Pour recevoir « Le Fils du pays », le peuple Leboutou est sorti par milliers au stade de Dabou ce mercredi 27 octobre. Pour entendre le discours de la vérité, de l’espoir et de l’espérance pour une Côte d’Ivoire régénérée et souveraine. Avant d’aborder la grand-messe du Stade Houphouët-Boigny qui doit mettre un terme à sa campagne électorale, le candidat de la majorité présidentielle Laurent Gbagbo a donné un avant-goût de ce que sera ce meeting de clôture. « Il faut faire barrage aux masques de l’étranger »
Dabou, ville symbole. Terre de feu Harris Memel Fôté, compagnon de lutte de Laurent Gbagbo dont la veuve a tenu à être présente. Dabou, ville berceau de la démocratisation de la Côte d’Ivoire. Laurent Gbagbo ému de la mobilisation, de l’intérêt constant et total du peuple Leboutou. Car c’est là que la campagne du candidat Gbagbo avait commencée en 2000 et c’est là qu’elle finit aujourd’hui en 2010.
Devant des milliers de supporters acquis à sa cause, le Fils du pays comme l’appellent affectueusement le peuple Leboutou a présenté une partie de son vaste programme de reconstruction d’une Côte d’Ivoire moderne aux frontières du développement. « Le jour de vérité c’est le 31 octobre. A partir du 31 octobre, l’occasion est offerte à toute la jeunesse de prendre son destin en main. Votez-moi le 31 octobre et je vous donne de l’emploi ». Selon Laurent Gbagbo, le candidat de la majorité présidentielle, il faut que les populations de Côte d’Ivoire ne se trompent pas de candidat lors du scrutin présidentiel prochain.
« Ne vous laissez pas séduire par ceux qui prétendent gérer l’héritage d’Houphouët-Boigny. Quand ils étaient aux affaires, ils n’ont rien fait pour mériter le titre d’héritiers. Pire, ils ont abandonné la ville d’Houphouët. C’est moi qui suis en train de construire Yamoussoukro. Le seul vrai héritage étant le travail, Le président sortant entend en donner aux jeunes ivoiriens par l’industrialisation de l’agriculture ivoirienne et la création d’une banque de l’emploi qui financera les projets des femmes, des jeunes et des vieux.
« Il ya certains candidats qui sont en train de recopier. Choisissez l’original et non les photocopies. » En effet, on se rend à l’évidence que la plupart des promesses de campagne de l’opposition, sont des copies souvent mal décalquées de son livre-programme.
Pour le candidat-président : « Le travail de restauration du pays que nous avons entrepris continue. Il faut faire barrage aux masques de l’étranger. Ceux qui portent des visages d’Ivoiriens mais qui sont dirigés par les mains de l’étranger. Ceux-là même qui voulait qu’on mette la Côte d’Ivoire sous embargo. Ceux qui ont voulu qu’on dissolve l’Assemblée nationale de la Côte d’Ivoire. Ça, je ne peux pas l’accepter. Je ne peux pas accepter que ceux-là deviennent présidents. C’est pourquoi je sollicite vos suffrages » A la fin de son discours, le candidat de la majorité présidentielle a invité tout Dabou à se rendre au Stade Houphouët-Boigny le 29 octobre pour le grand final.
Dabou, ville symbole. Terre de feu Harris Memel Fôté, compagnon de lutte de Laurent Gbagbo dont la veuve a tenu à être présente. Dabou, ville berceau de la démocratisation de la Côte d’Ivoire. Laurent Gbagbo ému de la mobilisation, de l’intérêt constant et total du peuple Leboutou. Car c’est là que la campagne du candidat Gbagbo avait commencée en 2000 et c’est là qu’elle finit aujourd’hui en 2010.
Devant des milliers de supporters acquis à sa cause, le Fils du pays comme l’appellent affectueusement le peuple Leboutou a présenté une partie de son vaste programme de reconstruction d’une Côte d’Ivoire moderne aux frontières du développement. « Le jour de vérité c’est le 31 octobre. A partir du 31 octobre, l’occasion est offerte à toute la jeunesse de prendre son destin en main. Votez-moi le 31 octobre et je vous donne de l’emploi ». Selon Laurent Gbagbo, le candidat de la majorité présidentielle, il faut que les populations de Côte d’Ivoire ne se trompent pas de candidat lors du scrutin présidentiel prochain.
« Ne vous laissez pas séduire par ceux qui prétendent gérer l’héritage d’Houphouët-Boigny. Quand ils étaient aux affaires, ils n’ont rien fait pour mériter le titre d’héritiers. Pire, ils ont abandonné la ville d’Houphouët. C’est moi qui suis en train de construire Yamoussoukro. Le seul vrai héritage étant le travail, Le président sortant entend en donner aux jeunes ivoiriens par l’industrialisation de l’agriculture ivoirienne et la création d’une banque de l’emploi qui financera les projets des femmes, des jeunes et des vieux.
« Il ya certains candidats qui sont en train de recopier. Choisissez l’original et non les photocopies. » En effet, on se rend à l’évidence que la plupart des promesses de campagne de l’opposition, sont des copies souvent mal décalquées de son livre-programme.
Pour le candidat-président : « Le travail de restauration du pays que nous avons entrepris continue. Il faut faire barrage aux masques de l’étranger. Ceux qui portent des visages d’Ivoiriens mais qui sont dirigés par les mains de l’étranger. Ceux-là même qui voulait qu’on mette la Côte d’Ivoire sous embargo. Ceux qui ont voulu qu’on dissolve l’Assemblée nationale de la Côte d’Ivoire. Ça, je ne peux pas l’accepter. Je ne peux pas accepter que ceux-là deviennent présidents. C’est pourquoi je sollicite vos suffrages » A la fin de son discours, le candidat de la majorité présidentielle a invité tout Dabou à se rendre au Stade Houphouët-Boigny le 29 octobre pour le grand final.
