La visite de Ouattara à Dakar cache bien des choses. Il y a en sous main, une affaire de gros sous qui viennent des caisses de la Bceao.
Au secours la Côte d’Ivoire est en danger. Elle est menacée par un braqueur. C’est ce qu’on pourrait dire, vu l’attitude de Ouattara qui veut par tous les moyens, diriger la Côte d’Ivoire. Et avec lui, tous les moyens sont bons. Même les plus sordides. Le plus important est que ça lui ouvre les portes du pouvoir. N’est-ce pas lui qui en tant que Premier ministre disait que «l’argent n’a pas d’odeur». Un mauvais exemple. Surtout quand ça vient d’un Premier ministre qui doit en principe, véhiculer certaines valeurs. Malheureusement, avec Ouattara les principes moraux s’arrêtent aux portes du pouvoir. C’est pourquoi pour le pouvoir, il a organisé une sanglante et sordide rébellion qui a endeuillé toute la Côte d’Ivoire. C’est encore au nom de cette folie du pouvoir, qu’il a enjoint ses guerriers de Bouaké à opérer une action de grand banditisme dans les zones Fn. En organisant un casse dans les agences Bceao de Korhogo, Bouaké et Man. Combien ont-ils pris dans les caisses de cette banque ? Seule la direction de cette banque peut dire le coût de ce préjudice. Mais on parle de plusieurs milliards de Fcfa. Après les casses, le butin a été partagé. Et chacun à son niveau a eu sa part. Ouattara en premier lieu. L’argent volé à la Bceao en poche, Ouattara ne se pose pas de question. Puis, va le déposer dans une banque dakaroise avec la bénédiction du Président sénégalais Abdoulaye Wade. Tout ce pactole est mis au frais en cas de cas. Il se dit qu’un jour, il sera candidat à une élection présidentielle. Ça pourrait lui servir de trésor de guerre. Par la magie de l’article 48, il est candidat. Après le premier tour, Alassane qui est dans un deal avec Wade, sait donc qu’il dispose d’un fonds important dans la capitale sénégalaise. Un coup de fil et le chantre du « Sopie » lui envoie son avion personnel. Pour maquiller cette affaire, Ouattara se fait accompagner par des cadres du Pdci. Juste pour tromper l’opinion. En faisant croire à une sollicitation du Président sénégalais pour convaincre Bédié à rallier sa cause. En tout cas, le Président sénégalais confirme ainsi toutes les accusations que la presse sénégalaise avait portées contre lui dans cette affaire de braquage des agences de la Bceao dans les zones Fn. On se rappelle bien que des confrères dakarois l’avaient ouvertement accusé d’être de connivence avec la rébellion dans les casses des agences de la Bceao. A cause de ses accointances sulfureuses avec les chefs de file des rebelles-braqueurs.
Guéhi Brence
gb08301660@yahoo.f
Au secours la Côte d’Ivoire est en danger. Elle est menacée par un braqueur. C’est ce qu’on pourrait dire, vu l’attitude de Ouattara qui veut par tous les moyens, diriger la Côte d’Ivoire. Et avec lui, tous les moyens sont bons. Même les plus sordides. Le plus important est que ça lui ouvre les portes du pouvoir. N’est-ce pas lui qui en tant que Premier ministre disait que «l’argent n’a pas d’odeur». Un mauvais exemple. Surtout quand ça vient d’un Premier ministre qui doit en principe, véhiculer certaines valeurs. Malheureusement, avec Ouattara les principes moraux s’arrêtent aux portes du pouvoir. C’est pourquoi pour le pouvoir, il a organisé une sanglante et sordide rébellion qui a endeuillé toute la Côte d’Ivoire. C’est encore au nom de cette folie du pouvoir, qu’il a enjoint ses guerriers de Bouaké à opérer une action de grand banditisme dans les zones Fn. En organisant un casse dans les agences Bceao de Korhogo, Bouaké et Man. Combien ont-ils pris dans les caisses de cette banque ? Seule la direction de cette banque peut dire le coût de ce préjudice. Mais on parle de plusieurs milliards de Fcfa. Après les casses, le butin a été partagé. Et chacun à son niveau a eu sa part. Ouattara en premier lieu. L’argent volé à la Bceao en poche, Ouattara ne se pose pas de question. Puis, va le déposer dans une banque dakaroise avec la bénédiction du Président sénégalais Abdoulaye Wade. Tout ce pactole est mis au frais en cas de cas. Il se dit qu’un jour, il sera candidat à une élection présidentielle. Ça pourrait lui servir de trésor de guerre. Par la magie de l’article 48, il est candidat. Après le premier tour, Alassane qui est dans un deal avec Wade, sait donc qu’il dispose d’un fonds important dans la capitale sénégalaise. Un coup de fil et le chantre du « Sopie » lui envoie son avion personnel. Pour maquiller cette affaire, Ouattara se fait accompagner par des cadres du Pdci. Juste pour tromper l’opinion. En faisant croire à une sollicitation du Président sénégalais pour convaincre Bédié à rallier sa cause. En tout cas, le Président sénégalais confirme ainsi toutes les accusations que la presse sénégalaise avait portées contre lui dans cette affaire de braquage des agences de la Bceao dans les zones Fn. On se rappelle bien que des confrères dakarois l’avaient ouvertement accusé d’être de connivence avec la rébellion dans les casses des agences de la Bceao. A cause de ses accointances sulfureuses avec les chefs de file des rebelles-braqueurs.
Guéhi Brence
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