Messieurs les Délégués départementaux du PDCI-RDA de Divo,
Mesdames et Messieurs les élus du PDCI-RDA
Honorables membres des instances du PDCI-RDA,
Vénérables Chefs traditionnels et coutumiers,
Messieurs les Représentants des Cultes,
Vaillants Secrétaires généraux des sections du PDCI-RDA,
Intrépides Présidents des Comités de base du PDCI-RDA,
Madame la Présidente de l'Union des Femmes du PDCI-RDA, Coordination de Divo,
Monsieur le Président de la Jeunesse du PDCI-RDA, Coordination de Divo,
Mes chers frères et sœurs de Divo,
Il y a quelques jours, en me rendant dans le Moyen-Cavally, j'ai effectué un arrêt ici à Divo et je garde encore un souvenir vivace de l'accueil particulièrement chaleureux qui a été réservé alors, à mon épouse et à la délégation qui m'accompagnait.
C'est donc avec un plaisir renouvelé que je me retrouve ce matin chez vous et je voudrais avant toute chose vous féliciter pour la forte mobilisation de ce jour.
Je veux saluer et remercier les organisateurs de cette rencontre en ce premier jour de la semaine que vous consacrez ainsi au Parti Démocratique de Côte d'Ivoire, votre parti de toujours, le PDCI-RDA.
Merci à tous d'être là, à l'appel de vos responsables politiques, en ces derniers jours de campagne électorale.
Vous savez tous pour quelle raison je viens à vous ce matin. C'est pour vous redire, à vous, population de Divo, en particulier, que je suis candidat à l'élection présidentielle dont le premier tour est prévu le 31 octobre 2010.
De nombreuses personnes, des esprits chagrins sans doute, se demandent pour quelle raison, je me suis engagé dans une telle aventure, puisque pour elles, je suis homme du passé.
Il faut leur dire que j'ai été désigné démocratiquement par le PDCI-RDA, à la suite du Congrès de 2002 et également suite d'abord à des conventions éclatées et enfin, à une convention nationale d'investiture.
Mais en dehors de cette obligation qui m'est faite par mon parti, je ne pouvais pas, rester insensible à l'état de dégradation avancé de notre pays à la suite de la gestion scandaleuse qu'en ont fait les refondateurs depuis dix ans. En effet, après avoir acquis tant d'expérience dans ma vie publique, occupé des postes de responsabilités, chef de service administratif à ce qui est aujourd'hui la Caisse nationale de Prévoyance sociale, d'Ambassadeur auprès des Etats Unis d'Amérique, de ministre de l'économie et des Finances, de maire de Daoukro, de Député de Daoukro, de Président de l'Assemblée nationale pendant treize ans et enfin, président de la République, je ne pouvais pas me permettre une indifférence coupable, en acceptant d'aller m'installer dans une retraite dorée , alors que ce pays que j'ai aidé à bâtir, est en train de plonger dans une véritable abysse.
J'ai donc décidé de me mettre au service de mon pays pour apporter le fruit de mon expérience aux plus jeunes et aux plus démunis de notre société, les femmes et les jeunes.
Chacun d'entre nous connaît la situation du pays. Dire que rien ne va est une vérité de la Palisse. Et ceci, à tous les niveaux. Au niveau politique, depuis cinq ans, nous sommes gouvernés par un Chef d'Etat, maintenu au pouvoir par des arrangements politiques et par la communauté internationale.
Dépourvu de toute honte, il se prétend pourtant démocrate, alors que depuis 2005 des élections n'ont pu, à six reprises déjà, être organisées. Chaque fois, sous de faux prétextes, les élections étaient reportées-
Militantes et Militants de Divo, beaucoup parmi vous ont poussé un ouf de soulagement lorsque l'élection prévue enfin pour le 31 octobre 2010 a été annoncée. Savez-vous pourquoi cette décision a enfin été prise ? C'est tout simplement parce qu'il avait mis sur pied un système informatique ingénieux, pour pomper, voler les résultats des autres candidats afin de se faire déclarer vainqueur dès le premier tour. Tricheur, paresseux, en plus de tous les assassinats qui lui pendent au nez, voilà le chef de refondateurs dans toute sa laideur qui veut donner des leçons au monde entier.
Il ne peut simplement être pris au sérieux. Son diplôme de démocrate, si une telle chose a jamais existé, lui a été décerné pendant la campagne, à Bouaflé, par un de ses sponsors socialistes français, amateur de la Rue Princesse. Quelle honte, quand on sait que le refondateur prétend que je serais, moi, Henri Konan Bédié, candidat de l'étranger ! Il est vrai que le manque de culture est souvent une grosse tare dont il faut ne pas tenir compte!
Pendant ce temps, le peuple martyr de Côte d'Ivoire meurt de faim. Il suffit, à cet effet, de l'écouter, ce peuple. C'est bien exprès, puisque les media embastillés ferment les yeux, j'ai donné mes cinq minutes de temps de parole de campagne au peuple de Côte d'Ivoire dans ce qu'il conviendra désormais d'appeler *Trop , c'est trop*.
