www.gbagbo.ci - Arrivé au stade de la Liberté en face du Lycée moderne d’Agboville, aux environs de 16 h et quart, Laurent Gbagbo a été accueilli par une population en liesse venue d’Agboville, d’Adzopé, d’Akoupé, de Yakassé-Attobrou et d’Anyamace, samedi 20 novembre à l'occasion de l'ouverture officielle du second tour de la présidentielle. Laurent Gbagbo a invité ses compatriotes à mettre définitivement fin à la violence en politique en Côte d’Ivoire en sanctionnant par un vote massif Alassane Dramane Ouattara au deuxième tour de l’élection présidentielle.
Le second tour de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire nous réserve certainement des surprises. Au lancement officiel de sa campagne électorale, samedi dernier, à Agboville, capitale de la région de l’Agnéby, le candidat de La Majorité présidentielle (Lmp) a appelé ses compatriotes à saisir le sens profond du vote du 28 novembre. Pour Laurent Gbagbo, le deuxième tour du scrutin du dimanche prochain n’est pas une élection quelconque. « C’est pour mettre fin à la violence dans la politique. C’est pour arrêter la route de ceux qui sont entrés en politique par effraction et qui cassent tout sur leur passage », a indiqué le président Laurent Gbagbo. Aussi a-t-il engagé les Ivoiriens à se lever le 28 novembre en utilisant tous les moyens pour aller voter. « Votez pour faire le barrage contre les violences, votez pour faire le barrage contre ceux qui prennent le programme des autres », a-t-il par ailleurs recommandé.
Laurent Gbagbo s’appuyant sur des faits, a ainsi révélé que son adversaire actuel au deuxième tour de l’élection présidentielle, en l’occurrence Alassane Ouattara, est en effet l’auteur de plusieurs actes de violence contre la démocratie naissante en Côte d’Ivoire. « Les preuves surabondent. Ses propres déclarations, les déclarations de ses amis. Les preuves surabondent. Nous allons les produire quand nous allons discuter à la télévision en face à face », a-t-il prévenu. Le candidat Lmp a précisé qu’il n’attaque pas quelqu’un pour ce qu’il est, mais pour ce qu’il fait. Les faits laissant toujours des traces. « Le 24 décembre 1999, c’est mon adversaire actuel qui l’auteur du coup d’Etat qui a envoyé Konan Bédié en exil et quand Guéi Robert devait assurer la transition pour son compte, quand il a vu que Guéi Robert s’installait, en septembre 2000, il a fait une autre tentative de coup d’Etat contre Guéi Robert. C’est ce qu’on a appelé le complot du cheval blanc », a affirmé le candidat LMP. Qui cite plusieurs autres tentatives de déstabilisation de son régime, dont celle infructueuse de janvier 2001 et la dernière de septembre 2002 qui s’est muée en rébellion armée.
