Pendant son périple dans l’Ouest montagneux et le Bafing, le Premier ministre Charles Konan Banny, a animé respectivement des meetings à Guintéguéla, Touba et à Yamoussoukro. Dans ces localités, le directeur régional de campagne du candidat Bédié dans l’Ouest montagneux et le Bafing a redonné espoir aux populations après leur avoir livré le message du candidat Bédié.
Le vendredi 22 octobre dernier, à Guintéguéla, localité située à 46 km de Touba, l’arrivée de Charles Konan Banny s’est transformée en une véritable fête populaire. Plusieurs danses et masques se sont déportés sur la grande place de la gare routière pour célébrer le fils prodige de Yamoussoukro. Escorté depuis l’entrée de la ville par une quarantaine de motos, l’émissaire du candidat Bédié est apparu au lieu du meeting en compagnie du bouillant Maire, Bamba Vafoungbê, sous les ovations de la population visiblement soucieuse de sortir de la situation de misère qu’elle subit depuis dix ans. A Touba, malgré les intempéries, la population s’est déplacée massivement au foyer des jeunes. Des Imams et des fidèles musulmans ont même reporté leurs prières à la mosquée pour se rendre au lieu du meeting. La forte tempête qui renversait des bâches n’a pas empêché Charles Konan Banny de s’exprimer devant la population. A la fin du meeting qui a duré moins d’une heure, la population s’est déportée à la résidence du gouverneur Fadiga, où le Premier ministre Charles Konan Banny a établi son Quartier Général. Là encore, le lieutenant de Bédié a échangé avec toutes les structures du Pdci-Rda de Touba. Dès son arrivée à Yamousoukro, le dimanche 24 octobre, il s’est rendu à la maison jaune où l’attendaient plus de six mille (6000) personnes. A ses côtés, étaient présents ses frères, à savoir le Général François Konan Banny et le ministre Jean Konan Banny. Tous étaient au four et au moulin pour la victoire du Pdci Rda avec son candidat Aimé Henri Konan Bédié. A cette occasion, le vice-gouverneur, Ettien Koffi Octave, a démontré son attachement au Pdci-Rda, contrairement à ce qui se racontait dans la capitale politique. Dans ces trois localités, le Premier ministre Charles Konan Banny a expliqué à la population, comment le pouvoir de Koudou Laurent Gbagbo a plongé les Ivoiriens dans la tristesse et la désolation. Ensuite, il a donné la solution pour sortir la Côte d’Ivoire de cette situation qui fait d’elle le dernier pays de la sous-région.. « Nos frères du Fpi ne savent pas construire, mais ils savent critiquer. Faisons en sorte qu’ils retournent là où ils sont excellents, c'est-à-dire, dans l’opposition’’, a-t-il dit. Poursuivant, il a lancé ceci à la population de Yamoussoukro : " Si l’Ouest montagneux et le Bafing ont décidé de voter pour Bédié, je ne sais pas pourquoi Yamoussoukro ne votera pas pour lui’’. Et d’ajouter que ‘’ ou bien, nous gagnons un coup KO ou personne ne doit passer devant Bédié à Yamoussoukro’’. Pour sortir la Côte d’Ivoire de cette situation calamiteuse, tous les Ivoiriens doivent se rassembler autour du candidat Bédié, a conclu Charles Konan Banny. Il faut noter que partout où il est passé, les populations se sont senties libérées après le message de paix, d’union, de réconciliation et de construction qu’il a livré.
Etienne Atta
( Envoyé spécial)
Le vendredi 22 octobre dernier, à Guintéguéla, localité située à 46 km de Touba, l’arrivée de Charles Konan Banny s’est transformée en une véritable fête populaire. Plusieurs danses et masques se sont déportés sur la grande place de la gare routière pour célébrer le fils prodige de Yamoussoukro. Escorté depuis l’entrée de la ville par une quarantaine de motos, l’émissaire du candidat Bédié est apparu au lieu du meeting en compagnie du bouillant Maire, Bamba Vafoungbê, sous les ovations de la population visiblement soucieuse de sortir de la situation de misère qu’elle subit depuis dix ans. A Touba, malgré les intempéries, la population s’est déplacée massivement au foyer des jeunes. Des Imams et des fidèles musulmans ont même reporté leurs prières à la mosquée pour se rendre au lieu du meeting. La forte tempête qui renversait des bâches n’a pas empêché Charles Konan Banny de s’exprimer devant la population. A la fin du meeting qui a duré moins d’une heure, la population s’est déportée à la résidence du gouverneur Fadiga, où le Premier ministre Charles Konan Banny a établi son Quartier Général. Là encore, le lieutenant de Bédié a échangé avec toutes les structures du Pdci-Rda de Touba. Dès son arrivée à Yamousoukro, le dimanche 24 octobre, il s’est rendu à la maison jaune où l’attendaient plus de six mille (6000) personnes. A ses côtés, étaient présents ses frères, à savoir le Général François Konan Banny et le ministre Jean Konan Banny. Tous étaient au four et au moulin pour la victoire du Pdci Rda avec son candidat Aimé Henri Konan Bédié. A cette occasion, le vice-gouverneur, Ettien Koffi Octave, a démontré son attachement au Pdci-Rda, contrairement à ce qui se racontait dans la capitale politique. Dans ces trois localités, le Premier ministre Charles Konan Banny a expliqué à la population, comment le pouvoir de Koudou Laurent Gbagbo a plongé les Ivoiriens dans la tristesse et la désolation. Ensuite, il a donné la solution pour sortir la Côte d’Ivoire de cette situation qui fait d’elle le dernier pays de la sous-région.. « Nos frères du Fpi ne savent pas construire, mais ils savent critiquer. Faisons en sorte qu’ils retournent là où ils sont excellents, c'est-à-dire, dans l’opposition’’, a-t-il dit. Poursuivant, il a lancé ceci à la population de Yamoussoukro : " Si l’Ouest montagneux et le Bafing ont décidé de voter pour Bédié, je ne sais pas pourquoi Yamoussoukro ne votera pas pour lui’’. Et d’ajouter que ‘’ ou bien, nous gagnons un coup KO ou personne ne doit passer devant Bédié à Yamoussoukro’’. Pour sortir la Côte d’Ivoire de cette situation calamiteuse, tous les Ivoiriens doivent se rassembler autour du candidat Bédié, a conclu Charles Konan Banny. Il faut noter que partout où il est passé, les populations se sont senties libérées après le message de paix, d’union, de réconciliation et de construction qu’il a livré.
Etienne Atta
( Envoyé spécial)