www.gbagbo.ci - Le premier tour de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, qui s’est tenu le 31 octobre dernier, permet définitivement, d’enterrer les élucubrations de certains politologues ou politiciens dont les discours naguère, tournaient autour des mensonges suivants : « nous avons dans ce pays, la majorité sociologique », « Gbagbo est un président minoritaire. Il pèse à peine 10% de l’électorat ivoirien », « Gbagbo n’ira pas au 2è tour »,etc.
Les urnes ont tranché : Laurent Gbagbo de La Mouvance présidentielle (38%), Alassane Dramane Ouattara du Rdr (32%), Konan Bédié du Pdci(25%).
Ainsi donc, il est clairement établi que Laurent Gbagbo n’est pas un Président minoritaire. Il n’est pas non plus un Président clanique. Il s’est offert le Sud, l’Ouest, le Centre-ouest, le Sud Ouest, le Sud-Est, le Nord-Est.
En un mot comme en cent, Laurent Gbagbo a une assise nationale. Parce que majoritaire dans 11 régions sur les 19 que compte le pays. Il est maître dans la capitale économique du pays (45,04%).Contrairement à ses deux adversaires politiques qui n’ont cessé d’hurler l’impopularité de Laurent Gbagbo alors qu’ils sont, à la vérité du terrain, confinés pour l’un (Alassane) dans le Nord et pour l’autre (Bédié), dans le « V » baoulé. Les minoritaires aujourd’hui, ce sont eux.
Les énormes tricheries organisées dans leur fief, en ce qui concerne Alassane Dramane Ouattara, n’ont rien changé au score. La population électorale nationale (qui selon les spécialistes, représente une proportion de la population totale, dans une localité donnée)est d’environ 40%. Le 1er tour de la présidentielle a mis à nu des incongruités : Au nord, cette population électorale est passée à deux fois et demi de ce taux. A korhogo, pour une population totale de 212546 habitants en 2010, on a recensé 194487 électeurs, soit 91%.Ferkessédougou qui en 2010, compte 62184 habitants, se retrouve avec 92926 électeurs, soit 149%.Pour 23724 habitants que compte Mankono en 2010, on dénombre miraculeusement 57816 électeurs, soit 243%.Impensable.
Pourtant, le candidat du Rdr qui voulait s’octroyer un score soviétique n’a pas lésiné sur les moyens de haute triche pour arriver à ses fins. Semant ainsi les germes d’une future déflagration nationale. Que n’aurait pas dit l’opposition ivoirienne (regroupement hétéroclite de partis politiques aux idéologies incompatibles) si La Mouvance Présidentielle de Laurent Gbagbo avait obtenu plus de la majorité des voix au premier tour ? Le second tour est une bonne chose car il permet de liquider une fois pour toute, le problème de la représentativité des uns et des autres. Les partisans du progrès et de la souveraineté de la Côte d’Ivoire doivent ici et maintenant se mettre à (re)mobiliser les troupes. A faire du porte-à-porte. A parler aux indécis. A leurs frères des autres partis dont les candidats n’ont pas pu accéder au 2nd tour.
Cette mobilisation doit s’étendre à la diaspora. Celle-là même qui est considérée par ceux restés au pays, comme les portes flambeaux de la famille, du village. N’est ce pas elle qui, par les transferts de fonds qu’elle effectue en direction des parents et amis restés au pays, détermine la condition de vie de ces derniers ? Alors, en leur parlant du candidat Gbagbo et de sa vision pour la Côte d’Ivoire de demain, elle influera leur choix au 2nd tour. Il faut très vite remobiliser tout le monde autour du candidat Gbagbo dont la victoire ne sera que plus belle, au second tour, comme le prévoient les sondages, parce que Gbagbo et la LMP sont vraiment l'incarnation de la nation .Car, ils sont les seuls à être représentés au Nord, au Sud à l'Est au Centre et à l'Ouest. Si on veut mettre fin au repli identitaire, et créer la nation ivoirienne il faut œuvrer à renforcer notre présence sur tout le territoire.
Les urnes ont tranché : Laurent Gbagbo de La Mouvance présidentielle (38%), Alassane Dramane Ouattara du Rdr (32%), Konan Bédié du Pdci(25%).
Ainsi donc, il est clairement établi que Laurent Gbagbo n’est pas un Président minoritaire. Il n’est pas non plus un Président clanique. Il s’est offert le Sud, l’Ouest, le Centre-ouest, le Sud Ouest, le Sud-Est, le Nord-Est.
En un mot comme en cent, Laurent Gbagbo a une assise nationale. Parce que majoritaire dans 11 régions sur les 19 que compte le pays. Il est maître dans la capitale économique du pays (45,04%).Contrairement à ses deux adversaires politiques qui n’ont cessé d’hurler l’impopularité de Laurent Gbagbo alors qu’ils sont, à la vérité du terrain, confinés pour l’un (Alassane) dans le Nord et pour l’autre (Bédié), dans le « V » baoulé. Les minoritaires aujourd’hui, ce sont eux.
Les énormes tricheries organisées dans leur fief, en ce qui concerne Alassane Dramane Ouattara, n’ont rien changé au score. La population électorale nationale (qui selon les spécialistes, représente une proportion de la population totale, dans une localité donnée)est d’environ 40%. Le 1er tour de la présidentielle a mis à nu des incongruités : Au nord, cette population électorale est passée à deux fois et demi de ce taux. A korhogo, pour une population totale de 212546 habitants en 2010, on a recensé 194487 électeurs, soit 91%.Ferkessédougou qui en 2010, compte 62184 habitants, se retrouve avec 92926 électeurs, soit 149%.Pour 23724 habitants que compte Mankono en 2010, on dénombre miraculeusement 57816 électeurs, soit 243%.Impensable.
Pourtant, le candidat du Rdr qui voulait s’octroyer un score soviétique n’a pas lésiné sur les moyens de haute triche pour arriver à ses fins. Semant ainsi les germes d’une future déflagration nationale. Que n’aurait pas dit l’opposition ivoirienne (regroupement hétéroclite de partis politiques aux idéologies incompatibles) si La Mouvance Présidentielle de Laurent Gbagbo avait obtenu plus de la majorité des voix au premier tour ? Le second tour est une bonne chose car il permet de liquider une fois pour toute, le problème de la représentativité des uns et des autres. Les partisans du progrès et de la souveraineté de la Côte d’Ivoire doivent ici et maintenant se mettre à (re)mobiliser les troupes. A faire du porte-à-porte. A parler aux indécis. A leurs frères des autres partis dont les candidats n’ont pas pu accéder au 2nd tour.
Cette mobilisation doit s’étendre à la diaspora. Celle-là même qui est considérée par ceux restés au pays, comme les portes flambeaux de la famille, du village. N’est ce pas elle qui, par les transferts de fonds qu’elle effectue en direction des parents et amis restés au pays, détermine la condition de vie de ces derniers ? Alors, en leur parlant du candidat Gbagbo et de sa vision pour la Côte d’Ivoire de demain, elle influera leur choix au 2nd tour. Il faut très vite remobiliser tout le monde autour du candidat Gbagbo dont la victoire ne sera que plus belle, au second tour, comme le prévoient les sondages, parce que Gbagbo et la LMP sont vraiment l'incarnation de la nation .Car, ils sont les seuls à être représentés au Nord, au Sud à l'Est au Centre et à l'Ouest. Si on veut mettre fin au repli identitaire, et créer la nation ivoirienne il faut œuvrer à renforcer notre présence sur tout le territoire.