C’est pourquoi, appelant les Ivoiriens à mettre un terme à ce parcours qu’il a qualifié de chaotique et de violent sur le chemin de la démocratie dans son pays, Laurent Gbagbo s’est surtout réjoui de se trouver face à face avec celui-là qui a semé, selon ses propres termes, la violence en Côte d’Ivoire. Parce que, s’est-il justifié, cette élection est un symbole. « C’est le jour contre la nuit. C’est le bien contre le mal. Il faut que les Ivoiriens tranchent une fois pour toute. Est-ce que vous voulez les violents ou bien vous voulez les démocrates ? », s’est-il interrogé. Avant de remercier et féliciter les peuples de l’Agnéby pour avoir donné, à l’issue du scrutin du premier tour, un signal fort à toute la Côte d’Ivoire. « Vous avez sonné la révolte nationale contre les violences. Et je vous félicite, mais il nous faut continuer ; le serpent n’est pas encore mort. Ne laissez pas tomber vos bâtons. Parce qu’il faut qu’après le 28 novembre, cette graine de violence soit extirpée définitivement de la vie politique de la Côte d’Ivoire. Et je suis là pour ça », a indiqué le candidat Laurent Gbagbo. « La bataille du 28 novembre n’est pas une bataille comme ça. C’est une vraie bataille entre les démocrates et les putschistes. Halte aux putschistes. Vive la Côte d’Ivoire. La Côte d’Ivoire n’a pas besoin de putsch », a insisté le président de la République de Côte d’Ivoire. « Aujourd’hui, je suis candidat et je veux ces élections parce que je vois des nuages noirs sur la tête de la Côte d’Ivoire. Tant qu’il y aura des nuages sur la Côte d’Ivoire, je serai débout. On ne peut pas livrer notre pays à des hommes violents. Je n’accepte pas. Je n’accepterai pas et je n’accepterai jamais », a ajouté Laurent Gbagbo qui faisait certainement allusion à Konan Bédié qui a appelé les militants du Pdci-Rda à voter Alassane Dramane Ouattara. A propos de ce dernier, il a dit qu’il veut la présidence de la République pour « cueillir les fruits de mon travail ». Car après ces élections, dans le premier semestre de 2011, la dette extérieure ivoirienne va être ou effacée ou réduite dans le cadre de l’initiative des Pays pauvres très endettés (PPTE). « Nous aurons un bénéfice annuel de 500 milliards de Fcfa pour la Côte d’Ivoire. C’est à cause de cela que les gens courent. C’est à cause de ce que nous allons avoir. J’ai déjà fait le travail et ils veulent cueillir mon travail », a-t-il également révélé tout en dénonçant le plagiat de son programme de gouvernement et de société par ses adversaires.
Le porte-parole de la population le colonel Pascal Doffou a dit la joie et la fierté légitime des peuples de l’Agnéby. Il a saisi l’occasion pour appeler les Ivoiriens, en leur nom, à un sursaut national pour un vote massif afin de plébisciter le candidat Laurent Gbagbo. Le plébiscite devant être perçu comme le remède adapté et efficace au mal qui ronge la Côte d’Ivoire depuis 1999. Après son premier meeting de campagne, Laurent Gbagbo s’est entretenu avec les chefs traditionnels d’Agboville et d’Adzopé au domicile du ministre Raymond Abouo N’Dori, Ddc du candidat Lmp.
Le second tour de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire nous réserve certainement des surprises. Au lancement officiel de sa campagne électorale, samedi dernier, à Agboville, capitale de la région de l’Agnéby, le candidat de La Majorité présidentielle (Lmp) a appelé ses compatriotes à saisir le sens profond du vote du 28 novembre. Pour Laurent Gbagbo, le deuxième tour du scrutin du dimanche prochain n’est pas une élection quelconque. « C’est pour mettre fin à la violence dans la politique. C’est pour arrêter la route de ceux qui sont entrés en politique par effraction et qui cassent tout sur leur passage », a indiqué le président Laurent Gbagbo. Aussi a-t-il engagé les Ivoiriens à se lever le 28 novembre en utilisant tous les moyens pour aller voter. « Votez pour faire le barrage contre les violences, votez pour faire le barrage contre ceux qui prennent le programme des autres », a-t-il par ailleurs recommandé.
Laurent Gbagbo s’appuyant sur des faits, a ainsi révélé que son adversaire actuel au deuxième tour de l’élection présidentielle, en l’occurrence Alassane Ouattara, est en effet l’auteur de plusieurs actes de violence contre la démocratie naissante en Côte d’Ivoire. « Les preuves surabondent. Ses propres déclarations, les déclarations de ses amis. Les preuves surabondent. Nous allons les produire quand nous allons discuter à la télévision en face à face », a-t-il prévenu. Le candidat Lmp a précisé qu’il n’attaque pas quelqu’un pour ce qu’il est, mais pour ce qu’il fait. Les faits laissant toujours des traces. « Le 24 décembre 1999, c’est mon adversaire actuel qui l’auteur du coup d’Etat qui a envoyé Konan Bédié en exil et quand Guéi Robert devait assurer la transition pour son compte, quand il a vu que Guéi Robert s’installait, en septembre 2000, il a fait une autre tentative de coup d’Etat contre Guéi Robert. C’est ce qu’on a appelé le complot du cheval blanc », a affirmé le candidat LMP. Qui cite plusieurs autres tentatives de déstabilisation de son régime, dont celle infructueuse de janvier 2001 et la dernière de septembre 2002 qui s’est muée en rébellion armée.
