Dernier kata de Ouattara: Coup d’Etat planifié du 23 au 27 novembre 2010
Ouattara a décidé de ne pas aller aux élections. Ce faisant, il n’est pas passé par quatre chemins pour recruter des assaillants partout à travers la Cedeao, renouveler les contrats des Ivoiriens démobilisés de la rébellion, des déserteurs de l’armée, des membres de la société civile, des officiers et des sous-officiers félons, des hommes de troupe… Voici le plan, les hommes, les actions en cours.
Le plan
Ouattara est en mission, rémunéré par la France des caciques, celle de la Chiraquie, celle des coups tordus, des réseaux mafiafrique, qui n’ont jamais pu se débarrasser des scories néocoloniales. Avec ses réseaux engendrés, formatés dans tous les secteurs de la vie publique française et africaine par feu leur père, éternel comploteur devant l’Eternel, Jacques Foccart. Ils ont eu raison de beaucoup de nationalistes, assassinés, empoisonnés, tous éliminés d’une manière ou d’un autre pour annihiler la renaissance africaine. Des hommes de paille comme Ouattara et bien d’autres subsistent encore à leur service pour continuer leurs sales besognes.
L’objectif final, éliminer physiquement Laurent Gbagbo après avoir échoué à plusieurs reprises de le renverser. Cette élimination physique avec bien d’autres Ivoiriens déterminés à ne pas brader la souveraineté nationale de notre Côte d’Ivoire les aiderait à installer un apatride, légionnaire civil dont le seul nom authentifié est Ouattara, le reste nom, prénom, pseudonyme évoluant au gré des intérêts ou des missions à lui assignées par ses maîtres.
Ceux qui soutiennent aujourd’hui, sa farce de candidature, ne savent pas qu’ils sont aussi programmés pour être des victimes expiatoires sacrifiées sur l’autel de leur cause sordide. Tout est planifié, même livré les chefs rebelles, y compris leur Secrétaire général de Premier ministre à la Cour pénale internationale pour faire taire les velléités des organisations internationales des Droits de l’Homme et autres structures internationales des Droits de l’Homme qui pourraient naître une fois leur forfaiture accomplie .
Les hommes qui servent de comparses compagnons à Ouattara, ne savent pas non plus, que Ouattara et ses maîtres ont créé plusieurs fronts distincts qui agissent chacun dans l’ignorance totale de l’existence de l’autre. En réalité, Ouattara et ses maîtres se serviront d’eux et les élimineront une fois, leur sale besogne achevée, mettant leur élimination sur le compte des règlements internes inhérent à tout coup perpétré. Leur vie passera en pertes et profits et sera mis sur le compte des troupes loyalistes. Il en sera de même pour tous les officiers félons qui ont cédé à la tentation du dieu argent, de peur de les voir retourner leurs armes contre les conspirateurs eux-mêmes. Pour la simple raison qu’ils ne pourront pas tenir les engagements de promesses mirobolantes qu’ils leur font, en ce moment. Malheureusement, comme le dit astucieusement Charles Pasqua, un vrai connaisseur en la matière, «les promesses n’engagent que ceux qui y croient», hélas, hélas mille fois.
