Le regard que nous jetons sur l’école ivoirienne en général et l’enseignement supérieur en particulier nous remplit de tristesse. Parce que l’avenir de notre système de formation, moteur du progrès dans les sociétés modernes est de plus en plus incertain. L’incursion d’une culture politique qui, grâce à un partenariat infernal SYNARES-pouvoir-FESCI a semé la violence et des comportements totalement nuisibles à la formation sur la scène académique est la cause de cette situation déplorable. Par ailleurs, la société ivoirienne dans toutes ses composantes a laissé pourrir cette situation en épousant face à cette situation un détachement et une indifférence incompréhensibles. Le plus grave est que la situation que nous déplorons, du primaire au secondaire et au supérieur, s’est dégradée pendant 10 ans, sous un régime de professeurs, et que les acteurs centraux dans le système formation (enseignants et gouvernants) ont laissé prospérer une dynamique folle qui est entrain de faire reculer la Côte d’Ivoire avec notre complicité. Le changement des hommes et l’efficacité de l’organisation du pays avec l’éviction d’un pouvoir anti-école demeure, avec cette élection présidentielle, une ardente obligation si nous voulons sauver la Côte d’Ivoire. La jeunesse ivoirienne qui subit les conséquences des gâchis de la refondation dans le domaine de la formation doit en prendre conscience pour aider à déloger un pouvoir anti-école et Gbagbo, l’homme responsable de cette situation.
Un pouvoir anti-école
Pour la jeunesse ivoirienne, le plus important dans le choix qu’elle va faire dans cette élection présidentielle est la conséquence que va avoir le pouvoir que lui donne le bulletin de vote sur la reconstruction de la Côte d’Ivoire et sur son propre avenir. Malheureusement, dans la campagne qui se déroule actuellement, GBAGBO a évacué cette question clé l’avenir dans un discours populiste ultranationaliste et rétrograde bon pour exciter les masses mais qui nous fait reculer. Qui est 100% national? Qui travaille pour la liberté, la dignité des Ivoiriens et la souveraineté du pays ? Quel est le candidat qui résiste et qui s’oppose le plus à la France et au néocolonialisme?
Qui est responsable de la guerre et de la rébellion ? Ce discours populiste et ce disque rayé a intoxiqué et continue de désinformer malheureusement la population grâce aux puissants moyens offerts par les médias d’Etat qui ont retourné l’Etat contre lui-même. Ta neutralité, cher ami jeune face à la dérive de l’école ivoirienne avec les refondateurs est l’expression d’une indifférence qui coûte cher à toute la jeunesse ivoirienne alors que GBAGBO n’a pas de projet pour l’école.
En 10 ans, Gbagbo n’a rien fait pour l’avenir de la jeunesse. Sa réforme de l’éducation a consisté à supprimer l’uniforme. Mais il pose pour sa campagne électorale avec des enfants vêtus de la tenue qu’il avait supprimée. Le ministère de l’éducation nationale avait voulu, au début du mandat des refondateurs, supprimer la dictée. Mais la réaction des enseignants et du public à renvoyé ce projet aux calendes grecques. Gbagbo avait promis de régler les problèmes de l’université avec 10 milliards des fonds de souveraineté. Avec plus de 70 milliards de budget de souveraineté, il n’a offert qu’un cybercafé aux étudiants pendant la campagne électorale et, avant lui, des WC construits sur le campus de Cocody par le district d’Abidjan pour permettre aux fécistes de se faire de l’argent de poche. Les patriotes de Gbagbo ont brûlé le centre culturel français (autodafé) et le prestigieux collège Jean Mermoz, mettant ainsi des centaines de professeurs au chômage et obligeant des enfants Ivoiriens à s’expatrier dans les pays voisins à la recherche d’écoles. Sa FESCI a transformé le campus de Cocody en un marché puant qui se dispute l’espace avec des bars aussi bruyants et polluants moralement que ceux de la rue princesse. Les amphithéâtres et salles de TD sont délabrés et surchargés ; les budgets de l’enseignement et de la recherche es en baisse pendant ce temps devant des effectifs d’étudiants en hausse vertigineuse. L’université est devenue un « parking » pour étudiants.
