Le président Laurent Gbagbo a entrepris des reformes dans tous les secteurs de la société ivoirienne. Dans certains cas, il a même fait figure d’innovateur et de révolutionnaire tant ses ambitions ont apparu pour ses contradicteurs, dont Ouattara, irréalistes et irréalisables. Poutant lors du débat télévisé organisé, hier, par le Cnca, l’on a constaté que Ouattara était pratiquement d’accord sur tous les projets et autres propositions de son adversaire Laurent Gbagbo, le candidat de la Majorité présidentielle.
Envers et contre tout, Laurent Gbagbo a réussi à mettre en œuvre ses projets et ambitions pour la Côte d’Ivoire dans la situation de crise actuelle. Et les affiches de campagne sont révélatrices de ce que le candidat de la majorité présidentielle avait vu juste. Aussi bien dans la capacité de la Côte d’Ivoire à s’autofinancer que dans ses ambitions légitimes de développement.
Ecole gratuite, assurance maladie universelle, construction d’une université par région (soit 10 contre 5 pour Ouattara) ; réformes institutionnelles et administratives, etc. on peut dire que le candidat du rassemblement des républicains, en termes d’innovation, n’a fait que répéter ce que Gbagbo a commencé à faire et prévoit de faire pour que la Côte d’Ivoire retrouve la place qu’elle n’aurait jamais dû abandonner.
« Je suis un libéral social » a souligné Ouattara pour ne pas dire qu’il est socialiste tout court comme Gbagbo. Mieux, le Président sortant, sur les questions économiques s’en est mieux sorti que son challenger de l’opposition. Au demeurant, les chiffres de l’économie de ces derniers 10 ans parlent pour Laurent Gbagbo. Ce qui n’est pas le cas de Ouattara qui s’arc-boutent sur sa profession d’économiste, qui dit-il peut lui permettre de réussir là où l’historien réussit déjà si bien.
La vérité est que le candidat du Rdr compte surtout profiter du travail de Laurent Gbagbo dont il s’est félicité publiquement de la réussite des discussions et des échanges avec les bailleurs de fonds. Les quelles discussions devraient déboucher dès mars 2011, de la signature du point de décision pour le programme des pays pauvres très endettés (Ppte). Les promesses de campagne de Ouattara ont donc en point de mire le programme Ppte.
Sur la question de l’emploi, le candidat Laurent Gbagbo a été le plus convaincant car son désir d’industrialisation qui repose sur des actes concrets, a le mérite de proposer des solutions viables qui tiennent compte des besoins et autres réalités de la Côte d’Ivoire. Réalités découvertes, seulement au cours de la campagne par son concurrent. Finalement, les Ivoiriens se sont demandé ce qui était nouveau et qui n’a pas été déjà réfléchi ou démarré par le Président de la République que pouvait proposer Ouattara, l’ex-premier ministre. La seule réponse est : rien. On a fait des procès d’intention à Laurent Gbagbo sur de fausses bases et la guerre en est une des très fâcheuses conséquences.
On se rend à l’évidence que le pays a été mis en retard pour des ambitions purement personnelles et que la qualité de vie des Ivoiriens aurait été bien meilleur si un 19 septembre 2002, le pays n’avait pas basculé dans l’horreur. Mais comme le dit le président Laurent Gbagbo, la paix est gagnée, place au développement. A partir de dimanche prochain, les Ivoiriens verront enfin la consécration de leur combat pour la liberté et le bien-être avec la réélection de Laurent Gbagbo.
Envers et contre tout, Laurent Gbagbo a réussi à mettre en œuvre ses projets et ambitions pour la Côte d’Ivoire dans la situation de crise actuelle. Et les affiches de campagne sont révélatrices de ce que le candidat de la majorité présidentielle avait vu juste. Aussi bien dans la capacité de la Côte d’Ivoire à s’autofinancer que dans ses ambitions légitimes de développement.
Ecole gratuite, assurance maladie universelle, construction d’une université par région (soit 10 contre 5 pour Ouattara) ; réformes institutionnelles et administratives, etc. on peut dire que le candidat du rassemblement des républicains, en termes d’innovation, n’a fait que répéter ce que Gbagbo a commencé à faire et prévoit de faire pour que la Côte d’Ivoire retrouve la place qu’elle n’aurait jamais dû abandonner.
« Je suis un libéral social » a souligné Ouattara pour ne pas dire qu’il est socialiste tout court comme Gbagbo. Mieux, le Président sortant, sur les questions économiques s’en est mieux sorti que son challenger de l’opposition. Au demeurant, les chiffres de l’économie de ces derniers 10 ans parlent pour Laurent Gbagbo. Ce qui n’est pas le cas de Ouattara qui s’arc-boutent sur sa profession d’économiste, qui dit-il peut lui permettre de réussir là où l’historien réussit déjà si bien.
La vérité est que le candidat du Rdr compte surtout profiter du travail de Laurent Gbagbo dont il s’est félicité publiquement de la réussite des discussions et des échanges avec les bailleurs de fonds. Les quelles discussions devraient déboucher dès mars 2011, de la signature du point de décision pour le programme des pays pauvres très endettés (Ppte). Les promesses de campagne de Ouattara ont donc en point de mire le programme Ppte.
Sur la question de l’emploi, le candidat Laurent Gbagbo a été le plus convaincant car son désir d’industrialisation qui repose sur des actes concrets, a le mérite de proposer des solutions viables qui tiennent compte des besoins et autres réalités de la Côte d’Ivoire. Réalités découvertes, seulement au cours de la campagne par son concurrent. Finalement, les Ivoiriens se sont demandé ce qui était nouveau et qui n’a pas été déjà réfléchi ou démarré par le Président de la République que pouvait proposer Ouattara, l’ex-premier ministre. La seule réponse est : rien. On a fait des procès d’intention à Laurent Gbagbo sur de fausses bases et la guerre en est une des très fâcheuses conséquences.
On se rend à l’évidence que le pays a été mis en retard pour des ambitions purement personnelles et que la qualité de vie des Ivoiriens aurait été bien meilleur si un 19 septembre 2002, le pays n’avait pas basculé dans l’horreur. Mais comme le dit le président Laurent Gbagbo, la paix est gagnée, place au développement. A partir de dimanche prochain, les Ivoiriens verront enfin la consécration de leur combat pour la liberté et le bien-être avec la réélection de Laurent Gbagbo.