C’est pourquoi, appelant les Ivoiriens à mettre un terme à ce parcours qu’il a qualifié de chaotique et de violent sur le chemin de la démocratie dans son pays, Laurent Gbagbo s’est surtout réjoui de se trouver face à face avec celui-là qui a semé, selon ses propres termes, la violence en Côte d’Ivoire. Parce que, s’est-il justifié, cette élection est un symbole. « C’est le jour contre la nuit. C’est le bien contre le mal. Il faut que les Ivoiriens tranchent une fois pour toute. Est-ce que vous voulez les violents ou bien vous voulez les démocrates ? », s’est-il interrogé. Avant de remercier et féliciter les peuples de l’Agnéby pour avoir donné, à l’issue du scrutin du premier tour, un signal fort à toute la Côte d’Ivoire. « Vous avez sonné la révolte nationale contre les violences. Et je vous félicite, mais il nous faut continuer ; le serpent n’est pas encore mort. Ne laissez pas tomber vos bâtons. Parce qu’il faut qu’après le 28 novembre, cette graine de violence soit extirpée définitivement de la vie politique de la Côte d’Ivoire. Et je suis là pour ça », a indiqué le candidat Laurent Gbagbo. « La bataille du 28 novembre n’est pas une bataille comme ça. C’est une vraie bataille entre les démocrates et les putschistes. Halte aux putschistes. Vive la Côte d’Ivoire. La Côte d’Ivoire n’a pas besoin de putsch », a insisté le président de la République de Côte d’Ivoire. « Aujourd’hui, je suis candidat et je veux ces élections parce que je vois des nuages noirs sur la tête de la Côte d’Ivoire. Tant qu’il y aura des nuages sur la Côte d’Ivoire, je serai débout. On ne peut pas livrer notre pays à des hommes violents. Je n’accepte pas. Je n’accepterai pas et je n’accepterai jamais », a ajouté Laurent Gbagbo qui faisait certainement allusion à Konan Bédié qui a appelé les militants du Pdci-Rda à voter Alassane Dramane Ouattara. A propos de ce dernier, il a dit qu’il veut la présidence de la République pour « cueillir les fruits de mon travail ». Car après ces élections, dans le premier semestre de 2011, la dette extérieure ivoirienne va être ou effacée ou réduite dans le cadre de l’initiative des Pays pauvres très endettés (PPTE). « Nous aurons un bénéfice annuel de 500 milliards de Fcfa pour la Côte d’Ivoire. C’est à cause de cela que les gens courent. C’est à cause de ce que nous allons avoir. J’ai déjà fait le travail et ils veulent cueillir mon travail », a-t-il également révélé tout en dénonçant le plagiat de son programme de gouvernement et de société par ses adversaires.
Le porte-parole de la population le colonel Pascal Doffou a dit la joie et la fierté légitime des peuples de l’Agnéby. Il a saisi l’occasion pour appeler les Ivoiriens, en leur nom, à un sursaut national pour un vote massif afin de plébisciter le candidat Laurent Gbagbo. Le plébiscite devant être perçu comme le remède adapté et efficace au mal qui ronge la Côte d’Ivoire depuis 1999. Après son premier meeting de campagne, Laurent Gbagbo s’est entretenu avec les chefs traditionnels d’Agboville et d’Adzopé au domicile du ministre Raymond Abouo N’Dori, Ddc du candidat Lmp.