Après avoir communié avec le peuple du sanwi à Aboisso, Laurent Gbagbo, le candidat de la majorité présidentielle à l’élection du 31 octobre prochain, s’est retrouvé dans la même journée du mardi 26 octobre avec le peuple N’zima et les autres communautés de Bassam.
Depuis le stade de la première capitale de la Côte d’Ivoire, « l’homme de la situation » a dressé le portrait robot du futur Président du pays. Ce doit être quelqu’un qui a le sens de la responsabilité et de la mesure. Il doit savoir ce que défendre son peuple veut dire. Deux exemples pour illustrer cela .Premièrement : Lorsque la candidature d’Alassane Dramane Ouattara n’a pas été retenue pour la présidentielle, en colère, des gens à Kong ont fait descendre le drapeau de la Côte d’Ivoire pour hisser celui du Burkina Faso. Les hauts gradés de l’armée ivoirienne ont décidé de faire une descente sur cette région pour rétablir la normalité. Gbagbo a plutôt choisi de laisser cette crise s’estomper d’elle-même. Cela n’a pas manqué.
Deuxièmement : Quand, étant en visite d’Etat en Italie, son pays a été attaqué, Gbagbo est rentré immédiatement pour être aux côté du peuple et combattre l’adversaire au multiple visages.IL a résisté. Et avec lui, le peuple. Alors que, avant lui, l’un des candidats à l’élection présidentielle prochaine, a lui, pris la poudre d’escampette. Abandonnant son peuple aux mains des « jeunes gens ».On connait la suite.
Si, en Côte d’Ivoire, tout le monde a le droit d’être candidat à l’élection présidentielle, n’empêche que n’importe qui ne saurait devenir président de la République.
En effet, le peuple, dépositaire du pouvoir de faire roi le citoyen l’lambda, a les yeux rivés sur un certain nombre de valeurs, de repères. En l’occurrence, le courage. Il posera sans aucun doute cette question, aux autres candidats qui sollicitent son suffrage en cette période de campagne électorale : « Quand le pays était agressé, tu étais où » ? « Tu as fait quoi » ? Les électeurs qui n’ont pas la mémoire courte, sanctionneront à l’évidence, ceux des candidats qui, toute honte bue, ont appelé à la mise sous tutelle par l’Onu de leur pays. Ils mettront à la retraite…politique, ces « héritiers d’Houphouët »qui n’ont rien bâti. Aucun bâtiment public ne porte leur marque. Ils se contentent, faute d’arguments et d’imagination, à copier servilement le programme de gouvernement et le projet de société que le Président Gbagbo a pris le temps, de coucher sur papier depuis 1990 :L’assurance Maladie Universelle, l’Ecole gratuite, la création de dix régions, voir la décentralisation etc. A Basam le verdict du peuple est tombé :On préfère « l’original à la photocopie » de ceux qui ne savent que revendiquer une chose : L’héritage d’Houphouët Boigny. Un « père » qu’ils ont pourtant renié, incapables qu’ils ont été, de tenir, de balayer la maison de ce dernier. Abandonnant plutôt Yamoussoukro, la capitale politique, dans la broussaille.
Comment peut-on oser après, venir ou prétendre gouverner un pays qu’on a déjà vendu, qu’on a tenté de mettre sous tutelle, s’est écrié Gbagbo. Et comment, se faisant, ces « faux héritiers peuvent-ils croire après le retour de la paix, que les Ivoiriens vont accepter ça » ? Gbagbo conseille aux électeurs de poser un simple acte le 31 octobre prochain : «permettre aux faux héritiers d’aller à la retraite », parce qu’ils ont tout gâté. Tandis que lui Gbagbo est en train d’ « arranger ce qu’ils ont dérangé ».Les Ivoiriens devront choisir le candidat du LMP qui a trouvé un remède au chômage des jeunes : La création de banques pour l’emploi. Les femmes ne sont pas oubliées. Puisque ces banques les aideront à financer leurs « affaires ».
El Hadj Sylla Ousmane, porte-parole des populations de Bassam, transfuge d’un parti de l’opposition Ivoirienne, a vite compris que l’avenir de la Côte d’Ivoire se joue avec Gbagbo, l’homme qui selon lui, incarne au mieux les valeurs de paix, de pardon, d’unité nationale, de solidarité…Candidat qu’il qualifie d’ « homme du concret », de bâtisseur, de généreux, d’humaniste.