Voici grosso-modo, le plan qui est concocté. L’observateur naïf pourrait se dire dans quel but, cette Françafrique s’acharne-t-elle sur la Côte d’Ivoire ? Même des Ivoiriens pourraient l’ignorer. Et il n’y a pas d’autre but que la recherche de la mainmise totale sur les ressources naturelles très prometteuses, du sous-sol ivoirien, au-delà de l’agriculture déjà en vue. Sûr pour sûr, si le Président actuel est reconduit, d’ici quelques années, la Côte d’Ivoire se situera parmi les cinq grands pays producteurs d’or, sans compter toutes les promesses Off Shore de pétrole, l’Hinterland étant de plus en plus soupçonné d’en regorger tant. Mais bien plus, après le manganèse, la bauxite, de grandes présomptions de la présence d’uranium se manifestent. Avouons donc que le déclin de la France qui traine à la queue des pays dits industrialisés étant en cours, ne peut pas laisser que sa vache laitière, la Côte d’Ivoire lui échappe à cause d’un Laurent Gbagbo qui n’a de cesse d’affirmer la dignité et l’indépendance de la Côte d’Ivoire souveraine. Malgré son ouverture, son nationalisme mesuré et responsable, il reste un obstacle difficilement acceptable par la mafia de la Françafrique. Alors, une seule solution, l’éliminer. Oubliant du coup que Dieu seul est maître du Destin des Hommes. Seplou, la Sentinelle de la Côte d’Ivoire reste debout et avec lui, le peuple ivoirien qui vient largement de comprendre l’enjeu de cette élection. Elle sera impardonnable avec les traîtres à la Nation. Elles ont déjà mis un visage sur chaque traître.
En voici les noms connus et exécuteurs des basses besognes sur le terrain. Leur rôle, recruter des simples innocents dans l’âge comme dans la conscience, les envoyer à l’abattoir. Depuis, le 17 octobre, ils sont à l’œuvre pour faire venir des pays limitrophes des jeunes assaillants, qu’ils vont livrer en pâture pour assouvir leurs ambitions.
Ils sont venus du Liberia, du Mali, du Burkina Faso et du Ghana voisin, pour se joindre aux lots des nationaux recrutés à l’Ouest, à l’Est et au Nord et surtout parmi les jeunes désœuvrés d’Abidjan (communes de Yopougon, d’Abobo, et de la sous-préfecture d’Anyama). Des circonscriptions administratives comme Dabou et Agboville ne sont pas en reste.
Gagnoa ville, Méagui, San Pedro, Guiglo, Toulépleu, Danané, Man en sont des viviers désirés .
Quelques recruteurs patentés connus :
Port-Bouët II : (Yopougon)
Traoré Méfoua, travaille maintenant au siège du Rdr, bras séculier du Rdr à Port-Bouët II, il procède actuellement avec un certain Fofana au recrutement et à l’entraînement de nouveaux assaillants.
Lieu de recrutement et de rencontre, un domicile privé situé au lieu dit Carrefour Port-Bouët II.
Lieu privilégié de réunion nocturne : la mosquée Ibradraham, située près du petit marché de Yopougon Maroc Antenne.
De cette mosquée, Kambou le coordonateur de la conspiration a l’Ouest aurait chargé avec un ancien milicien de Guiglo, 2 cartons de jumelles à bord d’une Pajero 4 x 4 de couleur grise, immatriculé 7190 EY01 pour Danané.
Angré
Un certain Baldé, Guinéen dealer en voitures, d’occasion à quelques encablures de la Sodeci, mitoyen au Garage Traoré et à 50 m environ de la station Petroci. Il finance le quotidien d’un groupe d’assaillants à sa charge.
Il habite à quelque 100m de la mosquée d’Aghien, près d’un allocodrome. Des réunions nocturnes se tiennent chez lui.
(photo)
Bingerville
Un autre lieu de rencontre dans une villa cossue en bordure de lagune, appartenant à un boss du Rdr. C’est là que le sort des journalistes de Le Temps a été scellé. Avec le mot d’ordre de les abattre. Un volontaire qui était à cette réunion, garde du corps du maire de sa commune (l’une des plus grandes d’Abidjan) s’est auto- désigné pour abattre le manager général des Editions Le Temps, K. Ali Keïta accusé de tous les péchés d’Israël et particulièrement, la source de toutes les mésaventures de Ouattara le « Bravetchè ».
Ce garde du corps municipal du grade de Sergent est un véritable racketteur des femmes de sa commune pour leur trouver « une place » de marchande soit au marché, soit sur les trottoirs de la commune. L’affaire est prise au sérieux et bien suivie de près par les responsables des services conséquents.
