Les femmes du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci) et l’ensemble des principaux syndicats représentés en Côte d’Ivoire ont décidé de voter le 28 novembre 2010, le candidat Gbagbo.
Le candidat de La majorité présidentielle Laurent Gbagbo a rencontré hier mercredi 17 novembre 2010 au Palais de la culture de Treichville, les femmes du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci). Le but de cette rencontre était de faire savoir au Président de la majorité présidentielle leur souhait de le revoir réélu Président de la Côte d’Ivoire au soir du 28 novembre 2010. Pour Mme Bro Grébé Géneviève chargée de la mobilisation des femmes dans le camp de La majorité présidentielle, la Côte d’Ivoire se trouve à la croisée des chemins. Les femmes du Pdci sont donc venues rencontrer leur candidat parce qu’il se pose à présent un choix à faire. Il s’agit selon
Mme Bro Grébé, de faire le choix qui s’impose par les urnes et celle qui s’impose par les armes. Parce qu’au soir du 28 novembre 2010, ce sera la victoire de la paix sur la mort. Quant au Président Gbagbo, il s’est dit très ému par cette rencontre avec les femmes du Pdci au
cours de cette cérémonie. Pour le candidat de La majorité présidentielle, une élection est le lieu de faire des comparaisons. Ils étaient 14 candidats au départ. Aujourd’hui, ils ne sont que deux. Il a
donc demandé aux femmes de faire leur choix parce qu’elles connaissent mieux les deux candidats. Répondant à Mme Kindo Marie Laure, l’une des nombreuses intervenantes qui s’est sentie vexée parce que par la faute d’un des leurs, le pays tout entier a été humilié, le candidat Laurent Gbagbo a donné des assurances. Il a promis défendre coûte que coûte l’honneur de la Côte d’Ivoire. Pour Laurent Gbagbo, la mort vaut mieux que le déshonneur. Il a tout simplement du mal à comprendre que l’on remette ce pays aux mains de quelqu’un qui a fait un coup d’Etat. Il fait savoir à cet effet son mécontentement et s’est vigoureusement opposé à une telle idée. «
Je ne suis pas d’accord et je suis venu vous le dire. Il y a un combat à mener pour sauver la Côte d’Ivoire », a dit en substance le Président Gbagbo. Quant à Mme N’Dri Henriette et Mme Amina Diabaté, elles ont lancé un appel à la mobilisation aux femmes de leurs communautés respectives à voter pour le candidat de La majorité présidentielle. Dans la même veine Mme Kindo Marie Laure a fait savoir sa douleur du fait que le Président Bédié ait bradé la Côte d’Ivoire. Il faut protéger le trône, a-t-elle insisté. Le Président de la République qui a fait du problème du genre son cheval de bataille, a fait savoir qu’il a nommé 17 femmes à des postes de responsabilité depuis qu’il est aux affaires. Il a promis faire davantage dans les cinq années à venir pour donner plus de responsabilité à la gent féminine.
L’Ugtci, la Fesaci et la Centrale Dignité appellent à voter Gbagbo
Mais bien avant de rencontrer les femmes du Pdci, le candidat de La majorité présidentielle a été l’hôte de l’ensemble des syndicats représentés en Côte d’Ivoire. Il s’agit de l’Union générale
des travailleurs de la Côte d’Ivoire, la Fédération des syndicats autonomes de Côte d’Ivoire (Fesaci), de la Centrale Dignité et bien d’autres structures syndicales telles que celui des Secrétaires de Direction de Mme Edoukou Marceline. Le ministre Kadjo Richard à qui est revenu l’honneur de recevoir le candidat de La majorité présidentielle a demandé à ses pairs de se lever comme un seul homme et saluer la victoire de leur candidat. Pour le ministre Kadjo Richard, c’est la mission à leur confiée par le candidat de La majorité présidentielle et qu’ils sont en train d’accomplir. Il s’agit pour le ministre de ne pas se tromper de choix au soir du 28 novembre 2010. Le peuple aura à choisir entre le fils du pays et un autre candidat. Celui-là même qui nous a amené la guerre en Côte d’Ivoire. Il s’agit de Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara le père de la rébellion. Puis le Président de la République s’est adressé à son auditoire pour lui dire que désormais ils sont côte à côte. Celui-ci a rappelé aux structures syndicales qu’ils savent bien qu’il ne peut pas
y exister de liberté syndicale s’il n’y a pas de pays. Les gros calibres du syndicalisme ivoirien que sont l’Ugtci, la Fesaci et la Centrale Dignité ont décidé de donner leurs voix au candidat de La majorité présidentielle. Nous y reviendrons