Quel avenir prépare-t-on pour la jeunesse ivoirienne dans un tel climat organisationnel face aux enjeux du troisième millénaire ? GBAGO et les refondateurs sont anti-école. Les reconduire, c’est voter contre l’école, contre la Côte d’Ivoire et contre l’avenir de notre jeunesse. Nous avons perdu 20 ans (une génération) dans une école perturbée par la politique, la violence, l’indiscipline, l’irrespect le désordre et la baisse de la performance académique.
Des regrets amers
Avant les refondateurs, l’école était au service la Côte d’Ivoire. La politique de formation des hommes conduite par le premier président ivoirien n’avait pas lésiné sur les moyens pour doter l’école ivoirienne en ressources humaines de qualité dans l’objectif de relever le défi du développement. Cette anticipation dont le signal fort a été donné en 1946, oui en 1946, les deux plus beaux atouts du règne de Houphouët et de la coopération entre le colonisateur et la Côte d’Ivoire a été, l’agriculture pilier de notre économie qui ont mis la Côte d’Ivoire au travail. C’est le plus bel héritage laissé par Houphouët à la postérité. Léopold Sédar Senghor a dit que « la réussite de la Côte d’Ivoire ne vient pas seulement de l’abondance des pluies et de la qualité des sols mais aussi de la discipline et du travail des citoyens ». Ce travail a été possible grâce au capital humain de la première génération des hommes formés sous le régime postcolonial ; et cela n’est pas suffisamment mis en exergue quand on parle du « miracle ivoirien ». Malheureusement, l’introduction de la politique à l’école est entrain de détruire cet héritage au siècle où la technologie, la force des institutions nationales, la puissance éducative et la valeur des hommes font la différence entre nations.
L’Etat ivoiriens a érigé sous Houphouët des établissements prestigieux et des instituts de recherche (ENA, ENSEA, ENSTP, CIRT, SODEMI, écoles d’agronomie et des sciences de la gestion, Lycée scientifique de Yamoussoukro, Lycée Sainte Marie etc.). Des animateurs nationaux des instituts de recherche ont pris la relève des instituts coloniaux, notamment en agronomie, en médecine, en sciences de l’homme et de la société avec des enseignants-chercheurs ivoiriens de haut niveau. Les performances actuelles de notre enseignement supérieur au CAMES sont le fruit du travail antérieur. Tout cet héritage est malheureusement entrain de se déprimer, de foutre le camp, sous nos applaudissements. Sous un régime de professeurs qui n’ont rien ajouté de plus à l’œuvre du PDCI dans le domaine de la formation. J’ai honte pour mon pays quand je compare seulement les paysages des cadres de la formation entre les universités d’Accra et de Cocody. Gbagbo est une mauvaise copie originale pour notre système de formation. Il en est de même pour las copies de l’économie, de l’équipement du territoire et de la gestion des hommes pour créer l’harmonie entre citoyens d’un même pays afin de les amener dans la cohésion vers le développement.
L,’échec de la gauche ivoirienne responsable du déclin du système de formation
La cause primordiale du malaise actuel de notre système de formation est l’introduction de la politique dans le champ académique et l’instrumentalisation des étudiants pour conquérir et conserver le pouvoir. C’est une œuvre de la gauche ivoirienne. La montée en puissance de la FESCI a coïncidé pendant deux décennies avec la dégradation de la situation de l’école. Avec la couverture de l’impunité dont la FESCI a bénéficié grâce à son partenariat avec le SYNARES, l’enseignement supérieur ivoirien est en perte de performance pour cause d’insécurité dans l’espace universitaire. Avec la dégradation de l’autorité académique et la prise en otage de l’université par la FESCI, ce monstre accouché par des enseignants de ″gauche″, le maître tremble devant l’élève dans une université anarchique 1990. Le début de l’anarchie à l’école remonte à cette date, et l’anarchie et le désordre se sont propagés dans le pays, jusqu’à nous amener à la guerre. Regardez les acteurs au sommet du système politique. Ces sont les anciens compères des cercles universitaires et syndicaux. Leur incompétence dans la gestion de l’Etat nous a menés à la guerre. Ils sont responsables de la guerre par leurs approches insurrectionnelles de la question politique et leurs stratégies d’intimidation et de terrorisassion dans la mise en œuvre de leurs stratégies. C’est tout cela qui nous fait regretter le bon vieux temps colonial et celui de Houphouët où la formation était la priorité des priorités.