Abobo Avocatier
Chez un particulier les assaillants se réunissent quotidiennement pour se concerter sur les actions immédiates à mener.
Abobo Rond- Point
Cheick Chérif (certainement un Guinéen) se cache dans un magasin de meuble. Une belle couverture pour servir d’intermédiaire entre les différents groupes d’assaillants. C’est le grand tuteur des rebelles depuis belle lurette.
Yopougon : le boutiquier Samuel
C’est un des financiers sûrs. Samuel un homme de tient clair, facilement reconnaissable avec ses 2 brèches dans la bouche qui font de lui, un semblant d’édenté. Il gère deux boutiques séparées d’environ 100 m. Les boutiques sont situées au carrefour de la mosquée du quartier Maroc après l’hôpital des sœurs Catherine à gauche sur le même alignement. Il pourvoie au besoin quotidien des assaillants de sa zone. C’est un véritable financier.
Le préparateur mystique :
à Yopougon
Il vit dans une cabane qui ne paie pas de mine, située au premier carrefour à droite de la mosquée du quartier Maroc ; sa baraque située sur un terrain non mis en valeur est surmontée d’une antenne de télévision.
Plateau Dokui
Autre lieu de réunion appartenant à un grand cadre du Rdr, un grand domaine, situé au dernier carrefour à gauche avant le bureau de la Sodeci, près du groupe scolaire Sainte Elizabeth.
Angré 8e Tranche
Siège de l’espionnage électronique de Ouattara et ses conspirateurs situé au deuxième étage de cet immeuble. A partir des instruments sophistiqués et avec la complicité d’un membre du cortège présidentiel, Il suit de près les déplacements du cortège présidentiel. Son nom ou pseudonyme, c’est David ; l’homme est à l’ouvrage tous les jours.
Enfin, les lieux sont nombreux. Certains des assaillants sont parqués à la Riviera Palmeraie, nous donnerons plus de précision, à partir de demain.
A l’intérieur du pays, 415 Dozo sont planqués, confondus aux habitants à Gagnoa.
A Méagui
M. Kima, un notable parmi les notables connu sous le pseudonyme de Bosco, propriétaire d’un grand maquis situé sur la droite en venant de San Pedro a pour lui la spécialité de planquer les armes. Il contrôle toutes les caches de la région et ses environs.
A Bloléquin
Bloco, un acheteur de produits très connu, recrute les enfants soldats. (Ouvrir une parenthèse sur Abidjan pour parler du recrutement patenté de Koumassi des assaillants) son nom Dassia Julien.
Yamoussoukro
Un certain Vincent (pseudonyme?) d’ethnie Malinké, très connu. Informe les assaillants sur tout mouvement de troupe à Yamoussoukro.
Duékoué
- Kouassi Laurent, (ne vous trompez pas sur le patronyme, c’est un Yacouba). Il est chargé de la mobilisation des anciens militaires. C’est un sinistre individu aux multiples identités sous le même visage.
- Carton, il commande une scierie à l’entrée de Duékoué, après le corridor à droite, financier et recruteur.
Tiassalé
Mandela, c’est un garagiste célèbre, il s’occupe financièrement d’une section composée d’une vingtaine d’éléments basés à Tiassalé.
Man
Ouattara, gardien dans une société de gardiennage, chargé d’informer sur tout ce qui se passe à Man.
Danané
Spécialisé dans le convoyage des fonds pour aller régler les problèmes des assaillants parqués dans la zone.
Guiglo
Un certain Sanogo résidant près de la mosquée de Guiglo, possède une moto de marque Yamaha. Spécialisé dans l’organisation des tontines avec les femmes. Il est recruteur et financier des assaillants.
Quelques grandes figures de la conspiration
Inza, la barbichette, tuteur à gages patenté, l’homme de l’attentat du Fokker 100 du Premier ministre Soro est actuellement à Abidjan.
