Les communicateurs citoyens bénévoles pour le plébiscite du Président Laurent Gbagbo, ont repris leur marche vers la victoire de leur champion. Jean-Jacques Béchio était leur invité à la tribune des Petits déjeuners de Lmp.
Pour leur première activité après le premier tour de l’élection présidentielle, les Communicateurs citoyens bénévoles pour le plébiscite du Président Laurent Gbagbo recevaient hier, à leur tribune des Petits déjeuners de Lmp M. Jean-Jacques Béchio, président de Force politique pour la Côte d’Ivoire, ancien ministre de la Fonction publique du Président Houphouët-Boigny, ancien Ambassadeur de Côte d’Ivoire aux Nations unies. L’invité ancien Conseiller diplomatique du président du Rdr, Alassane Ouattara apporte son soutien sans faille au candidat de La majorité présidentielle quand bien même, précise-t-il, qu’il ne soit pas de cette mouvance. Le thème était : « 2e tour de l’élection présidentielle : au-delà du scrutin, les enjeux pour la Côte d’Ivoire ».
Le taux de participation record de 80%, signe que « les Ivoiriens sont fatigués » et l’assise nationale du candidat Laurent Gbagbo, sont les deux leçons que Béchio tire de ce premier tour. Voici ses recettes pour la Côte d’Ivoire de demain : «Les défis actuels et futurs, auxquels sera confronté notre pays, exigent de son Chef, un certain nombre de qualités qui sont entre autres, la disponibilité, la rigueur, la clairvoyance, l’abnégation ». Qualités que l’on retrouve en Laurent Gbagbo. Commentant l’appel lancé par le président du Pdci-Rda, Béchio : « au lieu d’appeler à voter Ouattara pour sauver l’héritage d’Houphouët, Bédié ferait mieux de consolider et de fructifier cet héritage ». Avant d’’inviter le président du Pdci-Rda à « cesser l’imposture ». Il a appelé pour le deuxième tour, à un vote sanction. « On ne peut pas être Houphouétistes et soutenir quelqu’un qui a créé une rébellion qui défigure la Côte d’Ivoire. Houphouët-Boigny était un homme de dialogue, de paix et de tolérance. » Pour Béchio, s’il y a un candidat en qui l’on retrouve quelques qualités d’Houphouët-Boigny, c’est bien Laurent Gbagbo. « Le Dialogue direct est le symbole achevé du dialogue. Parce qu’il n’est pas aisé de tendre la main à des gens qui jurent vous enlever la vie. Et c’est ce que le Président Gbagbo a fait en initiant le Dialogue direct qui a abouti à la signature de l’Accord politique de Ouagadougou ». Interprétant le voyage d’Alassane Ouattara à quelques jours du second tour de la présidentielle, il estime que «Ouattara prouve qu’il est vraiment le candidat de l’étranger ». Avant de lancer cette sévère mise en garde : « Personne n’acceptera et nous n’accepterons jamais ce qu’on veut faire à Gbagbo. La Côte d’Ivoire n’est pas un terrain vague qui va servir d’expérience. » Sur la question des étrangers, le leader de Force politique pour la Côte d’Ivoire ne se fait aucun complexe : «Nous n’avons pas de complexe à nous faire. Ce pays est à nous, il n’est pas à Laurent Gbagbo seul. Nous devons assurer et assumer notre génération et celle de nos enfants. Il s’agit pour nous d’élire un Ivoirien face aux étrangers ; Car un Ivoirien digne de ce nom ne peut pas voter un homme qui a massacré les Ivoiriens. On ne peut pas être Houphouétistes et soutenir un putschiste. Et on ne mène pas une rébellion contre un pays pour tuer des gens pour une affaire de carte d’identité. On ne peut demander aux Ivoiriens de voter quelqu’un qui a revendiqué une rébellion qui a massacré les Ivoiriens. Les gens doivent savoir que Alassane Ouattara n’est pas un hériter d’Houphouët-Boigny. Travailler pour le roi ne fait pas de vous son héritier. Un héritier, c’est celui qui est de la famille or, Ouattara n’est pas de la famille. »
Simplice Allard
Pour leur première activité après le premier tour de l’élection présidentielle, les Communicateurs citoyens bénévoles pour le plébiscite du Président Laurent Gbagbo recevaient hier, à leur tribune des Petits déjeuners de Lmp M. Jean-Jacques Béchio, président de Force politique pour la Côte d’Ivoire, ancien ministre de la Fonction publique du Président Houphouët-Boigny, ancien Ambassadeur de Côte d’Ivoire aux Nations unies. L’invité ancien Conseiller diplomatique du président du Rdr, Alassane Ouattara apporte son soutien sans faille au candidat de La majorité présidentielle quand bien même, précise-t-il, qu’il ne soit pas de cette mouvance. Le thème était : « 2e tour de l’élection présidentielle : au-delà du scrutin, les enjeux pour la Côte d’Ivoire ».