Un nouveau pari sur l’avenir avec le RHDP et ADO
Notre système éducatif se trouve en panne à un moment crucial de notre évolution par la faute du partenariat diabolique enseignants- professeurs-Fesci. La crise de l’enseignement supérieur donne aux enseignants ivoiriens de ce cycle de notre système de formation une chance dans un nouveau contexte qui n’est plus celui de l’aube de l’indépendance : épauler le vieux rêve de Houphouët sur la formation des jeunes Ivoiriens pour le développement de la Côte d’Ivoire en allant au-delà avec l’héritage qu’il nous a laissé et en faisant de la Côte d’Ivoire une puissance éducative. C’est inscrit en filigrane dans le programme commun des dirigeants du RHDP et c’est possible.
La crise offre aux enseignants ivoiriens du supérieur de connaître une satisfaction dans la poursuite d’un dessein moral par la réalisation d’une grande œuvre nationale unificatrice.
L’occasion est propice pour qu’ils dominent leur peur collective face à la violence et à l’insécurité qui minent depuis 1990 l’espace de l’université de Cocody, ainsi que les mesquineries et tous les désaccords qui étouffent si souvent en l’homme son besoin inconscient de transcendance. C’est ce dont les professeurs au pouvoir n’ont pas été capables alors que leur projet était de gouverner la Côte d’Ivoire autrement.
Au-delà de la construction des écoles et des universités, le projet commun de gouvernement des partis composant le RHDP a raison de donner une nouvelle ambition à la Côte d’Ivoire sur l’éducation et la formation dans sa. Nous devons aller au-delà du DRSP qui vise à donner un minimum culturel à chaque Ivoirien. Dans la sous-région ouest africaine et le nouveau contexte géopolitique mondial, le RHDP doit actualiser ses deux rêves sur le long terme : faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent et une puissance éducative. La mutualisation des compétences et des expériences de la nouvelle équipe qui sera formée par les soldats du développement de BEDIE, OUATTARA, MABRI et ANAKY rend l’actualisation de ce rêve plus que possible. C’est ce type d’ambition qui avait manqué à la Côte d’Ivoire pour se hisser au niveau de la Corée du Sud, alors que nous étions au même niveau en 1980.
Cher ami jeune, sois lucide et donne ta voix à cette nouvelle promesse et à cette espérance de la Côte d’Ivoire en votant RHDP et ALASSANE DRAMANE OUATTARA. Opte pour cette nouvelle copie car Gbagbo est une copie originale périmée et l’homme de la situation désespérante de l’école ivoirienne qui recule.
Pr KOBY Assa Théophile
Un pouvoir anti-école
Pour la jeunesse ivoirienne, le plus important dans le choix qu’elle va faire dans cette élection présidentielle est la conséquence que va avoir le pouvoir que lui donne le bulletin de vote sur la reconstruction de la Côte d’Ivoire et sur son propre avenir. Malheureusement, dans la campagne qui se déroule actuellement, GBAGBO a évacué cette question clé l’avenir dans un discours populiste ultranationaliste et rétrograde bon pour exciter les masses mais qui nous fait reculer. Qui est 100% national? Qui travaille pour la liberté, la dignité des Ivoiriens et la souveraineté du pays ? Quel est le candidat qui résiste et qui s’oppose le plus à la France et au néocolonialisme?
Qui est responsable de la guerre et de la rébellion ? Ce discours populiste et ce disque rayé a intoxiqué et continue de désinformer malheureusement la population grâce aux puissants moyens offerts par les médias d’Etat qui ont retourné l’Etat contre lui-même. Ta neutralité, cher ami jeune face à la dérive de l’école ivoirienne avec les refondateurs est l’expression d’une indifférence qui coûte cher à toute la jeunesse ivoirienne alors que GBAGBO n’a pas de projet pour l’école.