Daouda Konaté de Bouaké parti en exil au Mali après l’exécution tragique de Kass par ses autres camarades est de retour, mais cette fois-ci, à Abidjan pour jouer les premiers rôles.
Mathurin de Guiglo qui est passé du camp de la République, redoutable combattant aux côtés de Maho Gloféi est à Abidjan
Marwane Fuego, l’homme d’Ib est à Abidjan.
Deux grands sponsors étrangers sont à l’œuvre :
1) Grand J dit Daniel. Il serait l’envoyé spécial de Chirac pour aider à la réussite du coup. Fin connaisseur du pays, à l’époque il possédait une scierie à Gagnoa. Maintenant, il se serait spécialisé dans la location des bulldozers avec siège à Man.
2) une autre figure «le vieux père» malgré son jeune âge, le Libanais Imam Fatal, il possèderait une scierie à San Pedro et une autre à Guiglo ou Taï. C’est un autre grand financier.
Dernière heure
On vient d’être informé que Inza et sa bande de tueurs se déguiseraient à partir d’aujourd’hui, en vendeurs ambulants de noix de coco frais, de café chaud ambulant, tout le long des parcours présidentiels, avec planqués en dessous de leurs marchandises, des mitraillettes Uzi camouflés prêts à ouvrir le feu sur la voiture du chef.
Pour la circonstance, Inza la barbichette pour être mieux camouflé, rasera sa barbe et sera vendeur ambulant de montres et de lunettes.
Enfin, toute dernière heure
Les assaillants basés à Gabiadji (San Pedro) Moussadougou et Méagui feraient mouvement vers le Port de San Pedro. Fait rassurant par contre pour la région, les Fds aussi progresseraient dans leur dos.
Voici en long et en large une partie de ce que Ouattara, ses commanditaires, ses complices, ses comparses d’ici, d’à côté et d’ailleurs ont mis en place pour réussir le dernier Kata. Seulement comme le nageur qui croit qu’on ne le voit pas du tout quand il nage, toute la République voit leur dos et s’apprêtent à les accueillir au Sprint final.
Abel Santamaria.
Ouattara a décidé de ne pas aller aux élections. Ce faisant, il n’est pas passé par quatre chemins pour recruter des assaillants partout à travers la Cedeao, renouveler les contrats des Ivoiriens démobilisés de la rébellion, des déserteurs de l’armée, des membres de la société civile, des officiers et des sous-officiers félons, des hommes de troupe… Voici le plan, les hommes, les actions en cours.
Le plan
Ouattara est en mission, rémunéré par la France des caciques, celle de la Chiraquie, celle des coups tordus, des réseaux mafiafrique, qui n’ont jamais pu se débarrasser des scories néocoloniales. Avec ses réseaux engendrés, formatés dans tous les secteurs de la vie publique française et africaine par feu leur père, éternel comploteur devant l’Eternel, Jacques Foccart. Ils ont eu raison de beaucoup de nationalistes, assassinés, empoisonnés, tous éliminés d’une manière ou d’un autre pour annihiler la renaissance africaine. Des hommes de paille comme Ouattara et bien d’autres subsistent encore à leur service pour continuer leurs sales besognes.
L’objectif final, éliminer physiquement Laurent Gbagbo après avoir échoué à plusieurs reprises de le renverser. Cette élimination physique avec bien d’autres Ivoiriens déterminés à ne pas brader la souveraineté nationale de notre Côte d’Ivoire les aiderait à installer un apatride, légionnaire civil dont le seul nom authentifié est Ouattara, le reste nom, prénom, pseudonyme évoluant au gré des intérêts ou des missions à lui assignées par ses maîtres.
Ceux qui soutiennent aujourd’hui, sa farce de candidature, ne savent pas qu’ils sont aussi programmés pour être des victimes expiatoires sacrifiées sur l’autel de leur cause sordide. Tout est planifié, même livré les chefs rebelles, y compris leur Secrétaire général de Premier ministre à la Cour pénale internationale pour faire taire les velléités des organisations internationales des Droits de l’Homme et autres structures internationales des Droits de l’Homme qui pourraient naître une fois leur forfaiture accomplie .
