Que propose le Pdci contre le piratage des œuvres artistiques?
La piraterie est une forme de fraude. Nous ferons une sensibilisation tout en mettant en place une police visible contre ce fléau avec des actions palpables et concrètes sur le terrain. Nous proposons aussi la création d’une parafiscalité sur tout ce qui est matériel numérique. A savoir, tout appareil électronique et supports capables de contenir de la musique. Cette parafiscalité va servir à la création d’un fonds qui permettra de faire la promotion culturelle.
Déjà, les responsables du Burida parlent de la taxe sur la copie privée. Qu’est-ce qui sera original dans votre démarche ?
On ne peut pas parler de mesure originale au Pdci-Rda. Au temps du président Bédié, le Fonds d’aide à la production et à la promotion culturelle (Fappc) a existé. Ce n’est pas une découverte pour nous. Ce fonds a cessé de fonctionner lorsque nous avons quitté le pouvoir. Nous allons amplifier notre lutte contre la piraterie en mettant en place cette parafiscalité. Comme nous en avons l’habitude, nous allons créer un fonds à partir de cet impôt. Nous allons aussi mettre en place une police spéciale qui aura du matériel, des bureaux.
Il existe déjà une brigade culturelle…
Cette brigade n’est pas formée pour cela. La brigade répond à un besoin et une situation temporaire. Je parle d’une police spéciale à l’image de la police criminelle. Où les agents sont formés à la lutte contre la fraude. Sinon, une brigade est constituée de quelques éléments qu’on a mis dans un bureau, à qui on a dit qu’à partir de l’instant, ils doivent suivre Serge Kassy pour aller traquer les gens dans les marchés.
Entretien réalisé par S.A.
La piraterie est une forme de fraude. Nous ferons une sensibilisation tout en mettant en place une police visible contre ce fléau avec des actions palpables et concrètes sur le terrain. Nous proposons aussi la création d’une parafiscalité sur tout ce qui est matériel numérique. A savoir, tout appareil électronique et supports capables de contenir de la musique. Cette parafiscalité va servir à la création d’un fonds qui permettra de faire la promotion culturelle.
Déjà, les responsables du Burida parlent de la taxe sur la copie privée. Qu’est-ce qui sera original dans votre démarche ?
On ne peut pas parler de mesure originale au Pdci-Rda. Au temps du président Bédié, le Fonds d’aide à la production et à la promotion culturelle (Fappc) a existé. Ce n’est pas une découverte pour nous. Ce fonds a cessé de fonctionner lorsque nous avons quitté le pouvoir. Nous allons amplifier notre lutte contre la piraterie en mettant en place cette parafiscalité. Comme nous en avons l’habitude, nous allons créer un fonds à partir de cet impôt. Nous allons aussi mettre en place une police spéciale qui aura du matériel, des bureaux.
Il existe déjà une brigade culturelle…
Cette brigade n’est pas formée pour cela. La brigade répond à un besoin et une situation temporaire. Je parle d’une police spéciale à l’image de la police criminelle. Où les agents sont formés à la lutte contre la fraude. Sinon, une brigade est constituée de quelques éléments qu’on a mis dans un bureau, à qui on a dit qu’à partir de l’instant, ils doivent suivre Serge Kassy pour aller traquer les gens dans les marchés.
Entretien réalisé par S.A.
