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Politique Publié le mercredi 24 novembre 2010 | Partis Politiques

Les preuves de la réussite de Gbagbo au plan macroéconomique de 2000 à 2009

© Partis Politiques Par Emma
Campagne de LMP : le village électoral Gbagbo vision 2010
Vendredi 19 novembre 2010. Abidjan. Palais de la Culture Bernard Dadié, de Treichville
www.gbagbo.ci - Le taux de croissance qui était négatif en 2000 est devenu positif et égal à +0,1% dès 2001, soit un gain réel de croissance de +2,4% en comparaison de la situation de 2000 ; ce taux de croissance augmente de façon continue et croissante depuis 2006. Le taux positif de la croissance réelle du PIB, a été maintenu de façon continue de 2004 à 2009 après les chutes de 2002 (-1,6%) et 2003 (-1,7%). Depuis 2004 le taux de croissance économique a été positif (C’est mieux que celui de OUATTARA qui était que négatif ou nul) (+1,6% en 2004, +1,8% en 2005, + 1,2% en 2006, +1,5% en 2007, +2,3% en 2008, +3,8% en 2009).

Le PIB nominal s’est continuellement accru. Il est passé de 7 630,3 milliards de FCFA en 2000 à 10 486,5 milliards de francs CFA en 2008. Il s’est établit à 10 925 milliards de francs CFA en 2009. Il sera de plus 11 000 milliards de FCFA en 2010 ; C’est une certitude économique et financière.

Les recettes fiscales sont en très grande hausse (1035,4 milliards en 2000 à 1 795,6 milliards en 2009, soit une progression de +73,42%) malgré le coût de 800 milliards de FCFA, de l’ensemble des abandons de recettes fiscales prises pour faire face à la crise, et sans que la pression fiscale aie augmentée en moyenne depuis près de 15 ans (moyenne de 15% environ) ; cette performance est due à l’élargissement de l’assiette fiscale et aux reformes mis en œuvres depuis 2000 avec la gouvernance de GBAGB, notamment l’informatisation des services et la facture normalisée.

Le déficit des finances publiques est faible et se situe à 162,5 milliards de FCFA en 2009 soit 1,5% du PIB. Ce taux est largement en dessous du taux communautaire qui est de 3%. Par contre OUATTARA a laissé en 1993 un plus grand déficit de 3% du PIB. Il propose aujourd’hui, en 2010, le même taux de déficit de 3% du PIB. La proposition de OUATTARA qui envisage avec frénésie des financements extérieurs est dépassé pour la Côte d’Ivoire dont le budget sécurisé est financé à 92% par les ressources propres de la Côte d’Ivoire.

Le budget de l’Etat est en progression depuis 2001. De 1 289,1 milliards de FCFA en 2001, il est passé à 2 529,5 milliards de FCFA en 2009. Soit une progression de 96,22%. Les recettes publiques représentent 92% du budget de l’Etat. Jusqu’en 2000, elles représentaient en moyenne 84% du budget de l’Etat. La discipline budgétaire qu’impose le « Budget Sécurisé » a conduit à un résultat budgétaire excédentaire de 69,8 milliards de FCFA dès 2001. Notons que le résultat budgétaire de en 1993 à la fin de la gouvernance OUATTARA était déficitaire de 88,9 milliards de FCFA

Les arriérés de dette intérieure sont moins élevés en 2009 . Ils s’élèvent à 132 milliards en temps de crise, contre 378,4 milliards de FCFA en 1993 avec OUATTARA en temps de paix. Par ailleurs, l’Etat, depuis 2000, paye en moyenne aux créanciers intérieurs au titre de la dette intérieure 237,82 milliards de FCFA par an. OUATTARA en a payé en moyenne annuelle que 59,23 milliards de FCFA.

Le stock de la dette extérieure a diminué fortement avec le PPTE. Il est passé de 6700 milliards de FCFA en 2000 à environ 4000 milliards de FCFA (y compris, les annulations déjà obtenues) actuellement (2010), soit une baisse de 40,2%. Le ratio de la dette extérieure par rapport au PIB est d’environ 16,6% contre 89,9% en 1993 temps de la gouvernance de OUATTARA.

La production industrielle est en très grande hausse depuis 2000. L’indice global de la production industrielle qui était de -7,8% en 2000 est passé à +4,8% en 2009. Soit une progression de +12,6% entre 2000 et 2009 ; cet indice était en baisse en 1993 avec OUATTARA.

Les exportations sont en hausse en valeur. Elles passent de 2 572 milliards en 2000 à 4 846 milliards de FCFA ; Le solde commercial est en forte progression, il passe de 802,5 milliards en 2000 à 1 566,9 milliards de FCFA. Ce solde était en baisse pendant la gouvernance de OUATTARA et est passé de 92,4 milliards en 1990 à 32 milliards en 1993

Les investissements ont augmenté. De 207 milliards de FCFA en 2000, Ils sont passés à 335,2 milliards de FCFA. Notons que, plus la Côte d’Ivoire avait de richesse plus GBAGBO a favorisé les investissements pendant sa gouvernance (2,7% du PIB en 2000 à 3,06% en 2009)

L’inflation avec la gouvernance de GBAGBO à diminué. Le taux d’inflation est de 1% en 2009 contre 2,5 % en 2000. Ce taux de 1% sous la gouvernance de GBAGBO est largement en dessous du taux de d’inflation de la norme communautaire UEMOA qui est de 3% recommandé.

Le crédit à l’économie (le financement de l’activité économique nationale) a connu une progression vertigineuse sous la gouvernance de Laurent GBAGBO. Cet encours est passé de 39,3 milliards en 2000 à 2 477,3 milliards en 2009. Cet encours était en régression entre 1990 et 1993, période de gouvernance de OUATTARA (1 102 milliards de FCFA en 1990 à 824,4 milliards en 1993). Cet encours est en progression en 2009 de 47% par rapport à 2008.

La masse monétaire a plus que doublée entre 2000 et 2009 sous la gouvernance de GBAGBO. Elle est passée de 1570,3milliards en 2000 à 3524,5 milliards en 2009. Le solde des avoirs extérieurs qui était déficitaire en 1993 et en 2000 (respectivement –572 milliards et -82 milliards) est devenu largement positifs ; les avoirs extérieurs sont de 1 169,8 milliards en 2009 ;

La Côte d’Ivoire du point de vu de ses correspondants financiers extérieurs, est de plus en plus crédible et solvable avec la gouvernance de Laurent GBAGBO ;

En conclusion, toutes les valeurs respectives des indicateurs ci-dessus, montrent que la gouvernance de Laurent GBAGBO est plus profitable à l’économie de la Côte d’Ivoire que celle de OUATTARA entre 1990 et 1993, dont aucun de ces mêmes indicateurs n’est mieux que ceux de la gouvernance de GBAGBO.



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