Les hommes qui servent de comparses compagnons à Ouattara, ne savent pas non plus, que Ouattara et ses maîtres ont créé plusieurs fronts distincts qui agissent chacun dans l’ignorance totale de l’existence de l’autre. En réalité, Ouattara et ses maîtres se serviront d’eux et les élimineront une fois, leur sale besogne achevée, mettant leur élimination sur le compte des règlements internes inhérent à tout coup perpétré. Leur vie passera en pertes et profits et sera mis sur le compte des troupes loyalistes. Il en sera de même pour tous les officiers félons qui ont cédé à la tentation du dieu argent, de peur de les voir retourner leurs armes contre les conspirateurs eux-mêmes. Pour la simple raison qu’ils ne pourront pas tenir les engagements de promesses mirobolantes qu’ils leur font, en ce moment. Malheureusement, comme le dit astucieusement Charles Pasqua, un vrai connaisseur en la matière, «les promesses n’engagent que ceux qui y croient», hélas, hélas mille fois.
Voici grosso-modo, le plan qui est concocté. L’observateur naïf pourrait se dire dans quel but, cette Françafrique s’acharne-t-elle sur la Côte d’Ivoire ? Même des Ivoiriens pourraient l’ignorer. Et il n’y a pas d’autre but que la recherche de la mainmise totale sur les ressources naturelles très prometteuses, du sous-sol ivoirien, au-delà de l’agriculture déjà en vue. Sûr pour sûr, si le Président actuel est reconduit, d’ici quelques années, la Côte d’Ivoire se situera parmi les cinq grands pays producteurs d’or, sans compter toutes les promesses Off Shore de pétrole, l’Hinterland étant de plus en plus soupçonné d’en regorger tant. Mais bien plus, après le manganèse, la bauxite, de grandes présomptions de la présence d’uranium se manifestent. Avouons donc que le déclin de la France qui traine à la queue des pays dits industrialisés étant en cours, ne peut pas laisser que sa vache laitière, la Côte d’Ivoire lui échappe à cause d’un Laurent Gbagbo qui n’a de cesse d’affirmer la dignité et l’indépendance de la Côte d’Ivoire souveraine. Malgré son ouverture, son nationalisme mesuré et responsable, il reste un obstacle difficilement acceptable par la mafia de la Françafrique. Alors, une seule solution, l’éliminer. Oubliant du coup que Dieu seul est maître du Destin des Hommes. Seplou, la Sentinelle de la Côte d’Ivoire reste debout et avec lui, le peuple ivoirien qui vient largement de comprendre l’enjeu de cette élection. Elle sera impardonnable avec les traîtres à la Nation. Elles ont déjà mis un visage sur chaque traître.
En voici les noms connus et exécuteurs des basses besognes sur le terrain. Leur rôle, recruter des simples innocents dans l’âge comme dans la conscience, les envoyer à l’abattoir. Depuis, le 17 octobre, ils sont à l’œuvre pour faire venir des pays limitrophes des jeunes assaillants, qu’ils vont livrer en pâture pour assouvir leurs ambitions.
Ils sont venus du Liberia, du Mali, du Burkina Faso et du Ghana voisin, pour se joindre aux lots des nationaux recrutés à l’Ouest, à l’Est et au Nord et surtout parmi les jeunes désœuvrés d’Abidjan (communes de Yopougon, d’Abobo, et de la sous-préfecture d’Anyama). Des circonscriptions administratives comme Dabou et Agboville ne sont pas en reste.
Gagnoa ville, Méagui, San Pedro, Guiglo, Toulépleu, Danané, Man en sont des viviers désirés .
Quelques recruteurs patentés connus :
Port-Bouët II : (Yopougon)
Traoré Méfoua, travaille maintenant au siège du Rdr, bras séculier du Rdr à Port-Bouët II, il procède actuellement avec un certain Fofana au recrutement et à l’entraînement de nouveaux assaillants.