Le taux de participation record de 80%, signe que « les Ivoiriens sont fatigués » et l’assise nationale du candidat Laurent Gbagbo, sont les deux leçons que Béchio tire de ce premier tour. Voici ses recettes pour la Côte d’Ivoire de demain : «Les défis actuels et futurs, auxquels sera confronté notre pays, exigent de son Chef, un certain nombre de qualités qui sont entre autres, la disponibilité, la rigueur, la clairvoyance, l’abnégation ». Qualités que l’on retrouve en Laurent Gbagbo. Commentant l’appel lancé par le président du Pdci-Rda, Béchio : « au lieu d’appeler à voter Ouattara pour sauver l’héritage d’Houphouët, Bédié ferait mieux de consolider et de fructifier cet héritage ». Avant d’’inviter le président du Pdci-Rda à « cesser l’imposture ». Il a appelé pour le deuxième tour, à un vote sanction. « On ne peut pas être Houphouétistes et soutenir quelqu’un qui a créé une rébellion qui défigure la Côte d’Ivoire. Houphouët-Boigny était un homme de dialogue, de paix et de tolérance. » Pour Béchio, s’il y a un candidat en qui l’on retrouve quelques qualités d’Houphouët-Boigny, c’est bien Laurent Gbagbo. « Le Dialogue direct est le symbole achevé du dialogue. Parce qu’il n’est pas aisé de tendre la main à des gens qui jurent vous enlever la vie. Et c’est ce que le Président Gbagbo a fait en initiant le Dialogue direct qui a abouti à la signature de l’Accord politique de Ouagadougou ». Interprétant le voyage d’Alassane Ouattara à quelques jours du second tour de la présidentielle, il estime que «Ouattara prouve qu’il est vraiment le candidat de l’étranger ». Avant de lancer cette sévère mise en garde : « Personne n’acceptera et nous n’accepterons jamais ce qu’on veut faire à Gbagbo. La Côte d’Ivoire n’est pas un terrain vague qui va servir d’expérience. » Sur la question des étrangers, le leader de Force politique pour la Côte d’Ivoire ne se fait aucun complexe : «Nous n’avons pas de complexe à nous faire. Ce pays est à nous, il n’est pas à Laurent Gbagbo seul. Nous devons assurer et assumer notre génération et celle de nos enfants. Il s’agit pour nous d’élire un Ivoirien face aux étrangers ; Car un Ivoirien digne de ce nom ne peut pas voter un homme qui a massacré les Ivoiriens. On ne peut pas être Houphouétistes et soutenir un putschiste. Et on ne mène pas une rébellion contre un pays pour tuer des gens pour une affaire de carte d’identité. On ne peut demander aux Ivoiriens de voter quelqu’un qui a revendiqué une rébellion qui a massacré les Ivoiriens. Les gens doivent savoir que Alassane Ouattara n’est pas un hériter d’Houphouët-Boigny. Travailler pour le roi ne fait pas de vous son héritier. Un héritier, c’est celui qui est de la famille or, Ouattara n’est pas de la famille. »
Simplice Allard
