“Dieu merci, maman Henriette et Dominique merci ! Le médecin m’a dit que si mon mal n’avait pas été diagnostiqué aujourd’hui, les jours à venir seraient pénibles pour moi et je pourrais mourir. En plus de la consultation, j’ai même reçu également des médicaments gratuits». C’est en ces termes que Claude Laurent Zago, les yeux perdus dans l’orbite, les clavicules et les pommettes saillantes, pleurant de joie d’être sauvé d’une mort imminente se réjouissait. Pour lui, comme pour des milliers d’Ivoiriens, "la journée de la Solidarité" offerte, par Dominique Ouattara et Henriette Konan Bédié, hier au Parc des Sports de Treichville, est une aubaine sans pareille. En fait, Dominique Ouattara, l’épouse du candidat du Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP) et son ainée Henriette Konan Bédié, avec le sens poussé de la solidarité qu’on leur connaît et n’ayant jamais baissé les bras face aux souffrances des Ivoiriens ont, par le biais de leurs Fondations respectives, Children of Africa et l’ONG Servir, décidé de donner des soins et des médicaments gratuitement aux Ivoiriens. Pour soulager une frange importante d’Ivoiriens (à la mi-journée, les médecins totalisaient plus de 8 mille personnes consultées et ayant reçu des traitements et des médicaments), c’est un véritable Centre Hospitalier Universitaire (CHU) qui a été délocalisé dans l’enceinte du Parc des Sports. Les cent médecins, cinquante Infirmiers et des centaines d’agents médicaux et bénévoles ont administré, aux patients du jour, de consultations en Cardiologie, Dermatologie, Pédiatrie, Ophtalmologie, ORL, Radiologie, Traumatologie. Tout cela, sans débourser le moindre sou. Et c’est un dispositif fluide, mais pointilleux sur le diagnostic qui a été mis en place par Dr Séga Sangaré et ses collaborateurs pour traquer et administrer le remède idoine à chaque pathologies diagnostiquée.
Des soins sans limite d’âge, sans considérations religieuses et régionale
Le circuit commence par "le Stand de tri" situé sous la première bâche à l’entrée du "village de la solidarité". Là, c’est Dr Tuo Mamadou et son équipe qui délivrent "la Fiche de consultation" à laquelle est adjoint un "ticket de spécialiste". Par la suite, le patient muni des documents médicaux est conduit au "stand de consultation pour orientation". Là, un médecin lui pose des questions sur ce qu’il ressent comme mal. Ainsi, s’en suit le diagnostic. C’est justement à cette étape que nous avons fait la rencontre de Claude Laurent Zago au moment où le médecin après avoir palpé le cou du patient, ouvre les yeux de ce dernier avant de lui poser le stéthoscope sur l’abdomen avant de le faire accompagner au "car de la Radiologie". Quelques minutes seulement dans le car, Zago descend et est orienté au "stand de Cardiologie". Au finish, il a été décelé "des problèmes respiratoires aigus" et " des insuffisances cardiaques". Ces maux qui auraient dû lui coûter la vie s’il n’avait pas reçu de médicaments appropriés ce jour. Mieux, il lui a été offert, comme à tous les patients du jour, une collation, du jus de fruits, avant de prendre ses premiers médicaments sur place. Outre les médicaments, des verres correcteurs, des verres-loupes sont également offerts gracieusement à tous ceux qui souffrent de problèmes de vue. Selon Dr Sidibé, l’un des coordonateurs du "village de la solidarité", « un laboratoire doté d’équipements de pointe est sur place pour la prise de sang, "la goutte épaisse", afin de déterminer le taux de glycémie et d’hémoglobine pour déterminer des maux comme le diabète, l’anémie… ». Poursuivant, Dr Diabaté a rapporté que les cas les plus diagnostiqués sont « des problèmes de vues, de cardiologie, de pédiatrie, paludisme.»
En tout cas, l’affluence à cette journée de la solidarité qui montre le cœur d’Or de Dominique Ouattara et Henriette Konan Bédié permet de se rendre à l’évidence que les Ivoiriens sont véritablement dans un besoin non quantifiable de soins aux multiples maux dont ils souffrent depuis dix ans.
Jean- Antoine Doudou
Des soins sans limite d’âge, sans considérations religieuses et régionale
Le circuit commence par "le Stand de tri" situé sous la première bâche à l’entrée du "village de la solidarité". Là, c’est Dr Tuo Mamadou et son équipe qui délivrent "la Fiche de consultation" à laquelle est adjoint un "ticket de spécialiste". Par la suite, le patient muni des documents médicaux est conduit au "stand de consultation pour orientation". Là, un médecin lui pose des questions sur ce qu’il ressent comme mal. Ainsi, s’en suit le diagnostic. C’est justement à cette étape que nous avons fait la rencontre de Claude Laurent Zago au moment où le médecin après avoir palpé le cou du patient, ouvre les yeux de ce dernier avant de lui poser le stéthoscope sur l’abdomen avant de le faire accompagner au "car de la Radiologie". Quelques minutes seulement dans le car, Zago descend et est orienté au "stand de Cardiologie". Au finish, il a été décelé "des problèmes respiratoires aigus" et " des insuffisances cardiaques". Ces maux qui auraient dû lui coûter la vie s’il n’avait pas reçu de médicaments appropriés ce jour. Mieux, il lui a été offert, comme à tous les patients du jour, une collation, du jus de fruits, avant de prendre ses premiers médicaments sur place. Outre les médicaments, des verres correcteurs, des verres-loupes sont également offerts gracieusement à tous ceux qui souffrent de problèmes de vue. Selon Dr Sidibé, l’un des coordonateurs du "village de la solidarité", « un laboratoire doté d’équipements de pointe est sur place pour la prise de sang, "la goutte épaisse", afin de déterminer le taux de glycémie et d’hémoglobine pour déterminer des maux comme le diabète, l’anémie… ». Poursuivant, Dr Diabaté a rapporté que les cas les plus diagnostiqués sont « des problèmes de vues, de cardiologie, de pédiatrie, paludisme.»
En tout cas, l’affluence à cette journée de la solidarité qui montre le cœur d’Or de Dominique Ouattara et Henriette Konan Bédié permet de se rendre à l’évidence que les Ivoiriens sont véritablement dans un besoin non quantifiable de soins aux multiples maux dont ils souffrent depuis dix ans.
Jean- Antoine Doudou