En 10 ans, Gbagbo n’a rien fait pour l’avenir de la jeunesse. Sa réforme de l’éducation a consisté à supprimer l’uniforme. Mais il pose pour sa campagne électorale avec des enfants vêtus de la tenue qu’il avait supprimée. Le ministère de l’éducation nationale avait voulu, au début du mandat des refondateurs, supprimer la dictée. Mais la réaction des enseignants et du public à renvoyé ce projet aux calendes grecques. Gbagbo avait promis de régler les problèmes de l’université avec 10 milliards des fonds de souveraineté. Avec plus de 70 milliards de budget de souveraineté, il n’a offert qu’un cybercafé aux étudiants pendant la campagne électorale et, avant lui, des WC construits sur le campus de Cocody par le district d’Abidjan pour permettre aux fécistes de se faire de l’argent de poche. Les patriotes de Gbagbo ont brûlé le centre culturel français (autodafé) et le prestigieux collège Jean Mermoz, mettant ainsi des centaines de professeurs au chômage et obligeant des enfants Ivoiriens à s’expatrier dans les pays voisins à la recherche d’écoles. Sa FESCI a transformé le campus de Cocody en un marché puant qui se dispute l’espace avec des bars aussi bruyants et polluants moralement que ceux de la rue princesse. Les amphithéâtres et salles de TD sont délabrés et surchargés ; les budgets de l’enseignement et de la recherche es en baisse pendant ce temps devant des effectifs d’étudiants en hausse vertigineuse. L’université est devenue un « parking » pour étudiants.
Quel avenir prépare-t-on pour la jeunesse ivoirienne dans un tel climat organisationnel face aux enjeux du troisième millénaire ? GBAGO et les refondateurs sont anti-école. Les reconduire, c’est voter contre l’école, contre la Côte d’Ivoire et contre l’avenir de notre jeunesse. Nous avons perdu 20 ans (une génération) dans une école perturbée par la politique, la violence, l’indiscipline, l’irrespect le désordre et la baisse de la performance académique.
Des regrets amers
Avant les refondateurs, l’école était au service la Côte d’Ivoire. La politique de formation des hommes conduite par le premier président ivoirien n’avait pas lésiné sur les moyens pour doter l’école ivoirienne en ressources humaines de qualité dans l’objectif de relever le défi du développement. Cette anticipation dont le signal fort a été donné en 1946, oui en 1946, les deux plus beaux atouts du règne de Houphouët et de la coopération entre le colonisateur et la Côte d’Ivoire a été, l’agriculture pilier de notre économie qui ont mis la Côte d’Ivoire au travail. C’est le plus bel héritage laissé par Houphouët à la postérité. Léopold Sédar Senghor a dit que « la réussite de la Côte d’Ivoire ne vient pas seulement de l’abondance des pluies et de la qualité des sols mais aussi de la discipline et du travail des citoyens ». Ce travail a été possible grâce au capital humain de la première génération des hommes formés sous le régime postcolonial ; et cela n’est pas suffisamment mis en exergue quand on parle du « miracle ivoirien ». Malheureusement, l’introduction de la politique à l’école est entrain de détruire cet héritage au siècle où la technologie, la force des institutions nationales, la puissance éducative et la valeur des hommes font la différence entre nations.
L’Etat ivoiriens a érigé sous Houphouët des établissements prestigieux et des instituts de recherche (ENA, ENSEA, ENSTP, CIRT, SODEMI, écoles d’agronomie et des sciences de la gestion, Lycée scientifique de Yamoussoukro, Lycée Sainte Marie etc.). Des animateurs nationaux des instituts de recherche ont pris la relève des instituts coloniaux, notamment en agronomie, en médecine, en sciences de l’homme et de la société avec des enseignants-chercheurs ivoiriens de haut niveau. Les performances actuelles de notre enseignement supérieur au CAMES sont le fruit du travail antérieur. Tout cet héritage est malheureusement entrain de se déprimer, de foutre le camp, sous nos applaudissements. Sous un régime de professeurs qui n’ont rien ajouté de plus à l’œuvre du PDCI dans le domaine de la formation. J’ai honte pour mon pays quand je compare seulement les paysages des cadres de la formation entre les universités d’Accra et de Cocody. Gbagbo est une mauvaise copie originale pour notre système de formation. Il en est de même pour las copies de l’économie, de l’équipement du territoire et de la gestion des hommes pour créer l’harmonie entre citoyens d’un même pays afin de les amener dans la cohésion vers le développement.
