La Société Internationale pour l’Expertise et la Gestion Immobilière en Côte d’Ivoire (Siegim) estime que c’est l’absence d’eau qui bloque les ascenseurs à Postel 2001.
Les employés de Postel 2001 crient leur ras-le-bol devant les coupures d’eau et les pannes incessantes d’ascenseurs depuis plusieurs mois. Ils estiment que ces pannes peuvent durer souvent toute une semaine. Pour un immeuble de 26 étages, il faut être plus que courageux pour oser affronter les marches. Accusée de laxisme dans cette situation, la Société Internationale pour l’Expertise et la Gestion Immobilière en Côte d’Ivoire (Siegim) a tenu à s’expliquer. N’Guessan Kakou Jérôme, directeur général de la structure qui gère l’immeuble, situé au Plateau, pense que les ascenseurs sont très souvent bloqués pour d’autres problèmes. «C’étaient des ascenseurs mécaniques que nous avons remplacés par des ascenseurs électroniques. Les plaques électroniques qui alimentent l’appareil ont fréquemment besoin de climatisation pour bien fonctionner. Or, ces climatisations fonctionnent avec de l’eau, grâce aux motopompes qui servent l’immeuble de 26 étages. Dès l’instant que l’eau ne monte pas, la climatisation ne fonctionne plus. Nous sommes donc obligés de réduire le trafic des ascenseurs. Quand le problème persiste, nous arrêtons tous les ascenseurs », explique le premier responsable de la Siegim. L’arrêt de ces machines n’est donc pas dû à leur panne, mais répond à un souci de ne pas les endommager en les faisant fonctionner sans climatisation. Une fois, selon N’Guessan Kacou, le système de climatisation a été frappé par la foudre. Il reconnaît, cependant, que le problème est fréquent, mais, rassure les employés de Postel 200l que tout est sous contrôle. « Nous avons l’habitude d’afficher des notes lorsque des problèmes de ce type surviennent. La Siégim est le leader de la gestion des immeubles à grande hauteur en Côte d’Ivoire », ajoute-t-il. L’immeuble regroupe quatre ministères. Il s’agit du ministère du Tourisme et de l’artisanat, des Infrastructures économiques, des Nouvelles technologies de l’information et de la communication, et du Transport.
Raphaël Tanoh
Les employés de Postel 2001 crient leur ras-le-bol devant les coupures d’eau et les pannes incessantes d’ascenseurs depuis plusieurs mois. Ils estiment que ces pannes peuvent durer souvent toute une semaine. Pour un immeuble de 26 étages, il faut être plus que courageux pour oser affronter les marches. Accusée de laxisme dans cette situation, la Société Internationale pour l’Expertise et la Gestion Immobilière en Côte d’Ivoire (Siegim) a tenu à s’expliquer. N’Guessan Kakou Jérôme, directeur général de la structure qui gère l’immeuble, situé au Plateau, pense que les ascenseurs sont très souvent bloqués pour d’autres problèmes. «C’étaient des ascenseurs mécaniques que nous avons remplacés par des ascenseurs électroniques. Les plaques électroniques qui alimentent l’appareil ont fréquemment besoin de climatisation pour bien fonctionner. Or, ces climatisations fonctionnent avec de l’eau, grâce aux motopompes qui servent l’immeuble de 26 étages. Dès l’instant que l’eau ne monte pas, la climatisation ne fonctionne plus. Nous sommes donc obligés de réduire le trafic des ascenseurs. Quand le problème persiste, nous arrêtons tous les ascenseurs », explique le premier responsable de la Siegim. L’arrêt de ces machines n’est donc pas dû à leur panne, mais répond à un souci de ne pas les endommager en les faisant fonctionner sans climatisation. Une fois, selon N’Guessan Kacou, le système de climatisation a été frappé par la foudre. Il reconnaît, cependant, que le problème est fréquent, mais, rassure les employés de Postel 200l que tout est sous contrôle. « Nous avons l’habitude d’afficher des notes lorsque des problèmes de ce type surviennent. La Siégim est le leader de la gestion des immeubles à grande hauteur en Côte d’Ivoire », ajoute-t-il. L’immeuble regroupe quatre ministères. Il s’agit du ministère du Tourisme et de l’artisanat, des Infrastructures économiques, des Nouvelles technologies de l’information et de la communication, et du Transport.
Raphaël Tanoh