cei (elle ne porte aucune signature de l’autorité), est la preuve que les Ivoiriens n’iront pas vraiment à ces élections du 31 octobre 2010. Pour lui, la seule chose qui reste à faire est d’intercéder auprès de Dieu. C’est ce qui explique son «appel aux croyants» à la bonne contribution du processus électoral. Ce magistrat s’est singularisé par la pertinence et la justesse de ses révélations depuis le 19 septembre 2002.
S.A.