L,’échec de la gauche ivoirienne responsable du déclin du système de formation
La cause primordiale du malaise actuel de notre système de formation est l’introduction de la politique dans le champ académique et l’instrumentalisation des étudiants pour conquérir et conserver le pouvoir. C’est une œuvre de la gauche ivoirienne. La montée en puissance de la FESCI a coïncidé pendant deux décennies avec la dégradation de la situation de l’école. Avec la couverture de l’impunité dont la FESCI a bénéficié grâce à son partenariat avec le SYNARES, l’enseignement supérieur ivoirien est en perte de performance pour cause d’insécurité dans l’espace universitaire. Avec la dégradation de l’autorité académique et la prise en otage de l’université par la FESCI, ce monstre accouché par des enseignants de ″gauche″, le maître tremble devant l’élève dans une université anarchique 1990. Le début de l’anarchie à l’école remonte à cette date, et l’anarchie et le désordre se sont propagés dans le pays, jusqu’à nous amener à la guerre. Regardez les acteurs au sommet du système politique. Ces sont les anciens compères des cercles universitaires et syndicaux. Leur incompétence dans la gestion de l’Etat nous a menés à la guerre. Ils sont responsables de la guerre par leurs approches insurrectionnelles de la question politique et leurs stratégies d’intimidation et de terrorisassion dans la mise en œuvre de leurs stratégies. C’est tout cela qui nous fait regretter le bon vieux temps colonial et celui de Houphouët où la formation était la priorité des priorités.
Un nouveau pari sur l’avenir avec le RHDP et ADO
Notre système éducatif se trouve en panne à un moment crucial de notre évolution par la faute du partenariat diabolique enseignants- professeurs-Fesci. La crise de l’enseignement supérieur donne aux enseignants ivoiriens de ce cycle de notre système de formation une chance dans un nouveau contexte qui n’est plus celui de l’aube de l’indépendance : épauler le vieux rêve de Houphouët sur la formation des jeunes Ivoiriens pour le développement de la Côte d’Ivoire en allant au-delà avec l’héritage qu’il nous a laissé et en faisant de la Côte d’Ivoire une puissance éducative. C’est inscrit en filigrane dans le programme commun des dirigeants du RHDP et c’est possible.
La crise offre aux enseignants ivoiriens du supérieur de connaître une satisfaction dans la poursuite d’un dessein moral par la réalisation d’une grande œuvre nationale unificatrice.
L’occasion est propice pour qu’ils dominent leur peur collective face à la violence et à l’insécurité qui minent depuis 1990 l’espace de l’université de Cocody, ainsi que les mesquineries et tous les désaccords qui étouffent si souvent en l’homme son besoin inconscient de transcendance. C’est ce dont les professeurs au pouvoir n’ont pas été capables alors que leur projet était de gouverner la Côte d’Ivoire autrement.
Au-delà de la construction des écoles et des universités, le projet commun de gouvernement des partis composant le RHDP a raison de donner une nouvelle ambition à la Côte d’Ivoire sur l’éducation et la formation dans sa. Nous devons aller au-delà du DRSP qui vise à donner un minimum culturel à chaque Ivoirien. Dans la sous-région ouest africaine et le nouveau contexte géopolitique mondial, le RHDP doit actualiser ses deux rêves sur le long terme : faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent et une puissance éducative. La mutualisation des compétences et des expériences de la nouvelle équipe qui sera formée par les soldats du développement de BEDIE, OUATTARA, MABRI et ANAKY rend l’actualisation de ce rêve plus que possible. C’est ce type d’ambition qui avait manqué à la Côte d’Ivoire pour se hisser au niveau de la Corée du Sud, alors que nous étions au même niveau en 1980.
Cher ami jeune, sois lucide et donne ta voix à cette nouvelle promesse et à cette espérance de la Côte d’Ivoire en votant RHDP et ALASSANE DRAMANE OUATTARA. Opte pour cette nouvelle copie car Gbagbo est une copie originale périmée et l’homme de la situation désespérante de l’école ivoirienne qui recule.
Pr KOBY Assa Théophile