Depuis le stade de la première capitale de la Côte d’Ivoire, « l’homme de la situation » a dressé le portrait robot du futur Président du pays. Ce doit être quelqu’un qui a le sens de la responsabilité et de la mesure. Il doit savoir ce que défendre son peuple veut dire. Deux exemples pour illustrer cela .Premièrement : Lorsque la candidature d’Alassane Dramane Ouattara n’a pas été retenue pour la présidentielle, en colère, des gens à Kong ont fait descendre le drapeau de la Côte d’Ivoire pour hisser celui du Burkina Faso. Les hauts gradés de l’armée ivoirienne ont décidé de faire une descente sur cette région pour rétablir la normalité. Gbagbo a plutôt choisi de laisser cette crise s’estomper d’elle-même. Cela n’a pas manqué.
Deuxièmement : Quand, étant en visite d’Etat en Italie, son pays a été attaqué, Gbagbo est rentré immédiatement pour être aux côté du peuple et combattre l’adversaire au multiple visages.IL a résisté. Et avec lui, le peuple. Alors que, avant lui, l’un des candidats à l’élection présidentielle prochaine, a lui, pris la poudre d’escampette. Abandonnant son peuple aux mains des « jeunes gens ».On connait la suite.
Si, en Côte d’Ivoire, tout le monde a le droit d’être candidat à l’élection présidentielle, n’empêche que n’importe qui ne saurait devenir président de la République.
En effet, le peuple, dépositaire du pouvoir de faire roi le citoyen l’lambda, a les yeux rivés sur un certain nombre de valeurs, de repères. En l’occurrence, le courage. Il posera sans aucun doute cette question, aux autres candidats qui sollicitent son suffrage en cette période de campagne électorale : « Quand le pays était agressé, tu étais où » ? « Tu as fait quoi » ? Les électeurs qui n’ont pas la mémoire courte, sanctionneront à l’évidence, ceux des candidats qui, toute honte bue, ont appelé à la mise sous tutelle par l’Onu de leur pays. Ils mettront à la retraite…politique, ces « héritiers d’Houphouët »qui n’ont rien bâti. Aucun bâtiment public ne porte leur marque. Ils se contentent, faute d’arguments et d’imagination, à copier servilement le programme de gouvernement et le projet de société que le Président Gbagbo a pris le temps, de coucher sur papier depuis 1990 :L’assurance Maladie Universelle, l’Ecole gratuite, la création de dix régions, voir la décentralisation etc. A Basam le verdict du peuple est tombé :On préfère « l’original à la photocopie » de ceux qui ne savent que revendiquer une chose : L’héritage d’Houphouët Boigny. Un « père » qu’ils ont pourtant renié, incapables qu’ils ont été, de tenir, de balayer la maison de ce dernier. Abandonnant plutôt Yamoussoukro, la capitale politique, dans la broussaille.
Comment peut-on oser après, venir ou prétendre gouverner un pays qu’on a déjà vendu, qu’on a tenté de mettre sous tutelle, s’est écrié Gbagbo. Et comment, se faisant, ces « faux héritiers peuvent-ils croire après le retour de la paix, que les Ivoiriens vont accepter ça » ? Gbagbo conseille aux électeurs de poser un simple acte le 31 octobre prochain : «permettre aux faux héritiers d’aller à la retraite », parce qu’ils ont tout gâté. Tandis que lui Gbagbo est en train d’ « arranger ce qu’ils ont dérangé ».Les Ivoiriens devront choisir le candidat du LMP qui a trouvé un remède au chômage des jeunes : La création de banques pour l’emploi. Les femmes ne sont pas oubliées. Puisque ces banques les aideront à financer leurs « affaires ».
El Hadj Sylla Ousmane, porte-parole des populations de Bassam, transfuge d’un parti de l’opposition Ivoirienne, a vite compris que l’avenir de la Côte d’Ivoire se joue avec Gbagbo, l’homme qui selon lui, incarne au mieux les valeurs de paix, de pardon, d’unité nationale, de solidarité…Candidat qu’il qualifie d’ « homme du concret », de bâtisseur, de généreux, d’humaniste.