Je suis donc candidat et l'élection qui s'annonce, car elle va donner, enfin, l'occasion de se débarrasser de ces apprentis sorciers , de ces dictateurs et la possibilité de choisir des responsables légitimes, qui seront véritablement issus et choisis par le peuple.
Je suis candidat à cette élection et vous avez la possibilité de changer la face de la Côte d'Ivoire en votant pour moi.
Oui, je sais que vous voterez pour moi, parce que j'incarne l'expérience et la compétence. Je vous l'ai indiqué plus haut, je suis le plus expérimenté de tous ceux qui aspirent occuper ce poste.
En participant si nombreux à ce rassemblement, vous me rassurez sur le fait que vous ne sauriez lâcher la proie pour l'ombre. La sauce socialiste n'a pas pris et on ne gouverne pas un pays au mépris des règles et des lois de ce pays.
Avez-vous noté qu'alors qu'il est président sortant, Laurent Gbagbo qui a eu à gérer des budgets colossaux sans pouvoir rien faire pour vous, ici, et ailleurs du reste, continue à faire des promesses. Les socialistes et les socialistes africains, en particulier, sont des maîtres patentés de ce genre de langages, mais chacun sait qu'il s'agit de promesses qui ne seront jamais tenues.
Vous, militantes et militants de Divo, vous peuple de Divo, aidez- moi à changer la face de la Côte d'Ivoire, dès le 31 octobre 2010, en votant pour le candidat du parti le plus national et le plus ancien de Côte d'Ivoire, le candidat du PDCI-RDA, Aimé Henri Konan Bédié. Vous le ferez concrètement en votant et en votant bien. C'est à ce niveau que le problème peut se poser. Il faut bien voter, ai-je dit. Des bulletins peuvent être déclarés nuls, donc sans valeur, s'ils sont mal remplis, s'ils sont sales ou si l'empreinte digitale déborde ou que la croix tracée dans la case réservée à cette fin déborde également.
C'est la raison pour laquelle, je demande instamment aux responsables politiques à tous les niveaux d'utiliser les quelques jours qui restent pour apprendre à voter à ceux des militants qui ne savent pas.
Si vous votez tous, conformément à ce que votre mobilisation de ce jour indique, alors, je reste convaincu qu'au soir du 31 octobre, nous nous retrouverons au palais présidentiel.
Je compte sur vous.
Je vous remercie pour votre accueil et à bientôt, le 31 octobre 2010, pour célébrer , ensemble la belle victoire que nous aurons gagnée.
Vive le PDCI-RDA
Vive Divo,
Vive la Côte d'Ivoire,
Henri Konan Bédié
Mesdames et Messieurs les élus du PDCI-RDA
Honorables membres des instances du PDCI-RDA,
Vénérables Chefs traditionnels et coutumiers,
Messieurs les Représentants des Cultes,
Vaillants Secrétaires généraux des sections du PDCI-RDA,
Intrépides Présidents des Comités de base du PDCI-RDA,
Madame la Présidente de l'Union des Femmes du PDCI-RDA, Coordination de Divo,
Monsieur le Président de la Jeunesse du PDCI-RDA, Coordination de Divo,
Mes chers frères et sœurs de Divo,
Il y a quelques jours, en me rendant dans le Moyen-Cavally, j'ai effectué un arrêt ici à Divo et je garde encore un souvenir vivace de l'accueil particulièrement chaleureux qui a été réservé alors, à mon épouse et à la délégation qui m'accompagnait.
C'est donc avec un plaisir renouvelé que je me retrouve ce matin chez vous et je voudrais avant toute chose vous féliciter pour la forte mobilisation de ce jour.
Je veux saluer et remercier les organisateurs de cette rencontre en ce premier jour de la semaine que vous consacrez ainsi au Parti Démocratique de Côte d'Ivoire, votre parti de toujours, le PDCI-RDA.
Merci à tous d'être là, à l'appel de vos responsables politiques, en ces derniers jours de campagne électorale.
Vous savez tous pour quelle raison je viens à vous ce matin. C'est pour vous redire, à vous, population de Divo, en particulier, que je suis candidat à l'élection présidentielle dont le premier tour est prévu le 31 octobre 2010.
De nombreuses personnes, des esprits chagrins sans doute, se demandent pour quelle raison, je me suis engagé dans une telle aventure, puisque pour elles, je suis homme du passé.
Il faut leur dire que j'ai été désigné démocratiquement par le PDCI-RDA, à la suite du Congrès de 2002 et également suite d'abord à des conventions éclatées et enfin, à une convention nationale d'investiture.
Mais en dehors de cette obligation qui m'est faite par mon parti, je ne pouvais pas, rester insensible à l'état de dégradation avancé de notre pays à la suite de la gestion scandaleuse qu'en ont fait les refondateurs depuis dix ans. En effet, après avoir acquis tant d'expérience dans ma vie publique, occupé des postes de responsabilités, chef de service administratif à ce qui est aujourd'hui la Caisse nationale de Prévoyance sociale, d'Ambassadeur auprès des Etats Unis d'Amérique, de ministre de l'économie et des Finances, de maire de Daoukro, de Député de Daoukro, de Président de l'Assemblée nationale pendant treize ans et enfin, président de la République, je ne pouvais pas me permettre une indifférence coupable, en acceptant d'aller m'installer dans une retraite dorée , alors que ce pays que j'ai aidé à bâtir, est en train de plonger dans une véritable abysse.