Jean-Baptiste Essis
Jejbessis8@gmail.com
Le candidat de La majorité présidentielle Laurent Gbagbo a rencontré hier mercredi 17 novembre 2010 au Palais de la culture de Treichville, les femmes du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci). Le but de cette rencontre était de faire savoir au Président de la majorité présidentielle leur souhait de le revoir réélu Président de la Côte d’Ivoire au soir du 28 novembre 2010. Pour Mme Bro Grébé Géneviève chargée de la mobilisation des femmes dans le camp de La majorité présidentielle, la Côte d’Ivoire se trouve à la croisée des chemins. Les femmes du Pdci sont donc venues rencontrer leur candidat parce qu’il se pose à présent un choix à faire. Il s’agit selon
Mme Bro Grébé, de faire le choix qui s’impose par les urnes et celle qui s’impose par les armes. Parce qu’au soir du 28 novembre 2010, ce sera la victoire de la paix sur la mort. Quant au Président Gbagbo, il s’est dit très ému par cette rencontre avec les femmes du Pdci au
cours de cette cérémonie. Pour le candidat de La majorité présidentielle, une élection est le lieu de faire des comparaisons. Ils étaient 14 candidats au départ. Aujourd’hui, ils ne sont que deux. Il a
donc demandé aux femmes de faire leur choix parce qu’elles connaissent mieux les deux candidats. Répondant à Mme Kindo Marie Laure, l’une des nombreuses intervenantes qui s’est sentie vexée parce que par la faute d’un des leurs, le pays tout entier a été humilié, le candidat Laurent Gbagbo a donné des assurances. Il a promis défendre coûte que coûte l’honneur de la Côte d’Ivoire. Pour Laurent Gbagbo, la mort vaut mieux que le déshonneur. Il a tout simplement du mal à comprendre que l’on remette ce pays aux mains de quelqu’un qui a fait un coup d’Etat. Il fait savoir à cet effet son mécontentement et s’est vigoureusement opposé à une telle idée. «
Je ne suis pas d’accord et je suis venu vous le dire. Il y a un combat à mener pour sauver la Côte d’Ivoire », a dit en substance le Président Gbagbo. Quant à Mme N’Dri Henriette et Mme Amina Diabaté, elles ont lancé un appel à la mobilisation aux femmes de leurs communautés respectives à voter pour le candidat de La majorité présidentielle. Dans la même veine Mme Kindo Marie Laure a fait savoir sa douleur du fait que le Président Bédié ait bradé la Côte d’Ivoire. Il faut protéger le trône, a-t-elle insisté. Le Président de la République qui a fait du problème du genre son cheval de bataille, a fait savoir qu’il a nommé 17 femmes à des postes de responsabilité depuis qu’il est aux affaires. Il a promis faire davantage dans les cinq années à venir pour donner plus de responsabilité à la gent féminine.
L’Ugtci, la Fesaci et la Centrale Dignité appellent à voter Gbagbo
Mais bien avant de rencontrer les femmes du Pdci, le candidat de La majorité présidentielle a été l’hôte de l’ensemble des syndicats représentés en Côte d’Ivoire. Il s’agit de l’Union générale
des travailleurs de la Côte d’Ivoire, la Fédération des syndicats autonomes de Côte d’Ivoire (Fesaci), de la Centrale Dignité et bien d’autres structures syndicales telles que celui des Secrétaires de Direction de Mme Edoukou Marceline. Le ministre Kadjo Richard à qui est revenu l’honneur de recevoir le candidat de La majorité présidentielle a demandé à ses pairs de se lever comme un seul homme et saluer la victoire de leur candidat. Pour le ministre Kadjo Richard, c’est la mission à leur confiée par le candidat de La majorité présidentielle et qu’ils sont en train d’accomplir. Il s’agit pour le ministre de ne pas se tromper de choix au soir du 28 novembre 2010. Le peuple aura à choisir entre le fils du pays et un autre candidat. Celui-là même qui nous a amené la guerre en Côte d’Ivoire. Il s’agit de Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara le père de la rébellion. Puis le Président de la République s’est adressé à son auditoire pour lui dire que désormais ils sont côte à côte. Celui-ci a rappelé aux structures syndicales qu’ils savent bien qu’il ne peut pas
y exister de liberté syndicale s’il n’y a pas de pays. Les gros calibres du syndicalisme ivoirien que sont l’Ugtci, la Fesaci et la Centrale Dignité ont décidé de donner leurs voix au candidat de La majorité présidentielle. Nous y reviendrons
Jean-Baptiste Essis
Jejbessis8@gmail.com