Ceux qui ont suivi hier le débat « Face-à- face » organisé par la Télévision ivoirienne dans le cadre du deuxième tour de la présidentielle, on pu se rendre compte sur le chapitre économie, le candidat de La majorité Présidentielle ( Lmp), c'est-à-dire le Président Laurent Gbagbo, l’historien, a montré sa parfaite maitrise des questions économiques.
Devant Alassane Ouattara, un économiste bien connu dans la haute finance internationale. Là ou son contradicteur, se plaisait à dire : « Je suis économiste, c’est ce que je sais faire le plus… » ou que « j’ai les moyens de le faire, c’est ça que je sais faire le plus ». Ce qui ne suffit évidemment pas, pour diriger un pays. C’est à juste titre que le Président Laurent Gbagbo a répondu que pour une élection présidentielle, on ne cherche pas forcement un économiste. « Diriger un Etat c’est avoir le sens de l’Etat », a dit le Président Gbagbo. Non sans avoir citer des noms comme ceux de Pompidou et de Gaulle et Houphouët-Boigny qui n’étaient pas des économistes mais qui ont été de grands Chefs d’Etat. « Je ne suis pas économiste mais je constate que nous avons des points de vues similaires », a dit l’historien Laurent Gbagbo, avant d’expliquer ce qu’il entend faire pour le développement économique de la Côte d’Ivoire. Citons entre autres les investissements massifs dans les secteurs productifs, de la santé, l’éducation et la création d’emplois pour les jeunes. Dernier volet qui devrait être soutenu par la mise en exploitation commune du minerai de fer du Mont Nimba avec la Guinée et le Liberia. Mais aussi et surtout avec les recettes tirées du pétrole. S’agissant du volet diversification de l’agriculture, le Président estime qu’il faut mettre l’accent sur l’agriculture vivrière, à travers la mécanisation de celle-ci, pour donner suffisamment à manger à la population. Ce, avec le concours de la coopération brésilienne pour produire des machines outils.
Il n’a pas oublié le binôme café-cacao. « Nous entendons doubler notre production de cacao, en renouvelant les plantations vieillissantes et en introduisant de nouvelles variétés performantes. Mais aussi et surtout implanter une usine par département de production, pour faire la première transformation. Sans oublier les efforts faits en interne et à l’externe, depuis son arrivée au Pouvoir, pour réduire le fardeau de la dette et le soutien de l’Etat au secteur privé envers qui, il a été consenti, un effacement de plus de 300 milliards de Fcfa.
Ayant tiré les leçons des récurrentes crises énergétiques dans l’espace Cedeao, il a annoncé la construction du barrage de Soubré pour lequel des négociations sont en cours avec de grands groupes. Parlant de la lutte contre le chômage et la pauvreté, le Président Gbagbo a dit qu’il faut faire le maximum d’investissement dans les dix régions qu’il entend créer avec une université et un Centre hospitalier universitaire( Chu) avec un contrat-plan par région. « Il faut libérer les jeunes et donner du travail aux 4 millions de jeunes qui n’en ont pas.
Pour sauver la Côte d’Ivoire de demain, il faut mettre l’accent sur l’emploi jeune et lutter efficacement contre le chômage qui a été aggravé par la guerre. Il faut en synergie engager la lutte au plan régional, afin de lutter contre les rebellions. Au plan national, le Fonds national de solidarité emplois jeunes, ( Fns) en pleine guerre, a créée une centaine de petites entreprises, je crois qu’après les élections, il faut faire plus » a dit en substance, le Président Laurent Gbagbo.
Devant Alassane Ouattara, un économiste bien connu dans la haute finance internationale. Là ou son contradicteur, se plaisait à dire : « Je suis économiste, c’est ce que je sais faire le plus… » ou que « j’ai les moyens de le faire, c’est ça que je sais faire le plus ». Ce qui ne suffit évidemment pas, pour diriger un pays. C’est à juste titre que le Président Laurent Gbagbo a répondu que pour une élection présidentielle, on ne cherche pas forcement un économiste. « Diriger un Etat c’est avoir le sens de l’Etat », a dit le Président Gbagbo. Non sans avoir citer des noms comme ceux de Pompidou et de Gaulle et Houphouët-Boigny qui n’étaient pas des économistes mais qui ont été de grands Chefs d’Etat. « Je ne suis pas économiste mais je constate que nous avons des points de vues similaires », a dit l’historien Laurent Gbagbo, avant d’expliquer ce qu’il entend faire pour le développement économique de la Côte d’Ivoire. Citons entre autres les investissements massifs dans les secteurs productifs, de la santé, l’éducation et la création d’emplois pour les jeunes. Dernier volet qui devrait être soutenu par la mise en exploitation commune du minerai de fer du Mont Nimba avec la Guinée et le Liberia. Mais aussi et surtout avec les recettes tirées du pétrole. S’agissant du volet diversification de l’agriculture, le Président estime qu’il faut mettre l’accent sur l’agriculture vivrière, à travers la mécanisation de celle-ci, pour donner suffisamment à manger à la population. Ce, avec le concours de la coopération brésilienne pour produire des machines outils.
Il n’a pas oublié le binôme café-cacao. « Nous entendons doubler notre production de cacao, en renouvelant les plantations vieillissantes et en introduisant de nouvelles variétés performantes. Mais aussi et surtout implanter une usine par département de production, pour faire la première transformation. Sans oublier les efforts faits en interne et à l’externe, depuis son arrivée au Pouvoir, pour réduire le fardeau de la dette et le soutien de l’Etat au secteur privé envers qui, il a été consenti, un effacement de plus de 300 milliards de Fcfa.
Ayant tiré les leçons des récurrentes crises énergétiques dans l’espace Cedeao, il a annoncé la construction du barrage de Soubré pour lequel des négociations sont en cours avec de grands groupes. Parlant de la lutte contre le chômage et la pauvreté, le Président Gbagbo a dit qu’il faut faire le maximum d’investissement dans les dix régions qu’il entend créer avec une université et un Centre hospitalier universitaire( Chu) avec un contrat-plan par région. « Il faut libérer les jeunes et donner du travail aux 4 millions de jeunes qui n’en ont pas.
Pour sauver la Côte d’Ivoire de demain, il faut mettre l’accent sur l’emploi jeune et lutter efficacement contre le chômage qui a été aggravé par la guerre. Il faut en synergie engager la lutte au plan régional, afin de lutter contre les rebellions. Au plan national, le Fonds national de solidarité emplois jeunes, ( Fns) en pleine guerre, a créée une centaine de petites entreprises, je crois qu’après les élections, il faut faire plus » a dit en substance, le Président Laurent Gbagbo.