J'ai donc décidé de me mettre au service de mon pays pour apporter le fruit de mon expérience aux plus jeunes et aux plus démunis de notre société, les femmes et les jeunes.
Chacun d'entre nous connaît la situation du pays. Dire que rien ne va est une vérité de la Palisse. Et ceci, à tous les niveaux. Au niveau politique, depuis cinq ans, nous sommes gouvernés par un Chef d'Etat, maintenu au pouvoir par des arrangements politiques et par la communauté internationale.
Dépourvu de toute honte, il se prétend pourtant démocrate, alors que depuis 2005 des élections n'ont pu, à six reprises déjà, être organisées. Chaque fois, sous de faux prétextes, les élections étaient reportées-
Militantes et Militants de Divo, beaucoup parmi vous ont poussé un ouf de soulagement lorsque l'élection prévue enfin pour le 31 octobre 2010 a été annoncée. Savez-vous pourquoi cette décision a enfin été prise ? C'est tout simplement parce qu'il avait mis sur pied un système informatique ingénieux, pour pomper, voler les résultats des autres candidats afin de se faire déclarer vainqueur dès le premier tour. Tricheur, paresseux, en plus de tous les assassinats qui lui pendent au nez, voilà le chef de refondateurs dans toute sa laideur qui veut donner des leçons au monde entier.
Il ne peut simplement être pris au sérieux. Son diplôme de démocrate, si une telle chose a jamais existé, lui a été décerné pendant la campagne, à Bouaflé, par un de ses sponsors socialistes français, amateur de la Rue Princesse. Quelle honte, quand on sait que le refondateur prétend que je serais, moi, Henri Konan Bédié, candidat de l'étranger ! Il est vrai que le manque de culture est souvent une grosse tare dont il faut ne pas tenir compte!
Pendant ce temps, le peuple martyr de Côte d'Ivoire meurt de faim. Il suffit, à cet effet, de l'écouter, ce peuple. C'est bien exprès, puisque les media embastillés ferment les yeux, j'ai donné mes cinq minutes de temps de parole de campagne au peuple de Côte d'Ivoire dans ce qu'il conviendra désormais d'appeler *Trop , c'est trop*.
Je suis donc candidat et l'élection qui s'annonce, car elle va donner, enfin, l'occasion de se débarrasser de ces apprentis sorciers , de ces dictateurs et la possibilité de choisir des responsables légitimes, qui seront véritablement issus et choisis par le peuple.
Je suis candidat à cette élection et vous avez la possibilité de changer la face de la Côte d'Ivoire en votant pour moi.
Oui, je sais que vous voterez pour moi, parce que j'incarne l'expérience et la compétence. Je vous l'ai indiqué plus haut, je suis le plus expérimenté de tous ceux qui aspirent occuper ce poste.
En participant si nombreux à ce rassemblement, vous me rassurez sur le fait que vous ne sauriez lâcher la proie pour l'ombre. La sauce socialiste n'a pas pris et on ne gouverne pas un pays au mépris des règles et des lois de ce pays.
Avez-vous noté qu'alors qu'il est président sortant, Laurent Gbagbo qui a eu à gérer des budgets colossaux sans pouvoir rien faire pour vous, ici, et ailleurs du reste, continue à faire des promesses. Les socialistes et les socialistes africains, en particulier, sont des maîtres patentés de ce genre de langages, mais chacun sait qu'il s'agit de promesses qui ne seront jamais tenues.
Vous, militantes et militants de Divo, vous peuple de Divo, aidez- moi à changer la face de la Côte d'Ivoire, dès le 31 octobre 2010, en votant pour le candidat du parti le plus national et le plus ancien de Côte d'Ivoire, le candidat du PDCI-RDA, Aimé Henri Konan Bédié. Vous le ferez concrètement en votant et en votant bien. C'est à ce niveau que le problème peut se poser. Il faut bien voter, ai-je dit. Des bulletins peuvent être déclarés nuls, donc sans valeur, s'ils sont mal remplis, s'ils sont sales ou si l'empreinte digitale déborde ou que la croix tracée dans la case réservée à cette fin déborde également.
C'est la raison pour laquelle, je demande instamment aux responsables politiques à tous les niveaux d'utiliser les quelques jours qui restent pour apprendre à voter à ceux des militants qui ne savent pas.
Si vous votez tous, conformément à ce que votre mobilisation de ce jour indique, alors, je reste convaincu qu'au soir du 31 octobre, nous nous retrouverons au palais présidentiel.
Je compte sur vous.
Je vous remercie pour votre accueil et à bientôt, le 31 octobre 2010, pour célébrer , ensemble la belle victoire que nous aurons gagnée.
Vive le PDCI-RDA
Vive Divo,
Vive la Côte d'Ivoire,
Henri Konan Bédié