Lieu de recrutement et de rencontre, un domicile privé situé au lieu dit Carrefour Port-Bouët II.
Lieu privilégié de réunion nocturne : la mosquée Ibradraham, située près du petit marché de Yopougon Maroc Antenne.
De cette mosquée, Kambou le coordonateur de la conspiration a l’Ouest aurait chargé avec un ancien milicien de Guiglo, 2 cartons de jumelles à bord d’une Pajero 4 x 4 de couleur grise, immatriculé 7190 EY01 pour Danané.
Angré
Un certain Baldé, Guinéen dealer en voitures, d’occasion à quelques encablures de la Sodeci, mitoyen au Garage Traoré et à 50 m environ de la station Petroci. Il finance le quotidien d’un groupe d’assaillants à sa charge.
Il habite à quelque 100m de la mosquée d’Aghien, près d’un allocodrome. Des réunions nocturnes se tiennent chez lui.
(photo)
Bingerville
Un autre lieu de rencontre dans une villa cossue en bordure de lagune, appartenant à un boss du Rdr. C’est là que le sort des journalistes de Le Temps a été scellé. Avec le mot d’ordre de les abattre. Un volontaire qui était à cette réunion, garde du corps du maire de sa commune (l’une des plus grandes d’Abidjan) s’est auto- désigné pour abattre le manager général des Editions Le Temps, K. Ali Keïta accusé de tous les péchés d’Israël et particulièrement, la source de toutes les mésaventures de Ouattara le « Bravetchè ».
Ce garde du corps municipal du grade de Sergent est un véritable racketteur des femmes de sa commune pour leur trouver « une place » de marchande soit au marché, soit sur les trottoirs de la commune. L’affaire est prise au sérieux et bien suivie de près par les responsables des services conséquents.
Abobo Avocatier
Chez un particulier les assaillants se réunissent quotidiennement pour se concerter sur les actions immédiates à mener.
Abobo Rond- Point
Cheick Chérif (certainement un Guinéen) se cache dans un magasin de meuble. Une belle couverture pour servir d’intermédiaire entre les différents groupes d’assaillants. C’est le grand tuteur des rebelles depuis belle lurette.
Yopougon : le boutiquier Samuel
C’est un des financiers sûrs. Samuel un homme de tient clair, facilement reconnaissable avec ses 2 brèches dans la bouche qui font de lui, un semblant d’édenté. Il gère deux boutiques séparées d’environ 100 m. Les boutiques sont situées au carrefour de la mosquée du quartier Maroc après l’hôpital des sœurs Catherine à gauche sur le même alignement. Il pourvoie au besoin quotidien des assaillants de sa zone. C’est un véritable financier.
Le préparateur mystique :
à Yopougon
Il vit dans une cabane qui ne paie pas de mine, située au premier carrefour à droite de la mosquée du quartier Maroc ; sa baraque située sur un terrain non mis en valeur est surmontée d’une antenne de télévision.
Plateau Dokui
Autre lieu de réunion appartenant à un grand cadre du Rdr, un grand domaine, situé au dernier carrefour à gauche avant le bureau de la Sodeci, près du groupe scolaire Sainte Elizabeth.
Angré 8e Tranche
Siège de l’espionnage électronique de Ouattara et ses conspirateurs situé au deuxième étage de cet immeuble. A partir des instruments sophistiqués et avec la complicité d’un membre du cortège présidentiel, Il suit de près les déplacements du cortège présidentiel. Son nom ou pseudonyme, c’est David ; l’homme est à l’ouvrage tous les jours.
Enfin, les lieux sont nombreux. Certains des assaillants sont parqués à la Riviera Palmeraie, nous donnerons plus de précision, à partir de demain.
A l’intérieur du pays, 415 Dozo sont planqués, confondus aux habitants à Gagnoa.
