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Politique Publié le lundi 22 novembre 2010 | Partis Politiques

3000 milliards fcfa,côut financier de la guerre d’Alassane Ouattara

www.gbagbo.ci - Alassane Ouattara ? C’est, comme le qualifient les chefs rébelles Koné Zakaria et Koné Messemba, « le père de la rébellion ivoirienne ». Cet homme qui ,par des concours de circonstance, se retrouve au 2nd tour de la présidentielle du 28 novembre prochain, aura fait perdre à la Côte d’Ivoire, outre des vies humaines, beaucoup d’argent. Du point de vue financier, les experts évaluent à plus de 3000 milliards, le coût financier de la guerre d’Alassane comme l’a expliqué hier Affi N’guessan ,à l’occasion d’une conférence de presse qui s’est tenue au Qg du candidat de la majorité présidentielle.

Le porte parole du Président Laurent Gbagbo,a ffirme que,avec 3000 milliards, le pays aurait pu :

-mettre en œuvre le Plan National de développement de l’emploiu, créer les 3millions d’emplois prévus et élever le Smig à 60.OOOfcfa au moins. -mettre en œuvre l’Assurance Maladie Universelle(AMU) et assurer les soins gratuits à la popualtion.Avec cette somme, le pays aurait pu réaliser, entre autres, la gratuité de l’école jusqu’au secondaire, améliorer le taux brut de scolarisation(95%) et réduire fortement l’analphabétisme.Construire au moins une université par région et réhabiliter toutes les universités existantes.De même, entretenir convenablement les infrastructures existantes et bitumer au moins 10.000 kms de voies nouvelles.

Le premier Ministre est formel : Voter Alassane Ouattara serait le récompenser pour lers crimes économiques perpétrés par la rébellion et tous les dommages causés au pays.

Les Ivoiriens sont donc fondés à na pas accorder leur confiance à Alassane Ouattara qui au 2nd tour de la présidentielle se trouvera face à Gbagbo, le rempart de la République.

Gbagbo l’Homme de la situation sera face à Alasane Ouattara, le père de la rebellion armée .Gbagbo, l’homme de l’ouverture du rassemblement et de l’unité nationale ,sera face à celui de la décadence nationale.Un face –à face entre l’agressé du 19 septembre 2002 et son agresseur ;la victime et son bourreau.Un enjeu historique,un défi national.

En effet, pour le conférencier, l’enjeu du vote, ce n’est ni la conservation du pouvoir par Laurent Gbagbo, ni sa conquête par Alassane Ouattara.L’enjeu, c’est : -La paix et la stabilité de ce pays :qui des deux candidats a la volonté et les capacités pour restaurer la paix en Côte d’Ivoire et assurer la stabilité de ce pays ?

La consolidation des libertés, l’enracinement et l’approfondissement de la démocratie, des préoccupations pour tous ? Sur ces questions essentielles pour la Côte d’Ivoire,le porte parole du candidat de la majorité présidnetielle estime que, « Alassane Ouattara ne fait pas le poids devant Laurent Gbagbo » .Parce qu’il veut devenir coûte que coûte Président de ce pays,Alassane Ouattara l’a mis à feu et à sang, aux dires de Affi N’guessan.Qui passe en revue les monstruosités commises par l’adversaires politique de l’homme de la situation,Laurent Gbagbo.A savoir :

-Complot du 18 février 1992,tentative de coup d’Etat à la mort d’houphouet Boigny en décembre 1993,coup d’Etat de décembre 1999 contre Bédié endossé par le général Robert Guéi et commandité par Ouattara,tentative d’assassinat du Général Guéi en juillet et septembre 2000,pour non respect de l’engagement de rétrocession du pouvoir à Alassane Ouattara,appel à ses militants à descendre dans la rue en Octobre 2000 pour empêcher la proclamation des résultats de l’élection présidentielle et l’accession au pouvoir de Laurent Gbagbo,actes insurrectionnels et tentatives de coup d’Etat en Décembre 2000,janvier 2001 et septembre 2002 ;rébellion armée ayant entraîné de nombreuses pertes en vies humaines ;provoqué la division et la partition du pays,défiguré le pays, déshonoré la nation. Au total, selon AFFI, Alassane apparaît comme un homme qui se bat contre tout et contre tous depuis son irruption suer la scène politique ivoirienne.C’est d’après lui,cet homme là qui veut gouverner ce pays, après avoir semé la mort et la désolation.Est ce possible,interroge-t-il.

La réponse sera connue au soir du scrutin prochain.Les ivoiriens, les électeurs qui ne sont pas masochistes,éviteront de mettre à la tête de ce pays,un individu qui se sert constamment de tous comme marche pied pour atteindre ses ambitions démesurées.



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