A Méagui
M. Kima, un notable parmi les notables connu sous le pseudonyme de Bosco, propriétaire d’un grand maquis situé sur la droite en venant de San Pedro a pour lui la spécialité de planquer les armes. Il contrôle toutes les caches de la région et ses environs.
A Bloléquin
Bloco, un acheteur de produits très connu, recrute les enfants soldats. (Ouvrir une parenthèse sur Abidjan pour parler du recrutement patenté de Koumassi des assaillants) son nom Dassia Julien.
Yamoussoukro
Un certain Vincent (pseudonyme?) d’ethnie Malinké, très connu. Informe les assaillants sur tout mouvement de troupe à Yamoussoukro.
Duékoué
- Kouassi Laurent, (ne vous trompez pas sur le patronyme, c’est un Yacouba). Il est chargé de la mobilisation des anciens militaires. C’est un sinistre individu aux multiples identités sous le même visage.
- Carton, il commande une scierie à l’entrée de Duékoué, après le corridor à droite, financier et recruteur.
Tiassalé
Mandela, c’est un garagiste célèbre, il s’occupe financièrement d’une section composée d’une vingtaine d’éléments basés à Tiassalé.
Man
Ouattara, gardien dans une société de gardiennage, chargé d’informer sur tout ce qui se passe à Man.
Danané
Spécialisé dans le convoyage des fonds pour aller régler les problèmes des assaillants parqués dans la zone.
Guiglo
Un certain Sanogo résidant près de la mosquée de Guiglo, possède une moto de marque Yamaha. Spécialisé dans l’organisation des tontines avec les femmes. Il est recruteur et financier des assaillants.
Quelques grandes figures de la conspiration
Inza, la barbichette, tuteur à gages patenté, l’homme de l’attentat du Fokker 100 du Premier ministre Soro est actuellement à Abidjan.
Daouda Konaté de Bouaké parti en exil au Mali après l’exécution tragique de Kass par ses autres camarades est de retour, mais cette fois-ci, à Abidjan pour jouer les premiers rôles.
Mathurin de Guiglo qui est passé du camp de la République, redoutable combattant aux côtés de Maho Gloféi est à Abidjan
Marwane Fuego, l’homme d’Ib est à Abidjan.
Deux grands sponsors étrangers sont à l’œuvre :
1) Grand J dit Daniel. Il serait l’envoyé spécial de Chirac pour aider à la réussite du coup. Fin connaisseur du pays, à l’époque il possédait une scierie à Gagnoa. Maintenant, il se serait spécialisé dans la location des bulldozers avec siège à Man.
2) une autre figure «le vieux père» malgré son jeune âge, le Libanais Imam Fatal, il possèderait une scierie à San Pedro et une autre à Guiglo ou Taï. C’est un autre grand financier.
Dernière heure
On vient d’être informé que Inza et sa bande de tueurs se déguiseraient à partir d’aujourd’hui, en vendeurs ambulants de noix de coco frais, de café chaud ambulant, tout le long des parcours présidentiels, avec planqués en dessous de leurs marchandises, des mitraillettes Uzi camouflés prêts à ouvrir le feu sur la voiture du chef.
Pour la circonstance, Inza la barbichette pour être mieux camouflé, rasera sa barbe et sera vendeur ambulant de montres et de lunettes.
Enfin, toute dernière heure
Les assaillants basés à Gabiadji (San Pedro) Moussadougou et Méagui feraient mouvement vers le Port de San Pedro. Fait rassurant par contre pour la région, les Fds aussi progresseraient dans leur dos.
Voici en long et en large une partie de ce que Ouattara, ses commanditaires, ses complices, ses comparses d’ici, d’à côté et d’ailleurs ont mis en place pour réussir le dernier Kata. Seulement comme le nageur qui croit qu’on ne le voit pas du tout quand il nage, toute la République voit leur dos et s’apprêtent à les accueillir au Sprint final.
Abel Santamaria.
